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4,05

sur 179 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Il y a encore quelques semaines, je ne connaissais pas du tout Charles Palliser ni son oeuvre "Le Quinconce". C'est donc avec curiosité que je me suis plongée dans le premier volet de cette saga, généreusement envoyé par les éditions Libretto, que je remercie vivement.
Comme beaucoup l'ont expliqué avant moi, le Quinconce est une oeuvre magistrale en 5 volumes, chacun d'entre eux étant composé de 5 parties. Tout semble organisé presque mathématiquement dans un but que je ne connais pas encore après la lecture du 1er volume.
L'histoire, quant à elle, se révèle intéressante et surtout intrigante. Dans un village anglais de la fin du XIXème siècle, le petit John, élevé seul par sa mère et quelques domestiques, comprend que sa famille cache un secret dont il voudrait bien trouver la clé. Il doit malheureusement faire face au silence de sa mère, effrayée à l'idée de lui divulguer quoi que ce soit.
De ce fait, le lecteur est lui aussi face à ce mur de silence. Nombreuses sont les pistes distillées par ci par là, mais quand un mystère semble s'éclaircir, un autre s'ajoute.
Ce livre m'a fait penser à une toile d'araignée. On comprend que chacun cache quelque chose, les intérêts des uns sont des dangers pour les autres, les complots n'en finissent plus, mais l'auteur tire les ficelles avec brio et maîtrise. Il sait parfaitement où il va et on le sent bien.
Les personnages sont des figures bien campés, aussi la mère de John m'agace-t-elle un peu quand elle lui répond systématiquement qu'elle lui expliquera tout quand il sera plus grand. Je comprends cet enfant qui sait qu'on lui cache des choses, qui manque de se faire enlever, mais à qui on ne dit rien!
Les domestiques, eux, sont criants de vérité et le réalisme est poussé jusque dans leur parler, très patois.
Autour de ce petit monde gravitent d'autres personnages sans scrupules, amis ou ennemis, pour certains le doute est encore permis, mais le tout rappelle Dickens, cela va sans dire, et cela a déjà été dit!
J'ai cependant été régulièrement surprise par l'écoulement du temps: il se passe parfois 3 ou 4 ans entre deux événements séparés de quelques pages, sans que cela soit formellement exprimé. Cela ne gâche rien à la compréhension de l'histoire.
J'ai été convaincue par cette lecture et je me plongerai dans la suite des aventures de John avec plaisir.
Chapeau bas à l'auteur, professeur de littérature, qui a publié cette oeuvre en 1989!
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Lorsque j'ai ouvert l'ouvrage de monsieur Palliser, j'avoue que je n'avais jamais entendu parler de ce fameux Quinconce, pourtant une oeuvre importante de cinq volumes qui, au premier abord, avait tout pour me séduire. Ma tendresse pour L Histoire et ma gourmandise pour les fresques octroyaient d'ors et déjà à L'Héritage de John Huffam une attitude bienveillante de ma part. Quant au pitch, il donnait un aura de mystère fort alléchant au roman...

Pour que tu prennes, ami lecteur, cet avis avec le recul nécessaire, il va me falloir avouer que ma neutralité -ou du moins ma volonté de rigueur-, n'est pas toujours au rendez-vous. Et te parler un peu de ce que je pense de certains autres ouvrages, lus il y a plusieurs années. La huitième de couverture nous prévient : « À la fois roman picaresque et fable initiatique convoquant les talents de Dickens et Shakespeare, le Quinconce a été salué comme un chef-d'oeuvre ». Oui, oui, c'est écrit par la maison d'édition, donc tout à fait de parti pris toussatoussa. Sauf que peu importe. Parce que je n'aime pas Dickens -Sauf Un Chant de Noël, et encore... Mickey y est sans doute pour quelque chose-. Voilà. J'ai avoué. Dickens m'endort. Ouaip. Ses pauvres m'indiffèrent, ses héros me fatiguent, son foisonnement me pèse sur l'estomac. Je ne dis pas que j'ai raison, je ne dis pas que monsieur Dickens ne fait pas parti des plus grand écrivains anglais. Je dis juste que ses romans me font autant d'effet que l'homéopathie en a sur mon organisme. En d'autres terme, je m'en contrefous.

