L'homme qui aimait les chiens

Une superbe promenade dans l'histoire du communisme vu par un cubain

Un roman à la fois passionant par son histoire intrinsèque et par l'Histoire de la révolution russe vue au travers du prisme de trotsky

Une très chouette découverte, ça se lit vite et bien, la traduction est très fluide. J'ai aimé l'entremêlement des histoires et la force des personnages décrits. le récit éclaire à la fois une certaine réalité cubaine mais aussi un pan de l'histoire russe que je connaissais très mal. Bien que l'auteur prenne sans doute des libertés avec L Histoire, le tout est plausible et très agréable à lire.

Fantastique !

A travers la biographie de l'assassin de Trotski, ce roman parcourt les révolutions espagnole, russe et cubaine. Ce livre ne se lit pas d'une traite, j'ai bien mis le trimestre, non par désintérêt, tout au contraire, ce livre m'a passionnée. J'ai plusieurs fois éprouvé le besoin de revenir sur ma lecture, le destin croisé de ces 3 révolutions manquées oblige à s'interroger sur le combat politique, sur les causes de la perversion des idéaux et sur la transformation personnelle des hommes qui les ont portées. Une réflexion aussi sur le sens d'une vie entière consacrée à une idée fixe. Et sur la manipulation.
Toutefois la partie consacrée à la révolution russe est parfois un peu pesante car on se perd dans les noms et les tendances.

Un récit historique que Padura a su rendre palpitant.

Pour découvrir l'histoire de Ramon Mercader, l'assassin de Trotsky.
Pour découvrir des facettes de l'histoire et de la personnalité de Trotsky.
Pour découvrir comment un révolutionnaire espagnol peut entrer au service du NKVD, eh oui.
Un livre excellent, sans doute un peu long, mais c'est bien excusable tant cette histoire est poignante.

un tres bon livre de Padura

Les destins croisés de Léon Trotski et de son assassin Ramon Mercader racontés par un écrivain cubain réduit au mutisme par le régime castriste : c'est passionnant et très "instructif" sur l'histoire de la première moitié du 20ème siècle. 670 pages mais on ne s'ennuie jamais !

A ce jour, à mes yeux, le chef d'oeuvre de Leonardo Padura. Sur un fond de fresque historique, plusieurs vies entremelées : celle de Trotsky, de son futur assassin (Ramon Mercader) et d'un cubain (Padura ?).