Embrassez-moi

C'est à New York aujourd'hui. C'est à Rochester dans les années 1980. C'est à Hollywood… C'est à Paris… C'est en Tchéquie avant et après la chute du Mur… Angela est française. Elle est souvent passée à côté de l'amour sans le voir, mais, cette fois, elle est face à sa peur viscérale d'aimer… Louise est américaine, ancienne star de cinéma. Elle dialogue avec Angela, lui raconte sa vie, ses amours, ses échecs. C'est auprès de Louise qu'Angela cherche des réponses… Virgile est français. Il aime, mais il se méfie, on ne sait presque rien de lui… Mathias est tchèque. Rien ne peut le détourner de sa route. Il refuse de s'abandonner. Angela le cherche, il la fuit, ils se retrouvent… Il y a tous les autres, les fantômes du passé qui entrent et sortent, qui forment une grande ronde de secrets, de blessures, de rires et d'amour… Ces femmes, ces hommes traversent le chemin d'Angela, la narratrice, qui cherche désespérément un fil. le fil de la mémoire, de l'amour, du désir, de la liberté d'aimer ou de répéter sans arrêt les mêmes peurs, les mêmes douleurs, les mêmes échecs…

Je n'ai pas terminé ce livre, puisque j'ai lu qu'une centaine des 416 pages. Sur ces 100 pages, j'ai déjà sauté un nombre record de passages. Je n'ai pas aimé le style d'écriture de l'auteur (qui pourtant ne m'a pas dérangé dans la trilogie Tortues, crocodiles et écureuils) et les longueurs du roman (qui sont aussi présentes dans la trilogie). Ce style, vous le voyez déjà dans la quatrième de couverture retranscrite ci-dessus. En effet, je ne me suis pas aventurée à tenter de faire un résumé de ce que j'ai lu ! Ces 100 pages décrivent surtout des pensées intérieures et il ne passe pas grand chose. Après mon abandon, j'ai lu quelques critiques, j'ai vu que beaucoup ont eu autant de mal que moi, ceux qui ont persévéré annoncent que l'action arrive enfin dans les 30 dernières pages, je n'aurai pas le courage d'attendre jusque là. J'ai essayé de persévérer plusieurs jours, sans succès, j'abandonne donc ce livre ici.
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je suis péniblement arrivée au bout de ce roman sans retrouver ce que j'ai tant aimé dans la trilogie des crocodiles/tortues/écureuils

Lu après sa super saga "les yeux jaunes...", "la valse lente...", donc forcément, j'ai moins accroché.
La qualité d'écriture était au rendez-vous, mais ce n'est pas mon ouvrage préféré de Catherine Pankol (à vrai dire, je ne me rappelle même plus vraiment de l'histoire).
Toutefois (car il y a un "mais") : l'achat de ce roman m'aura permis de rencontrer l'auteur à la Boîte à Livres de ma ville : une femme adorable qui prend le temps d' 'échanger avec ses lecteurs.

Je vais essayer de faire simple.
Je n'ai pas du tout aimé la lecture de ce roman car je l'ai trouvé terriblement long.
Certaines descriptions de personnages me semblent ne servir à rien du tout, si ce n'est combler un vide...
La dichotomie entre l'égo et la volonté du personnage principale m'a plus que tout épuisée.
Et le style, je le trouve un peu "bateau"... y'a rien de particulier à souligner...

Je me suis largement ennuyée pendant cette lecture, et j'ai même été agacée, ça ne m'étais pas arrivée depuis longtemps...
J'ai réussi à le finir mais c'était presque devenue une corvée pour mon âme têtue...

Il est rare que je ne termine pas un livre, mais celui-ci m'est tombé des mains. Aucun atôme crochu avec cette héroïne accro à son ancien amant... Trop de clichés à mon goût et une image de la Femme qui ne m'a pas séduite. Dommage car j'avais découvert Katherine Pancol avec Muchachas que j'avais plutôt bien aimé.

Histoire sans aucun intérêt, un ennui total.