Et effectivement, il y a du Dickens dans l'ouvrage de monsieur Palliser. Objectivement, les intrigues semblent fort alléchantes -je n'ai lu que le premier tome, donc je ne peux en dire plus- et l'auteur a le talent de nous perdre dans un labyrinthe sans doute minutieusement pensé. Sauf qu'il ne s'est pas contenté de faire revivre une époque et un genre. Non. Charles Palliser adopte aussi la plume victorienne. Là, j'ai vraiment eu du mal. Non avec le style classique mais avec ce choix littéraire qui, pour moi, confine à l'extrémisme d'écriture. Rendre hommage et faire vivre une époque, soit. Mais pourquoi adopter aussi le phrasé, le rythme, les défauts du passé ? Si un écrivain se lançait dans la rédaction d'une épopée chevaleresque située au XIIième siècle, aurions-nous à nous coltiner de l'Ancien Français ? Bref, je ne vois pas bien l'intérêt d'une telle rigueur qui, à mon sens, ne sert pas vraiment le propos.

Tout cela, ami lecteur, pour dire que ma conclusion ne sera pas du tout constructive. Si tu aimes les intrigues alambiquées et sans doute brillantes et si tu admires Dickens, il y a fort à parier que tu ne seras pas déçu. Quant à moi, je m'en retourne vers des styles et des genres qui me correspondent mieux.
Lien : http://altervorace.canalblog..
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Campagne anglaise, 19e siècle. John vit seul avec sa mère et leurs 3 domestiques, ignorant des tracas des adultes jusqu'à ce qu'une série d'événements lui fasse comprendre que certaines personnes mal intentionnées en ont après sa famille, et cherchent à tout prix à récupérer un document maternel qui a trait à un héritage qui peut tout changer...

Tout d'abord je remercie les @editionslibretto pour leur confiance et pour l'envoi de ce livre, qui est le premier d'une série de 5. Après une belle préface de Gaëlle Josse, je dois avouer que les 50 premières pages m'ont rebutée car la langue utilisée est extrêmement ardue, ou alors l'auteur, universitaire américain, emploie un patois dans les dialogues avec les employés ou les villageois qui rendent la lecture difficile. Je me suis cependant accrochée et ensuite cela devient plus simple de rentrer dans l'histoire et de faire abstraction d'un vocabulaire qui ferait passer la littéraire que je suis pour une inculte suprême, et les pages se tournent beaucoup plus vite, à mon soulagement. Il est intéressant de voir l'insouciance de Johnnie et ses occupations de petit garçon, lorsque d'autres chapitres évoquent le complot ourdi contre lui par plusieurs personnages différents. Sa mère est d'une naïveté confondante, elle protège son secret, et on se demande comment elle va pouvoir le protéger par la suite, néanmoins je ne suis pas sûre de lire la suite pour autant. Je trouve que quitte à faire un roman dickensien, on peut le faire dans une langue plus accessible à tous, surtout lorsque ce dernier est écrit en 1989. Enfin je trouve le format et le toucher très agréables, ce qui donne un confort de lecture.
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A l'occasion d'un opération Masse Critique spéciale suite à sa réédition par les éditions Libretto, j'ai reçu "Le Quinconce, I - L'héritage de John Huffam" de Charles Palliser.
Je remercie beaucoup Pierre Krause, Babelio et les éditions Libretto pour cet envoi.

Il m'est difficile de chroniquer cette lecture tant elle me laisse perplexe. Je ne dirai pas que je n'ai pas apprécié, mais je ne dirai pas non plus que j'ai été emporté par ce que j'ai lu... C'est un roman en plusieurs tomes. Cette première partie nous présente le narrateur Johnnie et met en place l'intrigue.

Le livre d'un peu moins de 300 pages est divisé en 5 parties.

