Platinum end, tome 7

La fin du tome 6 annonçait des rebondissements et on est servi! Avec ce volume, nous allons en connaître un peu plus sur la naissance de Metropoliman et son désir d'un monde façonné à son image. On voit qu'il est prêt à anéantir les plus "inutiles" pour achever son oeuvre. C'est dingue, machiavélique mais on ne peut s'empêcher durant ce volume de voir qu'il est énormément mis en valeur par rapport à la team du Bien composée d'un énervé, une pleureuse et un au bord de la mort. Les dessins sont détaillés mais durant les combats, j'ai eu du mal à suivre. J'ai le 8ème sous la main!

Un tome dense en rebondissements et en révélation qui fait la part belle au "méchant" de Metropoliman.
J'ai retrouvé dans ce tome une partie des ficelles expliquées dans leur précédente série Bakuman mais c'est tellement bien fait qu'on en redemande !
Le dessin est toujours d'une précision et d'une profondeur de champ impressionnante.
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Je chronique les tomes 7 et 8 en même temps parce qu'ils constituent la fin de l'arc Metropoliman. L'histoire est tellement intense qu'en parler séparément n'aurait pas de sens.

Tous les protagonistes de l'arc sont présents pour le combat final. Les candidats, leurs esclaves touchés de la flèche rouge et les anges spectateurs. le combat commence dans le tome 6 et finit dans le tome 8. Une bataille exceptionnelle pour un manga qui l'est tout autant. Je trouve que l'arc a traîné un petit peu en longueur. J'ai bien compris que Mirai, le héros ne veut pas utiliser sa flèche blanche pour tuer quiconque, même les meurtriers. Il est torturé à l'idée de tuer quelqu'un même si c'est la seule solution pour sauver ses amis et le monde entier. Heureusement que les combats étaient géniaux tant par le déroulement que par leurs dessins.

La fin de l'arc est géniale lui aussi. Une fin assez logique mais ce qui en découle annonce une suite toujours aussi passionnante. L'apparition d'un nouveau candidat apporte un vent de fraîcheur, tout comme ses méthodes pour arriver à ses fins. Tous les passages qui montrent les survivants du combat précédents sont magnifiques. Dessinés avec tellement de force qu'on ressent toute les émotions des personnages.

Obata maîtrise ses dessins à la perfection. Cette fin d'arc est palpitante.
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Voilà mon avis sur le (déjà) septième volume de Platinum End ! Merci à Anita pour l'envoi de ce tome en service presse !

Ce septième volume me réconcilie (un peu) avec cette série. Alors que les tomes précédents m'avaient déçus, celui-ci relève un peu le niveau.

On se retrouve en plein combat entre Metropoliman (et son clan) et Red (et son clan). La tension monte petit à petit. Aucun des deux clans ne veut céder du terrain à ses adversaires. Ils veulent tous devenir Dieu pour une raison bien particulière.

On connait enfin la vision du monde de Metropoliman et l'avenir qu'il veut pour celui-ci. Et c'est franchement pas beau. Un monde où seuls les riches et les beaux peuvent vivre ? Il ne va pas rester grand monde ! Et ça, il ne semble pas s'en rendre compte. Ni de la folie que ce serait. Cette idée est approuvée par certains, mais la majorité de la population commence à prendre peur. Une idée qui n'est pas sans faire penser à Death Note : un Dieu qui supprime le crime, les criminels, une certaine partie de la population.

Heureusement, Red et ses amis sont là pour le contrer. Toutefois, je les trouve trop timides. Red est le contraire de Metropoliman, incapable de tirer une flèche blanche, celle qui tue. Son bonheur est en jeu et il le sait. Sauf que face à un méchant fou furieux prêt à tout pour accéder à la place de Dieu, il parait un peu léger. Pourtant, il est toujours là et résiste.

Ce combat prendra sans doute fin dans le tome suivant. On s'arrête en pleine action, laissant planer le suspense. J'ai envie de savoir comment il fini, car cela fait déjà deux tomes qu'il a commencé. Ça commence à être long, et on n'avance plus du tout dans le reste du concours. Les autres joueurs ont disparus on ne sait où.

Cette série est donc faite de hauts et de bas, les chapitres étant assez inégaux. Ce vol. 7 permet à l'histoire de remonter dans mon estime, mais j'attends tout de même de voir ce qui va se passer ensuite ! 😉

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