Un livre de martyrs américains

Nous devons respecter le libre arbitre, même si nous n'y croyons pas vraiment. Une femme - une jeune fille - doit être libre de mettre fin à une grossesse si elle le souhaite. Il est abominable et scandaleux que l'Etat se mêle de limiter ce droit - de même que le droit au suicide, tout aussi précieux ! En fait, l'avortement ou la fausse couche en est la rédemption. Comme Sophocle l'a dit si admirablement : "le mieux est de ne pas naître ou, une fois, né, de rentrer au plus vite dans le néant." p622

Ne pas savoir n'est pas une vertu, ne pas savoir peut vous coûter la vie. N'oubliez jamais, les enfants : le bonheur n'est pas dans l'ignorance. p153

Il était consternant pour Noamie Voorhees enfant d'une culture où la seule énonciation du mot "squaw" était une obscénité, où les principes féminins d'égalité et de dignités étaient aussi inattaquables que des vérités scientifiques, que des femmes soient aussi avilies et exploitées, sans doute de plein gré. p783

D'abord ils perdent leur cœur. Ensuite ils perdent la vie.

Nos vraies vies sont intérieures et inaccessibles à l’œil.

Tout au long de l’histoire, l’assassin s’est toujours accroché, telle une tique gorgée de sang, à celui qu’il a tué. De toutes les indignités de la mort, celle-là est la plus insultante.

Chez les femmes, les faiblesses de l'homme sont multipliées par deux ou par trois. Leur volonté de résister à la tentation du désespoir ressemble aux muscles de leurs épaules et de leurs bras, elle n'est pas assez développée.

En abattant des avorteurs qui s'apprêtaient à commettre le terrible acte de fœticide, ils ne sont pas coupables de meurtre, mais d'être intervenus pour empêcher un meurtre prémédité.

Nous désapprouvons aussi le contrôle des naissances - le vilain mot est "contraceptifs" - qui favorise et encourage un mode de vie immoral auquel sont particulièrement prédisposés les adolescents, influencés par la télévisions, une musique populaire vulgaire, le cinéma et les "cours d'éducation sexuelle" de l'enseignement public.

C’est un péché envers Jésus que d’être déprimé. Si vous êtes déprimé, c’est une insulte envers Jésus qui est mort sur la croix pour vos péchés.