J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans la première partie - Un enfant malin. L'écriture et les expressions "à l'ancienne" constituaient pour moi un mur... Je n'ai d'ailleurs pas trop compris pourquoi Charles Palliser utilisait ce style dans un roman contemporain (j'ai bien vérifié à plusieurs reprises la date de publication...c'est bien 1989). On y retrouve tous les styles de langage "parlé" allant de l'argot populaire au langage le plus châtié en fonction du personnage. Assez déroutant... et j'ai du reprendre pas mal de fois certains passages pour être sûr de bien comprendre. On découvre le narrateur Johnnie qui effectivement est un enfant malin.
Il n'empêche j'ai trouvé cette première partie très longue...

Bien m'en a pris de persévérer puisqu'ensuite j'ai trouvé que le livre allait crescendo. Peut être est ce parce que je me suis habitué à l'écriture, peut être est ce parce qu'il y a davantage de dialogue, peut être est ce parce qu'il y a davantage d'actions... En tout cas, la suite de ma lecture a été plus aisée.
Il n'empêche que je ne pensais pas consacrer autant de temps à ce roman.

L'auteur distille ses indices petit à petit et met en place l'intrigue dans les 4 parties restantes.
Du remaniement de la gouvernance familiale dans la 2e partie - Des amies disparaissent - aux manipulations dans la 3e - une compagnie prometteuse- et la 4e - Spéculations- jusqu'au rebondissement final dans la 5e - Relations.
Même si c'est complexe et assez peu empathique, on s'attache à l'histoire du maitre Johnnie et on partage assez régulièrement ses pensées. de ce coté la, l'auteur a bien réussi à nous captiver.

Les dernières pages incitent à se ruer sur les prochains tomes puisqu'elles clôturent la première vie du narrateur si je puis dire sans toutefois dévoiler grand chose de la suite...

En ce qui me concerne, je ne sais pas si je poursuivrai la saga... Pas dans l'immédiat en tout cas j'ai besoin de digérer...
A la fois intéressant (l'histoire) et dérangeant (l'écriture), voila quelle conclusion je ferai en refermant ce roman.

Je remercie une nouvelle fois Babelio et Libretto pour m'avoir fait découvrir ce roman que je n'ai pas l'habitude de lire.

3/5
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C'est une découverte assez surprenante que celle de ce roman sans âge à l'écriture résolument victorienne. Charles Dickens n'aurait sans doute pas renié ce confrère, alors que Charles Palliser est contemporain et a écrit cette série à la structure singulière en 1989. C'est donc avec étonnement que je suis entrée dans l'écriture de ce récit d'un autre temps, vérifiant par deux fois la biographie de son auteur, tant il nous entraine dans un récit du XIXème. Quel que soit le niveau de langage, châtié ou argot populaire, toutes les nuances sont présentes . Mais une fois le parti pris entendu, on plonge aisément dans l'aventure.
Dans ce premier tome, nous faisons la connaissance de John et de sa mère. Ils habitent un petit village perdu dans la campagne anglaise, loin de tous. John, élevé par sa mère, est entouré de femmes, servante, nourrice, cuisinière, et vit de façon plutôt humble, pas vraiment misérable. Dans un quasi isolement puisqu'il ne doit pas parler aux inconnus et n'a pas le droit de rencontrer les enfants de son âge. Il ne sait rien de ses origines, ni de son père ni de sa famille. Les circonstances et sa curiosité vont l'aider à dénouer les premiers fils d'une intrigue qui s'avère fort complexe au fil des pages.
Un codicille conservé avec moultes précautions par sa mère semble prouver d'où il vient et pouvoir lui apporter d'hypothétiques richesses. Mais il est également sujet de grandes convoitises par les divers personnages dont nous allons faire la connaissance tout au long du récit. La mère est un personnage attachant, mais faible, très inquiète, naïve, manipulable, elle semble à la merci de plus malin qu'elle. Peu encline à faire confiance à son jeune fils, bavard et facilement influençable, elle fera quelques erreurs de jugement qui seront la cause de bien des malheurs à venir.
John quant à lui nous apparait comme un jeune garçon charmant et curieux, même si son langage et ses façons sont souvent celles d'un jeune homme plus adulte que son âge. Pourtant il lui est difficile d'aller contre la volonté de sa mère, lui qui ne sait rien mais comprend vite qu'elle lui cache beaucoup de choses sur ses origines.
Nous allons découvrir peu à peu les différentes familles qui gravitent autour de lui, les liens qui les unissent, les imbrications avec sa propre histoire. Des plus misérables aux aristocrates parfois sans coeur, les différentes strates de la société sont présentes avec leurs défauts et leurs qualités, leurs relations parfois ambiguës, leurs mystères et leurs secrets. Cinq tomes, cinq chapitres, cinq familles, étroitement liées sans doute, mais que le lecteur devra découvrir au fils des différents tomes. C'est un peu frustrant et j'aurai souhaité en savoir déjà un peu plus. C'est un récit attachant, embrouillé parfois, mais qui se laisse lire avec plaisir si l'on dépasse la surprise de cette écriture victorienne à la Dickens.

