Les yeux jaunes des crocodiles

Un livre agréable qui ne se lache pas ! J'étais un peu réticente au début, et puis on se laisse prendre par les personnages attachants, l'intrigue est parfois invraisemblable mais le livre ne se prend pas au sérieux et on imagine que l'auteur se fait plaisir de temps en temps .....Bref je vais lire la suite !

Une couverture et un titre intriguant, je me suis empressée de commencer ce livre en me demandant en quoi ces crocodiles étaient si importants... on le découvre vite lors d'une des (trop) nombreuses histoires. A mon goût, trop de personnages, trop de points de vue, j'ai vite été perdue et j'ai préféré stopper une lecture qui représentait plus un puzzle cognitif qu'un passe temps sur le canapé.

Déçue de ma lecture car on m'en avait dit beaucoup de bien. Je n'ai pas accroché ! L'héroïne est attachante oui, mais l'histoire est trop tirée par les cheveux. Il y a des côtés gnan-gnan qui ajoutent de la lourdeur et m'ont fait soupirer. Des côtés complètement improbables qui m'ont fait lever les yeux au ciel. J'ai un autre livre de l'auteur dans ma bibliothèque, à voir si j'accroche plus...

J'ai lu le livre. Mais j'ai préféré le voir au cinéma (il faut dire que Patrick Bruel y est pour quelque chose....)

Livre lu en vacances en Ukraine en 2009. Assez bon pour ne pas trop avoir réfléchir en vacances. Je me suis bien laissée porter par l'histoire malgré les quelques caricatures présentes dans le livre.

Long, agréable par moment mais juste.. long. Beaucoup de bon sentiments sur des histoires ordinaires avec des gens à priori ordinaires. Je n'ais pas ressenti grand chose en le refermant si ce n'est la fierté de l'avoir terminé!

Un roman d'été, de vacances, de grosse grippe ou de grande fatigue ... lorsqu'on veut se faire un petit plaisir sans trop stimuler nos neurones.

Excellent roman de vacances... Je suis rentrée de suite et ai de suite aimé Joséphine et son petit monde...

Ouvrage de 150 pages qui se lit facilement du fait de la simplicité de l'écriture et du manque de profondeur des personnages, dont certains paraissent peu crédibles. Par contre le manque de fil conducteur rend cette histoire interminable et donne envie d'en arrêter la lecture. En fait c'est un patchwork de petites scènes, presque indépendantes les unes des autres.

A la lecture, j'ai immédiatement pensé à Gavalda, les bons sentiments et l'histoire cousue de fils blancs. Et malgré soi, on lit cette histoire jusqu'au bout et on se reconnaît dans ce personnage de vilain petit canard ...
Il ne restera pas dans les annales, mais malgré les clichés et des péripéties à la limite de l'incroyable, j'ai noté quelques passage pétris de bon sens commun, que je cite.
"J'ai compris que le bonheur, ce n'est pas de vivre une petite vie sans embrouilles, sans faire d'erreur, ni bouger. le bonheur, c'est d'accepter la lutte, l'effort, le doute, et d'avancer en franchissant chaque obstacle. Avant je n'avançais pas, je dormais. Je me laissais porter par un train train paisible : mon mari, mes enfants, mes études, mon confort. Aujourd'hui j'ai appris à me battre, à trouver des solutions, à désespérer momentanément puis à me reprendre et j'avance, Shirley. Toute seule ! Je me débrouille ..." P 421-422

"C'est une personne, la vie, une personne qu'il te faut prendre comme partenaire. Entrer dans sa valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser. Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée." P. 550