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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Qu'est-ce qu'elle est bien cette série! Contrairement à ce que j'imaginais, ce n'est pas l'ultime tome. Non, non! Encore un tome à dévorer et il s'annonce épique!

On avait laissé Lorn affaibli, trahi, ses alliés mourant les uns après les autres, à l'exception de Naé et Théogen. On avait laissé Alan sombrant dans la folie. On avait laissé le Dragon de la Destruction presque libéré - du moins l'est-il sous forme spectrale. On avait ainsi laissé Lorn libéré de l'Obscure mais toujours en butte contre sa Destinée. On avait laissé le Haut-Royaume en plein chaos avec un roi qui sombre dans la folie, un prince fanatique et un autre qui attise une guerre civile.
Ce tome s'annonçait donc tambours battants. Pour autant, s'il se passe effectivement beaucoup de choses, on peine à comprendre le sens que prend le récit. Trop de chemins visibles. On ne peut se demander quel est l'enjeu de ce tome 4?
L'auteur tend à nous donner un Lorn plus humain, sur la rédemption, travaillé par le doute avec la mort de tous ses compagnons. On s'éloigne ainsi du Lorn sombre, habité par l'Obscure pour redevenir à un Lorn honorable, tel que doit l'être le Chevalier à l'Epée.
On s'attendait à une vengeance de sa part. On s'attendait également à ce que l'on en apprenne plus sur sa Destinée. Il semblerait que Pevel ait choisi une option plutôt que les deux. Je n'en dirai pas plus, je suppose qu'il y a une excellente raison que l'on verra dans le tome 5, à n'en pas douter, ce qui atténue ma petite frustration.
Concernant le rythme , il est toujours aussi plaisant. L'action est rapide, bien menée, bien construite. Aucun moment d'ennui. le décor est toujours aussi bien travaillé, d'autant que l'on voyage à travers tout le Haut-Royaume et que l'on explore le monde des Divins.
Un contenu riche, de l'action palpitante et une fin qui donne envie de savoir la suite ( ça va être looooooooooooooong). J'ai passé un excellent moment, d'autant plus qu'il s'est fait en LC avec basileusa, moment convivial garanti!

Challenge Séries 2021
Challenge Mauvais Genres 2021
CHallenge Bragelonne
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Avec ce tome on quitte momentanément la guerre des trois princes pour suivre la destinée de Lorn, qui doute et s'interroge beaucoup. Il faut dire que le vide se fait autour de lui et qu'il culpabilise. Mais est-ce qu'on peut échapper à ce qui est déjà tracé ?
J'ai suivi une fois de plus, en LC avec Phoenicia, avec grand plaisir les aventures de Lorn. de nouveau on est dernière lui, oubliant sa noirceur, le regardant avancer malgré les obstacles, ne comprenant pas toujours ses choix. Il adore foncer dans des pièges mais c'est un compagnon fidèle donc il ne laisse personne derrière lui ! de plus les trahisons et les revers sont encore l'apanage de ce tome....Un tome qui sert un peu de transition vers un nouveau danger qui menace le Haut-Royaume, aperçu jusque là, comm e si il n'y avait pas déjà assez de problème ! La guerre, Alissia, Yrdel, Maireen sont mis de côté et j'ai hâte d'avoir un peu de leurs nouvelles . Une saga qui risque d'être encore un peu longue, étant donné toutes les trames développées ! Et c'est tant mieux si ça se poursuit en étant toujours aussi passionnant.
Challenge Mauvais genres 2021
Challenge séries 2021
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ATTENTION: Va contenir des SPOILERS:

Pierre Pevel a toujours dit que l'un des thèmes qu'il aime aborder dans ses histoires est l'ambiguïté du héros. Et jamais n'a-t-il mieux utilisé ce thème que dans L'Adversaire.

La première chose qui marque dans ce roman, c'est que, contrairement aux trois premiers, celui-ci est très clairement celui de Lorn avant toute chose. Si les intrigues et les conséquences de la Guerre des Trois Princes sont encore présentes et se font sentir, l'histoire passe beaucoup moins de temps avec les autres personnages de l'histoire et, quand cela arrive, ils sont souvent liés directement aux agissements de Lorn. Cela ne veut pas pour autant dire que Pevel les délaisse, bien au contraire ; on en apprend davantage sur eux et ils ont tous leur propre arc narratif et un développement plus ou moins conséquent. Pevel continue ainsi à nous donner des personnages excellents et dont le sort, qu'on les aime ou les déteste, ne nous laisse pas indifférent.

Pour ce qui est de l'histoire elle-même, des réponses sont enfin apportées à certaines questions que l'on se pose depuis le premier roman même si la trame principale reste encore assez ambiguë pour ce qui est du détail pour rester intéressante et nous donner envie d'acheter le prochain tome quand il sortira... dans deux ou trois ans sans doute.

