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3,74

sur 740 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Grosse déception avec ce livre qui promettait beaucoup et qui au final ne m'a pas emballée plus que ça. Les idées de base sont sympas : un héritier au trône contraint à devenir esclave dans une cour royale ennemie auprès d'un maître qui a tout pour le haïr et encore plus si il savait sa véritable identité. Je voyais déjà une lutte de pouvoir, des intrigues, etc. Il y en a, certes, mais surtout sur les dernières pages. L'aspect machination a complètement été enseveli par des références sexuelles beaucoup trop nombreuses à mon goût. Quand je lis de la fantasy, je veux lire de la fantasy et non une sorte de récit pseudo-fantasy pseudo-érotique. J'ai vraiment eu l'impression que sur les 10 premiers chapitres, tout était l'occasion d'en rajouter sur cet aspect sexuel au détriment de l'histoire elle-même : esclavage sexuel, viol public, diplomatie axé sur la séduction... Un peu pourquoi pas, mais partout, à quoi bon? Bref je n'ai pas été séduite et les tomes suivants ont été retirés de ma liseuse, ce sera sans moi.

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Entamé après avoir lu plusieurs chroniques, je ne suis pas surprise par la tonalité de ce premier tome, qui présente les personnages et met en place un décor dérangeant. le royaume de Vère a en effet des coutumes très spéciales quant à ses divertissements, jeux du cirque mettant en scène des pratiques qui tomberaient aujourd'hui sous le coup de condamnations pénales. Quelques scènes dérangeantes, que l'on peut "squizzer", qui réservent cette lecture à un public averti.
L'auteur brosse un tableau d'un univers vaguement hellénique : deux royaumes en conflit depuis des décennies, et une lutte de pouvoir qui conduit l'un des princes héritiers sous le joug de l'autre. le prince déchu, réduit à l'état d'esclave, est celui qui porte la tonalité du récit. Conséquence : l'un des royaumes est dépeint très positivement par rapport à l'autre. C'est un point de vue discutable ! L'esclavage y est institutionnalisé, des esclaves « bien » traités, élevés à des fins de luxure. S'agissant de l'avis d'un roi en puissance, peut être C.S. Pacat aura-t-elle la bonne idée de le faire changer de perspective après avoir subi lui-même le statut d'esclave. Mais nous n'en sommes pas là. Ce premier tome est assez médiocre. le dernier chapitre, ainsi que les critiques babéliotes, laissent deviner une suite plus intéressante. Ayant acheté l'intégrale pour cause de sombre histoire d'opération promotionnelle, j'enchaîne le deuxième tome à la suite.
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J'étais vraiment confiante ! Au vue des critiques élogieuse que j'ai lue sur cette série, et des commentaires vraiment positifs que j'ai entendu sur la Youbooksphère, alors, dans ma tournée à la bibliothèque, j'ai pris les 3 tomes de suite... En me disant que moi aussi, j'allais surement aimé !!! Et bien que nenni !!! Je n'ai pas du tout adhéré au monde, aux personnages, à l'histoire... Je me suis ennuyée dans cette lecture !!! Des allers retours incessants entre des je t'aime moi non plus, je te veux, mais je fais mon méchant... Sincèrement, ça m'a soûler au bout d'un moment, et j'ai terminé le premier tome assez difficilement. Alors, vous pouvez vous imaginer ce que j'ai fait des autres tomes... retourner direct à la bibliothèque.
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Déception... Déception... Déception...
Qu'on ne nous dise pas tout dans le résumé, soit. Qu'on ménage le suspens sur la quatrième de couverture, soit. Mais là, j'ai eu l'impression d'une petite tromperie. Moi qui pensais plonger dans un roman de fantasy, me voilà tombée à Babylone.

