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3,73

sur 121 notes
Ridicule.
Resident Evil ou Biohazard en Vo japonaise. Un monument. Apparu en 1996 sur console de jeu, de l'action, de la réflexion et de la survie en environnement zombie et autres monstres divers. A l'heure actuelle, plus d'une dizaine de jeux tous supports, plusieurs films et dessins animés et près de 20 livres.
Cette série, écrite par SD (pour Stephani Danelle, oui c'est une fille) Perry reprend les scénario des jeux vidéos.

Raccoon City en juillet 1998. Plusieurs meurtres barbares inexpliqués ont été commis avec morsures humaines et animales. Une boucherie localisée dans une forêt au centre de laquelle se trouve un énorme manoir à l'abandon, propriété de Umbrella, compagnie pharmaceutique, unique et énorme moteur de la prospérité économique de Raccoon.
Les STARS (Special Tactics And Rescue Squads), organisation privée spécialisée dans l'antiterrorisme, la prise d'otage, le piratage informatique, créée par d'anciens du FBI ou de la CIA, collaborant avec le gouvernement ect ect... est appelée à la rescousse.
Et voilà nos équipes Alpha et Bravo, mais surtout Jill Valentine et Chris Redfield (les héros du jeu) coincés dans ce manoir aux proies à toutes sortes de zombies et créatures malfaisantes et dangereuses.

D'après les internautes, c'est la copie presque conforme du premier jeu Resident Evil. Et c'est là que le bât blesse. On a effectivement l'impression d'être dans un jeu vidéo, mais sans le visuel et les frissons qui vont avec.
Un manoir plein de zombies, de pièges, d'objets à récupérer pour ouvrir les portes, de collègues morts à différents stades du jeu, euh du livre, pour permettre la récupération de leurs munitions, c'est très joli à jouer, mais absolument pas crédible à lire, en tout cas ici.
Le côté action militaire est très mal restitué. le scénario est anémique (dans un background aussi sympa de Resident Evil, c'est dommage), les descriptions très moyennes (les zombies ne font même pas peur, c'est le comble) et une impression de grand guignol mal ficelé, pas crédible pour deux ronds qui se dégage de tout ça.

Même l'héroïne n'y croit pas en disant : « Un rêve ? Un cauchemar, oui. Des plantes tueuses, des serpents géants, des mort-vivants... manquent plus que les soucoupes volantes et pourquoi pas un dinosaure ».
Alors fans du jeu vidéo, nostalgiques de leur playstation oui, les autres, ben vous aurez été prévenus...
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Que ce soit sur les blogs ou sur des sites littéraires, certains lecteurs n'ont pas du tout aimé cette saga, car elle reprend totalement les jeux vidéo de la firme… Pour ma part, je fais partie de ceux qui y ont adhéré, par simple plaisir de replonger dans mes souvenirs de joueuse… Alors, certes, ce n'est pas de la grande littérature et on est plutôt dans le marketing, mais peu m'importe. Lorsque j'ai acheté ce premier tome puis le reste de la saga, c'était uniquement pour revivre certains instants des jeux sur console, pour replonger dans mon adolescence et lire un roman de zombies. D'ailleurs, j'ai trouvé le scénario très fidèle et la plume facile à suivre. C'est donc avec plaisir que j'ai replongé dans ce manoir où les monstres, les pièges et le sang hantent chaque pièce ! J'avais vraiment l'impression d'être dans le jeu… La tension est assez bien retranscrite et, même si les morts-vivants ou les autres mutants revenus d'entre les morts ne m'ont pas fait spécialement peur, j'ai été ravie de cette lecture… La plupart des monstres à affronter dans le jeu sont présents dans le roman, tout comme certaines pièces du manoir qui vont donner du fil à retordre aux protagonistes.

De l'action, en veux-tu, en voilà ! C'est clairement ce qui vous attend dans ce premier tome : on va de découverte en rebondissement, presque sans temps mort. Il est vraiment difficile de s'ennuyer… Bon, évidemment, quand on a joué au jeu, on n'a aucune surprise scénaristique, mais c'est toute de même agréable de replonger dans cet univers. Pour les non-joueurs, je pense que c'est une bonne alternative pour découvrir la saga sans avoir à râler à cause du nombre de tampons encreurs, des énigmes pas toujours faciles à trouver ou de la caméra assez frustrante qui n'a malheureusement pas été corrigée avec la refonte de ce premier opus sur console ! Bref, une lecture fidèle au jeu qui ravira ceux et celles qui ont aimé la firme ou ont simplement envie de lire un roman Z sans prise de tête…

Lien : https://lespagesquitournent...
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Je suis une très grande fan de l'univers « Resident Evil » depuis les premières sorties des jeux vidéos qui remonte donc en 1996 sur Playstation One. Et oui, j'étais à peine âgée de 9 ans !
J'avais découvert les romans en 2002 qui étaient publiés à l'époque chez « Fleuve noire ». C'est donc avec un immense plaisir de pouvoir lire de nouveau ces romans qui me rappellent mon adolescence.