Avant toute chose, ce roman répond enfin à la question du mystérieux Destin de Lorn, et les confusions et contradictions que Pevel a apporté à son personnage favori dans les trois tomes précédents s'expliquent enfin. le Destin est un élément de l'héroic fantasy qui semble avoir plus ou moins disparu de la fiction ces dernières années, remplacé par une préférence pour le 'réalisme magique'. Pevel a sauté à pieds joints dans l'idée du Destin dans Haut-Royaume... et inclut une dose suffisante de 'réalisme' à la Game of Thrones pour interpeller les fans des deux genres. Avec ce tome et l'insistance sur le Destin de Lorn, on rentre plus dans l'élément fantastique de la chose. J'avais déjà apprécié cette insistance plus importante sur la fantasy dans le tome 3, donc je continue à l'apprécier ici.


Après la destruction de sa Garde d'Onyx et la trahison du Haut-Roi dans le précédent tome, Lorn est faible et traqué par ses ennemis, affaibli non seulement par la traitrise de celui qui fut son meilleur ami mais également par la perte de tant d'alliés. Il fuit et tente de se donner un but mais paie un prix élevé pour ses actions et finit par passer une grande partie du roman à vouloir se faire oublier d'un monde en guerre dominé par des hommes et des forces qui le méprisent, le vénèrent ou le craignent. Mais, est-il possible de tourner le dos au Destin ?


En parallèle du Destin de Lorn, il continue à se retrouver mêlé aux intrigues du Haut-Royaume et de la guerre qui le déchire. Pour le Haut-Roi Aldéran, la destruction de la Garde d'Onyx sitôt après sa grande victoire à Darlat lui permet d'atteindre le sommet de sa puissance. Mais sa trahison continue de le hanter, car il sait Lorn toujours vivant et il craint sa vengeance. le virement du roi d'un personnage charismatique aimé de tous à un consumé par sa haine et sa colère, les ravages de son corps l'apparentant de plus en plus à l'image de son père ravagé par le Grand Mal, se poursuit. Alan (comme le remarque si bien Estévéris) se libère des influences néfastes qui l'entourent pour tomber sous l'influence d'une autre, tout aussi malsaine. Cet arc figure également Estévéris, jadis Premier ministre de la reine Célyane, maintenant conseiller du nouveau Haut-Roi chargé de la diplomatie. Conscient du danger que Lorn représente toujours, et conscient que le renégat compte des amis puissants comme le comte d'Argor, il tentera de régler le problème à sa manière. Mais, pour une fois, le puissant ministre joue gros et perd. S'il reste aussi habile et dangereux que toujours, Estévéris devra faire face aux conséquences de ses actes et se rendre compte qu'il n'a plus la même place, ni la même influence que jadis.

Cet aparté dans les intrigues du Haut-Royaume permet de faire un état des lieux de sa situation. Mais c'est la situation dans la région du Loriand qui est le plus intéressant, divisée par sa propre guerre religieuse causée par un personnage dont les actions domineront la dernière partie du roman : le prince-cardinal Jall, le deuxième fils d'Erklant II, frère ainé d'Alan et demi-frère de Lorn.

Ce personnage, présenté dans le second tome, s'est révélé être un beau fanatique et un intriguant des plus redoutables. La guerre lui profite et il ne reculera devant rien pour prendre ce qu'il pense lui revient de droit. Ou plutôt, reviens de droit à son dieu… dont il est l'élu. le personnage de Jall permet d'apporter un contraste intéressant à celui de Lorn. Là où ce dernier cherche à fuir ce Destin qu'il n'a pas choisi, Jall est convaincu qu'il est lui-même porteur d'un Destin… alors qu'il n'a pas été choisi. Mêlant foi intransigeante et une certitude quant à sa propre importance, il ne reculera devant rien pour refaire le monde à son image. Sa quête finira par se mêler à celle de Lorn et atteindre la réalisation du Destin. L'importance de sa conviction en sa propre importance se montre par le choix dont il parle dans le roman qu'il a fait de nombreuses années auparavant : malgré son aînesse et son droit au trône, il a choisi de renoncer à sa légitimité pour se tailler son propre Destin. Mais il n'en demeure pas moins cruellement ambitieux et ne reculera devant rien pour accomplir sa quête.

C'est au cours de cette quête que Lorn apprend enfin la vérité sur son Destin et les contradictions de son personnage s'explique enfin pour révéler l'un des meilleurs personnages ambigus de fantasy depuis très longtemps. Les explications apportent enfin des réponses à des événements des précédents tomes, allant de la naissance des enfants de Lorn qui avaient tant confus les Gardiens, et passant par le seul qui semble avoir reconnu (et s'en amusait sans doute) du mauvais tour qu'avait pris le Destin conçu par les Divins : Serk'Arn, le Dragon de la Destruction. Ses manigances des précédents tomes s'expliquent ainsi que ses inquiétudes. Mais, comme toujours, nul ne tire plus de la guerre déchirant le Haut-Royaume que lui. Ainsi, malgré l'utilité qu'il a trouvé à Lorn, le dragon ne peux s'empêcher de la craindre également… et tout cela sans pouvoir lui nuire.

