AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,74

sur 3136 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je vais me faire huer quand vous allez lire ma critique au vu de toutes les critiques positives de ce roman. J'avoue avoir adoré "Quand l'Empereur était un Dieu" de cette auteure, mais au grand dam des babéliovores, j'ai détesté l'écriture de "certaines n'avaient jamais vu la mer". Je m'explique bien sûr : je n'ai pas aimé le ""Nous" et "certaines" répétés à de nombreuses reprises. A cause de cette écriture, je n'ai pas, un instant réussi à m'attacher à ces très nombreuses jeunes femmes, me perdant parfois dans les rares prénoms cités.
j'ai fini pas abandonner ma lecture à la moitié car je me suis terriblement ennuyée. Malgré cela j'ai bien essayé de rentrer dans le roman mais sans succès.. Dommage !!!
En voyant néanmoins toutes les critiques dithyrambiques, je suis probablement passée à côté de ce roman.
Dommage car le titre était prometteur et le sujet vraiment intéressant mais c'est tout l'intérêt de partager nos lectures, d'échanger nos impressions, ce qui nous a plu ou déplu et nous faire découvrir des lectures parfois improbables.


Commenter  J’apprécie          280
Livre encensé par la critique, livre plébiscité par les lecteurs (encore que j'ai lu ici ou là quelques réfractaires), livre couronné par le Prix Fémina…..Livre dont le sujet m'intéressait fortement, et donc qu'il m'importait de lire rapidement. J'ai fait la rencontre de l'auteur avec son premier roman, Quand l'empereur était un dieu…. Et le rêve s'écroule, la première rencontre se passe mal, j'ai nettement moins envie de lire le second ; seulement voilà, il est sélectionné pour le prix des lectrices Elle !! Il faut bien que j'y retourne.
Les retrouvailles ne se passent pas bien, pas bien du tout même. Aussi bien écrit soit-il, ce livre, court heureusement, est d'un ennui mortel, et surtout, comme le premier n'a rien d'émouvant pour moi.
Ce nous présent à chaque coin de phrase finit par devenir obsédant, lourd, épuisant. Qui est ce nous ? Elle, elles ? Pourquoi se cacher derrière un nous ? Pourquoi tant d'impersonnalité, tant de neutralité ?
Dommage que le style de l'auteur ne me convienne pas du tout ; son sujet aurait pu tant me toucher, mais cette narration sans implication , sans dialogue m'a laissée dans une profonde indifférence, et surtout définitivement dissuadée de revenir un jour vers Julie Otzuka.


Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
Commenter  J’apprécie          254
Quelle déception pour moi !
Je m'attendais à tellement mieux, tellement autre chose...
L'auteur nous propose un échantillonnage des vies de ces japonaises arrivées aux USA pour vivre une nouvelle vie. Mais, au lieu de suivre une ou plusieurs d'entre elles, elle nous livre une liste de tout ce qu'elles ont vécu, les unes et les autres, sans distinction. Certaines femmes ont des points communs mais d'autres ont vécu des vies, des expériences différentes et tout nous est livré ensemble, mélangé, en vrac, à nous de trier, de se faire une idée.
Aucune histoire, aucun récit de vie, rien qui ne nous accroche, nous implique.
Parfois des phrases nous interpellent, nous intéressent, mais l'auteur passe à autre chose et on n'en saura pas plus....frustrant
J'ai abandonné à la moitié du livre, pourtant très court.
Commenter  J’apprécie          192
Je dois avouer que je n'ai pas du tout aimé. le style trop impersonnel ne m'a pas permis de rentrer dans l'histoire. l'auteur parle des immigrantes Japonaises comme une masse et non comme un ensemble d'individus. Je n'ai pas su m'émouvoir pour leur vie difficile.
Je suis allée au bout de ma lecture parce que j'avais envie de savoir ce qu'elles avaient vécus, surtout parce que j'ai toujours apprécié apprendre en lisant ou en regardant des documentaires.
Le seul moment où j'ai vraiment apprécié ma lecture c'est après la déportation des immigrants japonais. Là, le style était vivant, on arrivait à s'identifier aux personnages.
Je ne garderai pas ce roman et encore une chance que je ne l'avais payé 1,50€
Commenter  J’apprécie          150
Le sujet est intéressant et retrace une page d'histoire que je ne connaissais pas : l'exil des jeunes femmes japonaises qui ont embarqué pour les États-Unis au début du XXème siècle afin de retrouver des hommes épousés à distance. L'espoir qu'elles placent dans cette nouvelle vie sera vite déçu...
Le procédé d'écriture utilisé par Julie Otsuka est pour le moins déconcertant et j'avoue que je n'ai pas accroché du tout. Je n'ai pas aimé cet usage du "nous" tout au long du roman, ces inventaires à la Prévert (parfois interminables !) qui rendent la lecture soporifique. Par conséquent, je ne suis jamais vraiment rentrée dans le livre et si je l'ai lu jusqu'au bout c'est uniquement car il est court (je pense que je l'aurais abandonné si il avait fait ne serait-ce que 50 pages de plus !) et que je trouvais le thème intéressant.
Ce livre a reçu le Prix Fémina étranger en 2012 et les critiques des lecteurs à son égard sont en grande majorité positives ; ce style littéraire plutôt étrange plait donc à certains !
Commenter  J’apprécie          110
tout comme Carré j'ai été déroutée par la narration qui ne m'a pas permis de suffisamment m'attacher aux personnages qui défilaient
Commenter  J’apprécie          100
Roman écrit sous la forme d'un manifeste ( registre à l'usage des douanes qui répertorie la cargaison d'un navire) .
Les mots froids et secs cachent une réalité historique et humaine méconnue : l'immigration des japonais aux états unis au début du siècle dernier et leurs tentatives d'intégration depuis.
L'auteur, dans le souci compréhensible d'éviter le pathos, nous livre un récit presque clinique derrière lequel elle contient colère, rancoeur et rage à revivre pour nous le douloureux périple de ses ancêtres.
Commenter  J’apprécie          100
Sans doute y apprend-on une histoire méconnue de l'immigration japonaise aux Etats-Unis dans l'entre-deux guerres, les difficultés d'adaptation au milieu américain, l'exploitation de cette main d'oeuvre dans les entreprises agricoles ; quant à leur relégation au moment de la guerre avec le Japon, on le savait déjà.
Reste à savoir également pourquoi l'auteur ne parle que des femmes immigrées et non des hommes.
La narration est constamment impersonnelle, aucune figure ne se détache de l'ensemble ; à cause de cette volonté de désincarnation, le lecteur ne peut se projeter dans ce récit et se détache alors de ce qu'il lit ; j'ai abandonné 30 pages avant la fin tout simplement parce que je me désintéressais complètement de ce que je lisais !
Une lecture ennuyeuse et inutile.
Commenter  J’apprécie          96
Je ne vais pas y aller par quatre chemins, je me suis arrêtée a la page 75 !
trop triste, lourd, brouillon, ..... cette façon de narrer a plusieurs voix, et surtout toujours de plus en plus de tragédies ! je n'en pouvais plus !
au début , une pensée "tiens ça me rappelle le livre de Jim Fergus "milles et une femme blanche", j'ai compatis pour ces pauvres femmes....mais après j'ai trouvé le récit étouffant. je pense que j'aurais pu m'y intéresser si la façon décrire par ce "nous" c'était transformé par un "je" tout simple !
désolé mais je n'ai pas aimé du tout !
Commenter  J’apprécie          92
Manifestement, ce livre a conquis un large public. Tant mieux pour le livre et tant mieux pour le public. Honnêtement, moi je me suis tellement ennuyée devant cette succession de listes, interminables en plus, sans aucun personnage à qui s'identifier ou s'attacher, que j'ai sauté plus de la moitié du livre. Sans regret. Je l'aurais certainement très vite oublié.
Commenter  J’apprécie          81




Lecteurs (5971) Voir plus



Quiz Voir plus

Dead or Alive ?

Harlan Coben

Alive (vivant)
Dead (mort)

20 questions
1822 lecteurs ont répondu
Thèmes : auteur américain , littérature américaine , états-unisCréer un quiz sur ce livre

{* *}