Le regard que j'ai aujourd'hui sur ce roman reste indubitablement le même, cela prouve que je n'ai pas vraiment changé ! Je reste cette fan inconditionnelle du jeu vidéo et l'auteure a très bien su retranscrire l'environnement, la tension du premier opus.
Elle a évidemment pu travailler un peu plus la personnalité de nos héros, bien que la personnalité d'Albert Wesker me déçoit beaucoup dans le roman. Dans le jeu, c'est un homme totalement dépourvu d'émotions. La seule qualité qu'on retrouve est son intelligence et la manipulation.
On découvre également de nombreux clins d'oeil au jeu vidéo, comme avec la fameuse machine à écrire dans le hall du manoir Spencer qui nous permettait de sauvegarder notre partie. L'environnement et les énigmes sont également expliqués par un architecte fou. En même temps il vaut mieux, car que dirons-nous d'un plafond qui vient vous écraser ? Ou encore des clés et des blasons cachés dans des coins inimaginables ?
Bref tout le long de l'histoire, j'avais l'impression de me retrouver dans le jeu avec mon petit personnage. Bien que par moment, il manque des éléments comme les fameuses abeilles…
La plupart des monstres sont évidemment présents : Zombies, Chiens, les Hunter, les Chimères, les serpents, le Yawn, les corbeaux, la fameuse plante et évidemment Tyran !
Bien que le combat de fin, où nous avons l'impression que ça dure une éternité est vite expédiée dans le roman.

Niveau écriture, l'auteure reste simple dans le choix des mots, un peu trop par moment. Mais il se lit très vite, car évidemment l'histoire est bourrée d'action et ne laisse aucun moment de répit. Par contre, un reproche que je pourrais faire, c'est que la partie du manoir est beaucoup trop longue, alors que dans le jeu, nous apprenons beaucoup de choses en fouillant le laboratoire d'Umbrella. Hors ici dans le roman, ce sont juste de vagues informations. Dommage.

En conclusion, c'est un bon roman qui résume très bien le jeu vidéo avec quelques petits clins d'oeil à l'histoire originale. Évidemment, le jeu vidéo reste meilleur mais ce roman est très agréable à lire et fera revivre toutes les émotions aux fans qui ont tenu leur manette pour jouer à ce jeu.


Lien : http://skoldasy-books.eklabl..
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Version roman du premier opus de la série Resident evil qui était sortie sur playstation1.

Exactement la même histoire à la virgule prêt si je puis dire.

Il reste un bon roman pour ceux qui n'aurait pas joué au jeu.
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Ici, pas besoin de ruban encreurs pour sauvegarder votre progression, votre marque page suffit à faire une pause dans l'aventure. Les énigmes du jeu (Roman! Roman!)? Elles seront résolues rapidement et en vous évitant les interminables aller-retour et les longues séquences d'ouverture des portes. Pas de problème d'inventaire non plus! Lorsque je me plonge dans La Conspiration d'Umbrella, je revis le premier jeu tel quel, et quel plaisir!
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J'ai très peu joué aux jeux Resident Evil, peut-être juste trois dans cette longue saga vidéoludique. le premier en fait partie, enfin... le remake du premier. J'avais bien aimé ce jeux pour les sensations qu'il procurait, pour le suspense et les tensions que l'on éprouvait à chaque couloir.

Le roman reprend exactement l'intrigue du jeu en éliminant tout ce qui est négligeable pour une lecture et en compilant toutes les informations importantes propre à cet univers. Ce que j'ai aimé avant tout, c'est que l'on suit l'ensemble des personnages, que l'on découvre leur histoire dans ce manoir infernal où les lois de la science ont été bafouées.

A défaut de jouer des heures pour arriver à la conclusion de ce premier mais crucial chapitre de l'univers "Resident Evil", le livre est une bonne contrepartie si l'on veut se plonger dedans. C'est complet, bien écrit et on passe un bon moment. C'était à l'époque le seul roman de "zombies" que je connaissais et c'était très bien, il n'existait pas encore cette mode actuelle.