Le roman de Pacat a beaucoup de qualités : des personnages plutôt intéressants, une capacité à donner envie au lecteur de savoir la suite... Hélas, l'ouvrage manque de liant et de profondeur. Alors que l'auteur a choisi de nous plonger dans un univers inédit, le manque d'épaisseur de sa mythologie m'a laissé sur ma faim. Pas assez nourri, on s'interroge sur l'histoire de ce monde, sa culture, sa raison d'être. Est-ce que la toile de fond n'existe que pour servir les scènes d'orgie ?
Du divertissement moyen donc. Peut-être à glisser dans sa valise cet été. Mais qui ne m'a pas complètement convaincu. de l'érotisme sur toile de fond fantasy. Rien de plus.
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Jamais un synopsis ne m'aura autant induite en erreur. Si chaque phrase nous parle effectivement de l'intrigue, il ne reflète pas du tout ce que je pensais y trouver. On nous dit que Damen est un héros pour son peuple, mais en dehors d'un fait de bataille, on ne sait pas pourquoi. On ne connaît rien de son passé, de son enfance, de ses relations avec les autres (nobles ou simples sujets), rien de son caractère, de son pays, de sa culture. L'ensemble sonne désespérément creux et le royaume ennemi n'est pas mieux loti. L'auteur essaie tant bien que mal de justifier les actes de ses personnages, mais les explications restent maladroites. Aux milles questions qu'il me reste en tête quand on prend le temps de creuser un peu plus loin les événements et les motivations de chacun, je suis bien contrainte d'avouer que l'ensemble n'est guère convaincant.

Damen est un prince déchu akielonien, trahi par son demi-frère le jour où il aurait dû accéder au trône. Je pensais que l'auteur nous parlerait de ses difficultés à s'adapter à sa nouvelle condition, de ses inquiétudes pour les siens ou des réelles motivations de Kastor. Si ces deux derniers points sont très succinctement évoqués, le drame vécu par Damen semble - à une punition près - se résumer à la honte de se faire maquiller ou de dormir sur des coussins de soie. Aucun charisme ne se dégage de lui comme des autres personnages principaux, et les rôles secondaires se limitent à une poignée de phrases de dialogue et un prénom collé sur un visage que l'on ne parvient même pas à s'imaginer.

Je m'attendais également à un contexte géopolitique complexe, mais les intrigues de la cour n'arrivent que tard dans le roman, et là encore, on frôle parfois des attitudes paradoxales d'un chapitre à l'autre. La majorité de ce premier tome pourrait se résumer à des orgies par procuration, puisque ceux qui cherchent à se rincer l'oeil refusent de participer. Tout cela entraîne des problèmes de rythme, des scènes se répètent, et l'intrigue se fait même carrément malsaine quand la pédophilie et les viols sont évoqués à tour de bras. Les relations sexuelles débridées, le maquillage et les bijoux à outrance ne suffisent pas à dépeindre une société décadente. Comme dit un peu plus dans ce billet, n'est pas Michael Moorcock qui veut (pour son célèbre cycle d'Elric de Melniboné). Surtout qu'en dehors des pratiques des privilégiés de la Cour, on ne sait RIEN de la civilisation vérétienne.

Damen se croit meilleur que Laurent, mais si ce dernier est effectivement un manipulateur hors-pair d'une cruauté insatiable, ils ne sont pas si différents l'un de l'autre. Il lui reproche la façon dont Laurent et les siens traitent leurs esclaves mais quand on sait que la patrie de Damen lave le cerveau d'un paquet de gens pour en faire l'objet (bien docile) des pires désirs de leurs maîtres, il ne me vient qu'un mot à l'esprit : hypocrisie ! J'ai eu plusieurs fois envie de hurler. Dans le fond, peu importe que l'on traite bien ou non un esclave, ça ne rend pas Damen meilleur ou plus admirable que les vérétiens. C'est lui aussi un esclavagiste, point barre, et il n'y aura jamais rien de noble là-dedans. Il convient d'appeler un chat "un chat".

L'idée de départ me paraissait bonne et j'étais sincèrement enthousiaste en ouvrant ce roman. J'ai vite déchanté... Que l'on vende ça sous le label "romance érotique" m'aurait peut-être moins gênée, mais parler de Prince Captif comme d'un nouveau bijou de la littérature fantasy me fait sortir de mes gonds. de mon point de vue, C.S. Pacast a des fantasmes très particuliers, qu'elle a transposés dans un univers imaginaire pour que cela paraisse plus acceptable. Un univers imaginaire sans la moindre consistance. Ne tenant vraiment pas à voir la relation Damen-Laurent évoluer dans le seul sens envisageable au vu du final, je ne lirai pas la suite.
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
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Alors là, quelle déception…

Cette trilogie me tentait depuis très longtemps, vous n'aviez qu'à voir le nombre de fois où j'en parlais, le nombre de fois où j'ai repoussé la lecture de celle-ci, en sachant qu'elle allait être aussi incroyable qu'éprouvante, en sachant que j'allais avoir mal, très mal, et que ce n'était peut-être pas le bon moment.