Lien : https://domiclire.wordpress...
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Je remercie Babelio pour ce spécial masse critique concernant une oeuvre colossale qu'est "Le Quinconce".
L'oeuvre que j'ai reçue est le premier volume des aventures de John Huffman. C'est un roman d'un style particulier pour moi car il mélange L Histoire, avec de l'intrigue policière et des phénomènes sociaux.
Je ne connais pas du tout ni l'auteur ni cette oeuvre et je pensais recevoir un roman récemment sorti, ce n'est pas le cas.
La somme de toutes ces petites choses m'a fait plongée dans un univers totalement nouveau et un peu compliqué pour moi.
J'ai mis du temps à rentrer dans l'histoire que je trouvais trop longue à démarrer, trop descriptive et pourtant l'écriture est plutôt agréable. J'ai persévérée dans ma lecture car je déteste ne pas finir un livre mais je n'ai pas particulièrement accrochée jusqu'aux derniers chapitres. Là j'ai trouvé que l'auteur avait ajouté plus d'actions, plus d'événements intéressants pour la poursuite du livre et ainsi m'a redonné un peu plus d'enthousiasme.

L'oeuvre décrit une période noire et un destin plutôt compliqué pour le jeune John Huffman qui a grandit seul. J'ai appris beaucoup de choses sur l'Angleterre et ses caractéristiques du 19ème siècle entre prostitution, misère, hiérarchie dans la société.

Finalement j'avais plus envie d'apprendre encore sur l'Angleterre que sur le héros en lui-même.

Mon intérêt a été éveillé à la fin car l'auteur n'a pas laissé tellement entrevoir la suite de l'histoire...peut-être que je lirai la suite mais pas dans l'immédiat.
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Dans l'Angleterre du début du 20ème siècle, John nous raconte son enfance avec sa mère dans un petit village où il vit chichement et découvre peu à peu qu'on lui cache beaucoup de choses. Au fur et à mesure du livre, on découvre qu'un secret entoure le père de John et que sa mère refuse de lui en dire plus. Dès qu'un pan du voile se lève sur ce secret, on se rend compte qu'il y a encore beaucoup à découvrir.
J'ai bien aimé le suspens et le rythme du livre mais ce n'est pas non plus le gros coup de coeur. J'ai malgré tout envie de lire la suite et je la tenterai bien en anglais (même si j'ai peur que ce soit un peu compliqué car la traduction utilise un français quelque peu désuet).
En bref : pas mal.
Lien : http://knitspirit.net/2015/0..
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Dans l'Angleterre du XIX ième siècle, John Huffman est un petit garçon élevé par sa mère dans un village isolé et dans une pauvreté relative. Mais très vite il comprend qu'il est apparenté avec une famille importante de la région mais que cette filiation doit resté secrète sous peine de danger pour lui et sa mère.