"La Conspiration d'Umbrella" m'a en plus permis de m'attacher un peu plus aux personnages principaux que son Chris Redfield et Jill Valentine. Une saga que j'avais vite dévoré et que je regrette un peu de ne plus posséder...
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Premier volume de la série de tomes inspirés de la célèbre franchise de jeux vidéos.
On y retrouve une version plus scénarisée du premier jeu, un background plus poussé des personnages (centraux et secondaires) ainsi qu'un ajout d'une sous-intrigue permettant de relier les différents volumes à venir.
Hélas, ce premier volume n'est pas exempt de toute critique: La série a été créée pour surfer sur le succès des jeux, du coup elle n'a aucune fin, pire, l'auteure a rattaché l'histoire de la série de jeux à celle des films ce qui créé plusieurs incohérences.
Outre ce petit défaut, on notera des facilités d'écriture et de scénario (tuer un hunter ? Rien de plus simple: reste statique dans un couloir et vide ton arme, il meurt. Une nouvelle zone a explorer ? Pas de problèmes: le trousseau de clef est par terre, ce qui, vous l'accorderez, est un problème dans une histoire tirée d'un jeu d'énigme)
Bref, ça reste un bon moment nostalgie à lire, mais ne vaudra pas l'expérience du jeu lui même.
Je recommande quand même pour les fans de la série de jeu, de toute façon, ça ne peut pas être pire que la série de films de Paul WS Anderson...
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Adapté du célèbre jeux-vidéo portant le même nom, ce premier tome romancé est particulièrement bien retranscrit. Très habilement, tous les détails du jeu se retrouvent dans le livre, le manoir, les personnages (Jill, Chris, Barry, Wesker et les autres !). La retranscription est parfaite malgré quelques hésitations au niveau de la traduction française : en effet, certaines phrases auraient pu êtres beaucoup mieux tournées ! Mais ce petit point négatif n’altère en rien la lecture.

L’ambiance de l’histoire est glauque, entrainante et on se laisse emporter par cette lecture grâce a son rythme haletant. On ne s’ennuie pas. Ce qui est sans doute dû à la narration à la troisième personne et au changement régulier de point de vue des personnages, puisqu’on les suit chacun tour à tour et ce, tout au long de l’aventure. Aussi, les décors sont décrits avec beaucoup de précision (c’est comme si vous y étiez !), les monstres et les zombies sont très crédibles ce qui me permet de vous garantir beaucoup de frissons et un très bon moment de lecture ^^

Le petit point négatif qui m’a tout de même dérangée est le nombre de personnages ! Trop nombreux et le passage de l’un à l’autre n’est pas explicite, donc on s’y perd !

Pour terminer, je suis vraiment contente que cette réédition ait enfin vu le jour, depuis le temps que je l’attendais ! Je possédais quelques tomes de l’ancienne édition qui sont devenus introuvables, ou à des prix exorbitants ! Et grâce à cette réédition tant attendue, je pourrai enfin d’écouvrir la suite de cette saga mondialement connue : Résident Evil ! De plus, je trouve que les nouvelles jaquettes ont vraiment été bien choisies, je les trouves sobres, mais efficaces ! Je suis impatiente de pouvoir enfin les posséder tous dans ma bibliothèque, vivement !

/*\ Rendez-vous sur mon blog pour lire l'intégralité de cette critique ^^ /*\
Lien : http://www.chibigeeky.be/res..
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Ce premier tome Resident Evil aura peut-être un certain intérêt pour les novices, ceux qui n'auront jamais joué au jeu et qui ne sont pas exigeants. Mais quelque part, ne lit-on pas Resident Evil parce qu'on a joué au jeu ?

Alors d'accord, on sourit en lisant cette adaptation qui fait ressurgir les souvenirs de ces moments passés à cavaler d'un bout à l'autre du manoir pour dénicher la clé qui ouvre la porte se trouvant à deux kilomètres de là.

Mais c'est à peu près tout ce qu'il faut retenir de ce récit, et encore. Mis à part l'introduction qui est purement inédite, à partir du moment où les personnages entrent dans le manoir, ce n'est qu'une succession de morceaux choisis du jeu, avec tous les ingrédients qui ont fait la gloire de Resident Evil mais qui ne fera pas celle du roman : l'exploration, les énigmes, les zombies, le manque de munitions.