J'ai attendu tellement longtemps, que j'ai eu tout le temps de m'y préparer, mais quelle déception…
L'autrice nous met tout de suite dans le bain, à tel point qu'elle en oublie de poser les bases, le contexte.
Elle nous plonge au coeur de cette violence extrême, particulièrement omniprésente, et qui, finalement, semble injustifiée, gratuite.

J'ai fini par lâcher prise, arrêter d'attendre quelque chose de ce roman, et je l'ai terminé, en sachant d'ores et déjà que je ne lirai jamais la suite.

Je suis tellement déçue...
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L'histoire m'avait semblé digne d'intérêt et j'ai été très déçue. J'ai eu l'impression qu'elle était une excuse pour pouvoir mettre des scènes de sexe un peu partout. Je ne me suis pas du tout attachée au.x personnage.s et j'étais souvent en train de me dire "mais où sont les femmes ???". Je ne lirai certainement pas la suite !
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Roman Fantasy Érotique, pour public avertis, 18 ans+


Ce premier tome est un roman qui nous rend inconfortable dans nos moeurs. S'il constitue un roman adulte à inclinaison sexuelle dans un contexte Fantasy qui peut plaire à un certain lectorat, avec le temps, il a cessé d'être attrayant à mes yeux, alors que je constate l'étendu des glorifications de relations toxiques dans les littérature générale et Jeunesse. Cette critique est donc une seconde critique.


Contextualisons un peu. Dans la société de Vère, le royaume où le prince Damen est retenu captif, il est de notoriété publique qu'un homme "bien né" (l'élite), se doit d'être prudent à ne pas engendrer de bâtards. Dans cet ordre d'idée, les puissants se sont tournés vers les rapports entre personne de même sexe afin d'être sur de pas avoir d'enfants illégitimes. C'est pourquoi, à tort ou à raison, les personnages du roman passent presque tous pour des homosexuels, mais en réalité, ces rapports traduisent plus un moyen de satisfaire tout le monde sur le plan sexuel. Femmes avec femmes.Hommes avec hommes.


C'est dans ce contexte politico-social que se profile la relation houleuse entre l'esclave et son maître, tout deux princes et tout deux ennemis. Les intrigues de la cour, les commérages et les pratiques barbares sont le lot d'épreuves du prince Damen, le prince captif. Mais ce premier tome fait sous-tendre aussi des complications pour Laurent, le prince propriétaire de Damen.


Personnellement, le pays de Damen me rappel la Grèce et celui de Laurent un mélange en l'orient et le moyen-orient. Il y a certainement de l'inspiration d'outre-mer dans ce livre.

Mais. Il y a un mais.

Attention, je vais devoir divulgâcher, incluant les tomes 2 et 3.


J'ai du revoir cette critique, initialement relativement positive, car j'ai du faire le constat de ma propre incohérence. Pendant que je trouve parfaitement anormal de voir des romans promouvoir le viol comme une forme de sexualité ( souvent retournée comme "plaisante finalement"), je n'avais pas, semble-t-il réalisé que c'est exactement ce qu'a vécu Damen. Un viol. Il s'agit d'une fellation forcée et le fait de bander est strictement mécanique, pas signe de plaisir réel. Pire, son violeur se fait diriger par son "propriétaire", le prince de Vère et non-accessoirement, son futur amant. Il s'agit d'une vengeance, car nous découvriront plus tard que Damen est au coeur d'une action que Laurent souhaite lui faire payer.


C'est donc malheureux, car le reste du roman est plutôt potable, surtout le tome 2 avec la guerre, mais je ne peux pas laisser une relation toxique glorifiées rester dans mes romans à quatre étoiles. Par prinicipe et parce que ma pensée a évoluer.


En fait, n'eut été de deux éléments, à savoir le viol et la flagellation "à mort", l'histoire des deux princes ennemis aurait été davantage "vraisemblable" et surtout "saine". Un autre point qui refait surface dans mon esprit est le fait que plus loin dans la série, Laurent adopte une nouvelle "posture" ( dans les deux sens du terme) en se prostituant auprès de son "amant", afin de s'assurer de son concours dans le conflit. Il y a donc un axe malsain dans leur sexualité de ce point de vue, axe qui est d'ailleurs encore plus tordu quand on apprend que le prince de Vère est aussi victime d'un pédophile dans sa tendre enfance, qui est son propre oncle. Décidément, la déviance sexuelle et l'instrumentalisation de la sexualité me semblent loin de tout potentiel amoureux, malgré ce qu'en dit l'autrice.


