Pourtant, écrire, ce n'est pas mon truc. Les livres non plus, d'ailleurs. Enfin, c'est ce que je pensais, jusqu'à ce qu'un algorithme me suggère une autre phrase, d'un autre comique, Franz Kafka : "Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous." (p.11)
Puis est venu le sujet de Netflix, auquel ma mère était abonnée, et dont Nino ne voulait pas entendre parler non plus. Elle a lancé Je suis chez moi ici, et chez moi, personne ne regardera jamais Netflix ! On ne choisit pas un film comme des yaourts dans un rayon. (p.46)
Et puis, de lien en lien, je suis tombée sur "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne".
J'ai relu la phrase : "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne". Encore et encore : "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne ; "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne..."
Ça a infusé. Et j'ai fini par penser Tope-là, Emil !
Un film sans générique, c'est comme un livre sans couverture, ou une maison sans perron : on y rentre sans y avoir été invité.