Le Quinconce est une oeuvre de plus de 1500 pages divisé en 5 tomes. Dans ce premier tome on fait la connaissance du narrateur qui n'est autre que le héros John Huffman. On y fait aussi connaissance de sa mère et des servantes qui partagent leur quotidien. Une mise en place, qui comme souvent dans ce genre de série, met un peu de temps a se mettre en place, non que l'on s'ennuie mais peu de chose se passe. Evidemment quand on parle de Londres, d'enfant orphelin on pense a Charles Dickens et dans ce cas présent le parallèle est évident et voulu par l'auteur. Tous les thèmes propres a Dickens (la pauvreté, les avocats/juges véreux, la découverte de son passé, les trahisons, etc) sont ici traité avec beaucoup de dextérité et d'application. Mais qu'on ne réduise pas "le Quinconce" a un plagiat, il n'y aurait rien de plus faux on pourrait plutôt parler d'hommage a Dickens car l'histoire développée ne rappelle aucun de ses romans. Et dans ce premier tome il y manque l'humour si cher a Dickens et il y manque aussi l'empathie vis a vis des personnages. Aucun des personnages n'attirent notre sympathie même pas le jeune héros de cette histoire. Difficile aussi de démêler l'écheveau d'intrigues et de mystères qui parsèment le récit mais cela nous donne l'envie de continuer la lecture de cette série pour savoir ce qui va arriver a notre jeune héros. Difficile de donner un avis définitif sur une saga après n'en avoir lu que le premier tome. Ma note pour ce premier opus : 6.5/10.

Un grand merci aux éditions "Libretto" et a Babélio pour m'avoir permis de faire la découverte de cette série grâce a cette masse critique.
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
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Il s'agit d'une oeuvre en cinq tomes, le premier n'est donc qu'un amuse -bouche en quelque sorte...

Le récit est fait par Jonh, un petit garçon qui vit avec sa mère dans un cottage de la campagne anglaise. Très peu de gens gravitent autour de l'enfant et de sa mère, une nourrice, une cuisinière, une servante , un homme à tout faire. Ils n'ont aucun contatc avec l'extèreiur , sauf quand parfois Jonh réussit à déjouer l'attention des adultes pour aller découvrir ce qui est pour lui le vaste monde....

Le mystère et le secret entourent la vie de Jonhy, il en perçoit certains éléments sans être à même de tout comprendre.

Peu à peu l'écheveau se déroule pour nous laisser entrevoir une toile d'araignée au tissage complexe et dense, toile dans laquelle se débat la mère de l'enfant.

Ce premier tome plante le décor, le gros de l'intrigue et se termine avec le départ pour Londres.

Je suis restée sur ma faim en n'ayant pas plus d'informations sur le mystère qui entoure la naissance de l'enfant, pour cela il me faudra lire la suite. La dureté de la vie au début du XIXe est bien rendue , le langage des gens du peuple donne le ton, la relation mère/fils est un peu étrange mais crédible.
Lien : http://theetlivres.eklablog...
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Alors oui, c'est bien écrit, c'en est même bluffant tant ça semble d'époque.

Mais...

Mais j'ai été déçue et je suis restée sur ma faim (normal aussi, peut-être, vue que quatre autres volumes attendent derrière...).
En fait, à part les -trop- longs passages financiers où j'ai décroché, j'ai eu l'impression de lire un roman pour enfants du 19ème.
Les personnages sont d'un simplisme effrayant, entre la mère exaspérante de naïveté et de bêtise, la nourrice un peu pot de glus et le petit garçon (ou l'ado ? aucune idée en fait) parfois précoce, parfois bête comme sa mère. Quant aux "méchants"...

Bref. Peut-être faut-il lire la suite pour être totalement envouté, subjugué, captivé.
Dans tous les cas, ce premier tome n'a pas répondu à ce à quoi je m'attendais. L'intrigue ne pas pas tenue en haleine outre mesure.

Mais il faut quand même noter l'écriture. Là, j'avoue... c'est juste parfaitement maîtrisé !
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