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3,17

sur 132 notes
Avec sa verve habituelle et son humour pétillant, Eric Orsenna nous offre telles des confidences un morceau d'histoire de sa famille, les relations très proches avec son père avec lequel il partage, entre autres, leurs amours.
Un parcours léger, très agréable et qui ne se veut pas autre chose qu'une infime part d'autobiographie sous une couche pudique de malice.
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Bof, belle écriture mais sans intérêt
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Première découverte pour moi d'un Orsenna !
Quelle déception, évidemment la forme n'est point condamnable, mais le fond... Peut-être que tout grand que l'on soit, quand l'inspiration fait défaut, faudrait-il aller s'occuper de sa femme ou faire de l'aviron !
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Très beau livre sur la tendresse entre père et fils.
Les interrogations que peuvent se poser l'un et l'autre sur leur incapacité à construire de façon durable un couple les amènent à mettre en place un « examen de bonheur » pour arriver à traverser les passes difficiles et à s'interroger sur l'origine de cette malédiction : « le gène des amours impossibles ».
Le livre est plein d'anecdotes ou d'histoires que j'ai trouvées truculentes. On passe de l'île de Bréhat, où réside la propriété familiale, à Cuba, où un de leur ancêtre a débarqué en 1838. C'est lors de leur repas mensuel à La Flotille (endroit où pendant 34 ans le père et le fils se sont retrouvés chaque premier dimanche du mois) que le père dévoile ses découvertes généalogiques. Difficile de démêler la réalité de la fiction…
Afin de conjurer cette malédiction, le père disparait au lendemain du mariage de son fils, pour le bien de ce dernier. Malgré cet éloignement, ce nouveau mariage capote dès la lune de miel. Afin de ne pas rendre malheureux leur père et beau-père, Eric et Isabelle transmettent par l'intermédiaire de Françoise de « fausses nouvelles d'amour imaginaire », puis à lui envoyer des lettres. Lettres dont le père s'est délecté jusqu'à la fin.
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Absolument impensable en amoureuse invétérée des lettres que je peux sembler être, de ne pas m'intéresser à Eric Orsenna... donc d'un commun accord avec ma seule bonne conscience, sous les yeux ébahis de ma bouquiniste, J'ai fait l'acquisition de ce roman au titre rieur... Malheureusement, bien que je reconnaisse la grande habilité employée à la plume... L'histoire ne m'a comme qui dirait pas enchantée, à mon grand désespoir d'ailleurs
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Tendre hommage d'un fils à son père sur fond d'échanges sur l'amour, le mal-amour et la possible malédiction familiale qui touche les hommes de leur famille, malheureux en amour. Roman entre Cuba et Bréhat... et qui montre aussi jusqu'où l'on peut mentir par amour (filial).
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Erik Orsenna fait le constat qu'il n'a jamais pu garder une femme - tout comme son père. Ce livre lui rend hommage. Il est bien écrit, très bien écrit même. Mais leurs relations et leurs échecs sentimentaux ne m'ont intéressé à aucun moment.
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Ma première lecture d'Erik Orsenna. le récit est fluide et très agréable. Ce roman autobiographique aborde sa relation avec son père et les similitudes avec leurs vies amoureuses. Un beau roman émouvant et très personnel.
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Sans intérêt, barbant, rasant, stèrèotypé. Mortellement ennuyeux.
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Encore un écrivain qui se raconte.

Celui-là vient d'être quitté par sa deuxième femme et s'interroge sur qui est fautif. Puis comme il mêle son père à l'affaire – qui par deux fois a divorcé aussi – il se demande si c'est une malédiction ou une sorte de tare familiale, comme un gros nez ou des oreilles décollées (ça c'est moi qui le dit).

Une affaire presque réglée par son auteur qui, après moult détours, finit par comprendre que qui embrasse trop mal étreint. Entre temps, on se sera promené sur l'île de Bréhat, à Versailles et Paris, on aura écouté philosopher sur le mariage, sur la famille, sur le rapport aux femmes de deux séducteurs – le père et le fils, l'un beau, l'autre pas.

Pas désagréable certes, utile, ça c'est une autre histoire. Moi je vois dans ce roman un genre de mal français, affectant Erik Orsenna et nombre de ses confrères écrivains hexagonaux, qui est celui d'exercer l'art narcissique et vain, quand l'inspiration est en berne, d'écrire sur soi.
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