Je comprend qu'il y a un contexte, celui d'un monde hiérarchisé qui s'autorise la violence sexuelle sur les hommes. Néanmoins, il devient litigieux de prétendre que l'amour peut naitre de cette violence et pour cela, je dois sortir "Prince captif" de mes coup de coeur. La violence faite aux hommes est d'ailleurs aussi rebutante que celle infligée aux femmes. Certains romans en parle d'ailleurs de ces sociétés qui s'autorisent la violence sexuelle, mais la différence, c'est qu'elles mettent en relief l'absurdité de cette violence et ses conséquences. "Prince captif" semble au contraire s'en servir pour faire passer un extrême à un autre, de "Ennemis" à 'Amants". Un fantasme qui charment certaines personnes, mais qui a cesser d'être ambigu pour ma part.


Pour un lectorat adulte avertis, 18 ans+ ( Sexuellement explicite).
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Voilà un livre que j'ai attendu même commandé car mon libraire ne l'avait pas donc pour vous dire a quelle point je voulais le lire.
Mais a mon grand étonnement j'ai terminé ce livre avec une grosse déception' certes l'histoire a du fond mais je n'ai pas vraiment accroché.
Les passages érotiques homo m'ont laissé perplexe , bof bof.....
Je doute pour l'instant de me plonger dans le tome 2 on verra si l'occasion sépare sente pourquoi pas mais sans certitude.
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Bon je sais ... une fois que j'aurai cliqué sur "publier" j'aurai plein d'ennemis ... Tant pis sortez les tomates j'assume pleinement.

Comme les apparences sont trompeuses ... Parce que mine de rien moi je m'attendais à une grande aventure, une épopée fantastique qui me mènerait d'aventure en aventure pour reconquérir le royaume qui revient de droit à Damen (oui je sais je n'avais qu'à lire plus de billets avant de l'ouvrir ok ok ).

Alors je vous avoue que quand je me suis retrouvée face au récit ma première réaction fut "Mais pourquoi?". Oui ... Mais pourquoi ...

Aventure, action, épopée il y a maissssssssss pas comme je l'imaginais. Un des passages les plus grandioses ? Les jeux du cirque revisités ... non le but de la lutte entre les deux hommes n'est de mener l'adversaire à la mort mais bien de ... de ? de ? de le pénétrer oui bingo gagné (mais histoire de se rassurer on nous précise tout de même que le "perdant" a visiblement été préparé ... ouf ...). Tout le long ça se cherche, ça se trouve (ahahah), ça se subit, ça tatonne dans la sensualité, c'est parfois cru, parfois subtil. le pire ? L'intrigue reste intéressante voire passionnante. Ah mais oui les amis moi j'ai envie de savoir si ce cher Damen (que j'imagine gaulé comme un pompier en uniforme croisé avec un gars du stade français) récupérera son royaume, j'ai envie de savoir si la trahison et le mensonge seront percés à jour, j'ai envie d'avoir des réponses à tout ce qui est soulevé dans ce premier tome (et je ne parle pas que des tuniques masculines soulevées). Et bang me voilà prise bien malgré moi dans cette histoire parce que même si j'ai grimacé de dégoût (en me disant que quand même parfois ils devaient se faire sacrément mal .. ah bah non préparés on a dit), même si parfois j'ai éclaté de rire (hiiiiiiiiii désolée certaines scènes appelant à la sensualité m'ont faire rire je demande pardon aux fans), même si parfois j'ai regardé ma moitié (qui étudiait sagement à mes côtés) en lui disant "mais enfin pourquoi ?", même si ce bouquin m'a valu une discussion tordante en tchat avec une copinette, je dois avouer que j'ai bien envie de connaître la suite parce que mine de rien un petit coté addictif s'installe.

Bon de là à crier au coup de coeur et à cautionner le mouvement d'emballement qui se fait autour de ce livre je réponds non non non non non et non. Franchement, je ne vois pas pourquoi toute cette effervescence (mais soyez rassurés je peux admettre être coincée tout ça tout ça ), par contre admettre que le roman se lit facilement qu'on le veuille ou pas ça oui sans hésiter.

Bon allez c'est pas tout ça mais j'ai des questions qui doivent trouver réponses alors .... la suite m'attend.

Ah j'oubliais ... "Maman je peux le lire????????" : non! même pas en rêve mon chéri tiens reprends un bonbon.
Lien : http://desmotssurdespages.ov..
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