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3,65

sur 1102 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Lecture très fastidieuse. La description de Oman est néanmoins précise, suggestive, sensuelle : on veut y plonger tout de suite. Mais tout est si lent, si incompréhensible, si inconséquent dans cette relation amoureuse à sens unique. de longs passages laissent pantois : pourquoi continuer alors que le coeur de l'intrigue se perd ?
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Chez Gallimard ???
Je n'ai pas tout accroché à cet livre que j'ai lu avec peine jusqu'à la fin. Mais je trouve cela vide, désincarné et plutôt prétentieux. Je n'aime pas dire, ni en l'occurrence écrire, ce genre de choses, mais je pense que cet auteur a bien de la chance d'avoir le bras long dans un journal en vue, car sa présence chez un éditeur si prestigieux a, pour moi, de quoi surprendre. C'est en le voyant sur une chaine d'information continue récemment que je me suis rappelé ce livre lu récemment. Je me suis dit alors, mais pourquoi ne pas faire comme d'autres (Modiano, Ernaux...) et bosser davantage ? La postérité de cet ouvrage ne me parait pas acquise en tout cas.
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Pas aimé du tout, abandonné avant la fin
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Belle idée de livre que ce récit au fils par le père des dernières années de leur mère et épouse morte dans des circonstances mystérieuses. Hélas, fallait-il être si mièvre et convenu pour dire cette femme exceptionnelle ? Pas pu finir, désolée.
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Je n'ai pas accroché du tout. Avant de plonger dans l'ennui j'ai préféré abandonner ma lecture.
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Je ne vais pas faire de fioritures : je n'ai pas aimé ce livre où tout est artificiel; je ne me suis jamais sentie touchée par cette histoire au verbiage parfois pompeux sur la vieille Europe vs le monde extérieur, sur les oeuvres d'art et leurs références... le personnage principal, Paz (tout un programme que de s'appeler paix!), est caricatural dans sa révolte, son exaltation, sa recherche absolue de liberté. le chagrin de César ne m'a en rien émue et ce procédé rhétorique qui consiste à s'adresser à son fils bébé est une ficelle littéraire qui tombe à plat.
Comme je suis d'un naturel optimiste et entêté, je suis allée au bout des 455 pages de ce pensum en espérant que jaillisse à un moment la flamme de l'émotion. Raté.
Il est étonnant que les lycéens aient décerné à ce roman leur prix Renaudot en 2013, eux qui en général, savent dénicher des pépites de fraîcheur ou de style.
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Que dire de plus que je n'ai déjà écrit dans ma critique du dernier roman de cet auteur, « croire au merveilleux » ?

On retrouve le même discours creux, empreint d'un pédantisme à toute épreuve, toujours prêt à étaler son savoir, sa culture et qui, une fois de plus, manque de cohérence (personne ne penserait à faire un enfant s'il pense que le monde va très mal, que l'Europe est au bord du gouffre et que la littérature n'existe plus … Même dans les livres). Et on retrouve le même personnage, peut-être encore plus détestable, égoïste totalement déprimé (et déprimant aussi) et aigri qui voudrait disposer de sa compagne comme d'un jouet, l'enfermer dans son Europe bien-pensante et bien sécurisée (l'histoire nous montrera le contraire – le roman date de 2013) où elle ne respire plus, elle qui a soif d'air et d'espace, qui « se fout de savoir et veut ressentir ».

Le seul élément intéressant est cet éclairage sur le monde de l' « art », où un journaliste, un critique renommé peut faire (et défaire) une carrière, méritée ou pas, où tous se connaissent, se tiennent, se protègent les uns les autres.

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Lire ce livre a été un vrai calvaire.
Ce n'est pas mal écrit, mais c'est surtout inintéressant (à mon goût).
Le personnage principal est pompeux et n'attire guère la sympathie, tout comme Paz.
Cela dit l'auteur essaye d'attacher une femme qui a besoin de liberté. C'est d'ailleurs pour sa fraicheur qu'il est tombé amoureux d'elle.
Les 2 personnages sont finalement égoïstes et pas attachants du tout.
Je n'ai pas passé un bon moment.
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César nous raconte, ou plutôt raconte à son fils Hector, son histoire d'amour avec Paz – de leur rencontre à la fin de leur histoire.

Ce roman m'a paru extrêmement long et je me suis forcée à poursuivre sa lecture à plusieurs reprises. Je ne suis parvenue à m'attacher aux personnages, et surtout pas au narrateur, lequel me donnait plus l'image d'être le père de Paz que son amant…

Surtout, les références à l'art sont trop nombreuses … ou comment se sentir inculte en lisant un bouquin dans lequel César cherche à nous faire passer des émotions dans une oeuvre que l'on ne connaît pas nécessairement. Bref, pour tout comprendre, il aurait fallu que je lise avec google à portée de main. Lorsque nous sortons du domaine de l'art (oui, oui ça arrive), le narrateur intellectualise tout…

L'histoire d'amour ne m'a pas convaincue non plus. César m'a paru trop égoïste et Paz trop capricieuse. Entre lui, qui cherche à emprisonner sa Paz en raison d'une phobie du monde extérieur à l'Europe et elle, qui ne supporte pas cette vie et qui vit son besoin de liberté à travers l'adoption d'un requin – la romance ne m'a pas paru particulièrement belle.

J'ai aimé en revanche les passages sur les deux évènements de la vie De César qui explique sa peur de quitter l'Europe. En fait, c'est lorsque César parlait du monde qu'il cherchait à fuir que le livre devenait intéressant … mais comme il passe la plupart de son temps à ne parler que de lui et de ses connaissances, ces moments sont assez rares.

Prix Renaudot et Grand prix de l'académie française en 2013. J'ai cependant eu, pour ma part, la joie de lire de meilleurs crus.
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40 pages de lecture et puis Bof... Ca commence plutôt bien; au départ l'écriture est plaisante et je me dis que ce sera un chouette livre.. Et puis non. Petit à petit des personnages se manifestent de façon de plus en plus caricaturale, de plus en plus "bobo" (bobale?) A oublier
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