Riquet à la houppe

Je l'avoue sans honte : je lis pour me divertir. A 22h, dans mon lit, je veux me détendre, quitter la réalité même si la journée était bonne et voyager. Un petit Nothomb, généralement, ça fonctionne toujours. Il faudrait que je lise l'original du conte de Perrault parce que là, je me suis ennuyé à mourir ! J'ai trouvé que ça n'avait ni queue ni tête. L'écriture, en revanche, est grandiose. Amélie Nothomb est une auteure au vocabulaire et à la syntaxe travaillés et complexes. Mais sur ce coup, la magie n'a pas opéré. Je me dis toujours, à la fin de ses romans « déjà la fin ? ». Là, c'était « Enfin ! ».
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Après environ vingt ans d'abstinence, avec ce livre, je désirais voir comment avait évolué Amélie Nothomb

Après lecture de ce "Riquet à la houppe", je pense qu'elle et moi avons pris des chemins véritablement opposés en terme de littérature.

L'idée du conte n'est pas mauvaise mais je n'ai vraiment pas apprécié le style et la forme, trop de trop tuant, à mes yeux, le trop. le trop quoi? le trop extraordinaire, le trop excentrique, le trop caricatural, etc. Bref, trop is te veel.

Rajoutez à cela que je déteste les oiseaux... et ai donc subi véritablement les "dernières" 110 pages.

Vous comprendrez, qu'à Amélie Nothomb, je dise: "bon vol".

Petit rituel de chaque fin Août, la lecture de Nothomb. : pourquoi m'entêter avec la lecture d'Amelie Nothomb?

Amélie Nothomb revisite une fois encore un conte à sa manière. Ici il s'agit du conte de Perrault, Riquet à la Houppe. Je connaissais le titre sans en connaitre l'histoire. Dans cette version de Nothomb, on a le portrait dès leur naissance de Déodat, un garçon très laid mais très intelligent et brillant, et celui de Trémière, une fille aussi belle qu'elle est niaise et bête. On découvre leur univers familial, les premières années d'écoles, les premiers émois d'adolescents, …Puis nos deux personnages vont finir par se rencontrer et se plaire.

C'est un récit sur la différence, sur la beauté, sur le physique et le handicap. Sur la façon dont on nous juge et la façon dont on se juge, sur la cruauté des enfants.. Même si j'apprécie toujours la plume d'Amélie Nothomb, ses bizarreries (choix des prénoms, caractère des personnages, obsession pour certains thèmes..), je ne prends plus le même plaisir qu'avant à la lire. Je soupire, je fronce les sourcils et m'agace au fil de ma lecture. Toujours cette impression de m'être fait arnaquer en payant pour si peu de plaisir.

La cuvée Nothomb 2016 aura été une déception. Les deux personnages principaux manquaient de texture (stéréotypés de bout en bout). Seule la grand-mère de Trémière, avec sa relation mystérieuse aux bijoux, se distinguait. Quant au style, il m'a paru singulièrement plat, manquant du piquant qui fait souvent le charme de Nothomb.

J'aime beaucoup cette auteure et certains de ses romans ont su me ravir par le passé, pourtant elle me donne maintenant l'impression de tomber dans la facilité.

Mon premier Nothomb depuis plusieurs années. Autant Hygiène de l'assassin et Stupeur et tremblements m'avaient emballé (1992 et 1999, déjà, quand même), autant les suivants m'avaient déconcerté et déçu et j'avais vite laissé tomber.
Je lui redonne sa chance cette année avec son dernier roman en date et... même constat. J'ai failli abandonner au bout de 10 pages tant le début m'a agacé et tant je l'ai trouvé mauvais. Je me suis accroché, la suite est plus convaincante, mais le verdict final est que pour moi c'est sans intérêt et écrit sans talent. Aucune qualité d'écriture, c'est plat, et l'histoire est sans intérêt et frise souvent le ridicule.
Question : A. Nothomb serait-elle publiée aujourd'hui s'il n'y avait pas eu Hygiène de l'assassin et Stupeur et tremblements, si elle ne jouait pas un personnage dont sont friands les médias (et apparemment une partie non négligeable du public), et si son éditeur n'exploitait pas précisément cette image d'auteure excentrique ?

Avec impatience j'ai attendu le dernier Nothomb comme chaque septembre, quelle ne fut pas ma déception!

Le style d'écriture reste mais les histoires s'essoufflent, ou comment sortir un livre par an sans n'avoir rien a écrire. le livre se résume à "niaiserie" une belle et un moche finissent par tomber amoureux, sans suspens, loin du parfait "Mercure".
En tant que grande fan de ses fictions et notamment "Hygiène de l'assassin", "Cosmétique de l'ennemi" ou encore "Acide Sulfurique", je reste sur ma faim. Si vous aussi vous aimez ses livres, alors attendez le poche ou bien qu'on vous le prête.

C'est mon premier livre d Amélie Nothomb et je n'ai pas aimé, je l'ai trouvé ennuyeux et sans intérêt c'est monotone ,j'ai eu beaucoup de mal a reprendre ma lecture ,je l'ai fini avec le plaisir de pouvoir passer à autre chose .
Je relirais quand même un autre de ses livres mais une autre fois.

C'est le premier roman que je lis de cette auteure mais aussi le dernier
L'histoire est ridicule et tellement cliché le garçon moche mais très intelligent et la fille très belle mais bête
Heureusement le roman n'est pas long à lire car très peu de pages dans une police assez grande

Moyen