Pas de grandes surprises donc. Si Perry avait scrupuleusement respecté tout ce qui se passe dans le jeu, on aurait de toute façon fini par se lasser.
L'intrigue est relativement vite dévoilée, tous les tenants et aboutissants aussi, aucun suspense puisque visiblement le livre ne cherche pas à rameuter les quelques personnes qui n'auront jamais connu le jeu culte.

Pas beaucoup de profondeur non plus. La lecture reste simple et sympathique, de quoi souffler un peu entre deux livres plus complexes et surtout mieux écrits. Car Perry est très loin d'avoir un sens de la narration accompli. Elle déroule son récit sans se poser plus de questions, sans impliquer son lecteur dans son histoire, tuant dans l'oeuf tout ce qui peut-être surprenant, se contentant de reprendre en tout point un scénario déjà tracé par le jeu. Ces effets de surprise sont toujours les mêmes, toujours annoncés de la même façon : par des points de suspension qui viennent découper une action ou une pensée.
Cela donne à peu près...
... cela.
Avec des révélations...
... fracassantes de la mort qui tue et dont on se fout puisque, comme je l'ai dit, l'auteure a levé le voile sur tout ce qui pouvait être matière à suspense dès le début.
Elle se permettra même de faire commenter ses personnages sur ce qu'elle vient de nous signaler, répétant ainsi les évidences, comme si nous étions des abrutis.

Du pur fan-service qui n'aura pas beaucoup d'intérêt, qui ne présentera rien de nouveau, s'amusant juste à répertorier les codes du genre Resident Evil.
S.D. Perry tombe cependant dans une fâcheuse habitude à défoncer les portes ouvertes. Est-ce une manière de faire quelques mots de plus ou parce que l'on prend le lecteur pour un idiot ? Allez savoir.

On aura facilement oublié le livre une fois refermé. Dommage que nous n'avons là qu'un copier-coller des grands moments du jeu et pas une histoire originale.
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Les STARS (Special Tactics And Rescue Service) sont des unités d'élite fondées en 1967 avec des fonds privés pour lutter contre le terrorisme religieux, les prises d'otages, la lutte contre le piratage, le contrôle des émeutes. Dirigées par des militaires à la retraite et des anciens agents du FBI et de la CIA, on s'attend donc à y trouver de sacrées troupes de choc ! Leurs membres sont spécialisés dans l'informatique autant que dans le tir de précision.
Quand des meurtres abominables surviennent à Raccoon City, les autorités locales dépêchent deux équipes de STARS, les Alphas et les Bravos. Neuf victimes ont été retrouvées partiellement dévorées, et cinq personnes sont portées disparues. Toutes les théories sont envisagées, des meurtres rituels aux animaux enragés, mais les lieux même des scènes de crime semblent avoir un lien avec Umbrella, une compagnie pharmaceutique qui est l'unique moteur de la prospérité économique du coin. Les enjeux sont donc énormes pour les hommes politiques locaux et la compagnie.
Peu après le début de l'intervention près de la maison où semblent se cacher les auteurs des meurtres barbares, l'hélicoptère des Bravos ne donne plus signe de vie. Les Alphas embarquent de suite pour porter secours à leurs camarades. Nous suivons cette équipe : Jill Valentine, Chris Redfield, Barry Burton et leur capitaine Albert Wesker.
J'ai a-do-ré retrouver l'ambiance du jeu vidéo ! Et j'avoue sans honte qu'à chaque fois qu'une porte s'ouvrait, je l'imaginais en frissonnant d'appréhension, comme dans le jeu ! Bref, je me suis vraiment amusée, l'ambiance est super bien retranscrite, je n'en suis pas revenue ! Ce n'étais pourtant pas un exercice facile, pour en faire un véritable roman. Bien entendu, je n'irai pas jusqu'à dire que quelqu'un ne connaissant absolument pas le jeu pourrait adhérer au roman : il y a toute la partie "énigmes" qui pourrait sembler un peu lourde pour les non-initiés.
Moi, je me suis régalée : le manoir et ses passages secrets, les monstres tous plus délirants les uns que les autres : que du bonheur !
J'ai apprécié tout ce qui concerne les personnages : Chris et Barry, leur amitié; Jill qui est nouvelle chez les STARS et un passé de voleuse de haut vol. L'amitié, la droiture, le courage qui les lie : l'auteur a réussi à donner une personnalité aux personnages du jeu, sans en verser dans la caricature.
Voilà, pour moi cette lecture a été vraiment très agréable ! Je me suis amusée comme une folle !
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