En somme, l'intégralité de ce tome tourne entièrement et complètement autour de Lorn. Cela pourrait sembler logique pour le personnage principal de l'histoire, mais Pevel a construit un tel ensemble construit et complet autour de lui qu'il est facile de se dire que Lorn n'est qu'un personnage de plus parmi d'autres. Mais, que ce soient les intrigues du Haut-Royaume, la rancune de son ancien ami, les ambitions de Jall ou les aléas du Destin qui lui pèse sur les épaules, tout est fait dans ce roman pour nous montrer que tout dépend de lui. Pas la survie du Haut-Royaume, mais bien celle du monde entier. Si l'on regroupe les trois premiers tomes du Haut-Royaume en une trilogie, on peut dire qu'il s'agit de celle du Prince Noir. Maintenant, avec ce tome où Lorn touche véritablement le fonds comme tant d'héros de fantasy avant lui, un nouveau Destin s'ouvre à lui. La seule question maintenant est celle du choix. Comme Pevel le dit avec une citation des Chroniques du Haut-Royaume avec lesquelles il commence chaque chapitre : ‘Il n'est de véritable liberté que loin du regard du Dragon Gris. Les grands destins sont des maîtres impitoyables. Ils ne font que des esclaves'. Ou, comme le résume si bien Lorn lui-même : ‘Je peux choisir, mais je ne peux pas refuser de choisir.'


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Salut les Babelionautes
Acheté aujourd'hui et déjà fini, vingt cinq € pour360 pages je n'en ai pas eu pour mon argent.
Pourtant j'ai apprécié de retrouver Lorn, Pierre Pevel lui réserve un sort funeste a chaque paragraphe mais il s'en sort toujours.
On en apprend plus sur sa naissance et pourquoi le destin lui colle deux destinées, le Prince Noir destiné à détruire le monde, ou le Chevalier à l'Epée appelé à le sauver.
Il me faudra attendre la suite et peut être une conclusion à cette Saga pour comprendre ou veut nous conduire Pierre Pevel.
Si Lorn en est le principal personnage, il y a autour de lui une foule d'individualité qui ont chacun un rôle dans la trame de l'Histoire, autant les bons que les méchants.
Et il y a aussi un chat roux qui apparait toujours ou se trouve le Chevalier, on n'en sait pas beaucoup sur lui mais c'est surement un élément clé, déjà depuis sa première apparition ou il semblait aider Lorn à combattre l'Obscure.
Bref! C'est malgré tout un bon récit d'heroic fantasy.
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Un gros coup de coeur pour cette série qui me fascine. Jour après jour, je suis pressée de pouvoir m'installer confortablement et de pouvoir continuer ma lecture. Que de rebondissements, de certitudes qui volent en éclats, de personnages difficiles à cerner. J'ai, bien que j'en suis au tome 4, l'impression d'avoir à peine effleurer le sujet. Trop d'interrogations demeurent sans réponse. Je vous laisse et pars dévorer le tome 5.
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Encore plus intense que les 3 premiers tome de la série Haut Royaume on suit toujours Lorn dans sa son envie de se venger malgré la guerre des trois Princes qui n'est pas terminée. Cependant son destin n'est peut-être pas celui qu'il croit car rode dans l'ombre le terrible dragon.
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Pierre Pevel fait parti de ces auteurs qui vous transportent à chacun de ses livres. Sa plume est reconnaissable entre toutes. Dès les premières lignes j'étais aux anges. Retrouver le style de narration de cet auteur que j'aime tant est un délice. La forme est aussi importante que le fond avec Pierre Pevel, le lecteur est porté par sa plume si enchanteresse. Dès les premières pages je savais que le livre serait un coup de coeur. Il ne peut en être autrement, les tomes précédents l'étaient également, porté par l'épilogue du troisième tome absolument dantesque.

Chaque ligne, chaque page sont excellentes, mais que dire des chapitres finaux de chacun des trois tomes précédents ? Pierre Pevel fait ressentir des émotions fortes à ses lecteurs. L'intrigue qu'il a mis en place est impossible à voir venir. Les actions des personnages sont imprévisible. le lecteur ne peut jamais deviner la suite du récit et est sans arrêt surpris. On ne peut que se demander comment le héros, Lorn peut se tirer des situations à priori inextricables où il s'est empêtré, et pourtant, il y arrive toujours de manière plausible. La force de l'auteur est de trouver des nouveaux chemins pour ses personnages alors qu'on les pense dans une impasse.

Ce 4ème volume ne fait pas exception à la règle, il est excellent du début jusqu'à la fin. Plus l'histoire avance et moins on en voit le bout. Lorn se retrouve seul au monde, tout ce qu'il a construit a été détruit. Voir la déchéance de ce héros pourtant si charismatique est à priori intouchable est impressionnant. C'est une claque, Pevel a une telle maîtrise de son récit que le lecteur ne peut qu'être abasourdi. Lorn se fait chaque jour de nouveaux ennemis. Après Alan, son ami qu'il considérait comme un frère, c'est au tour de Jall, le frère du roi d'entrer en scène pour de bon. Si Alan fait référence au côté politique du royaume, Jall introduit pour de bon l'aspect religieux.

J'entends souvent les journalistes comparer Pevel à George R. R. Martin. Pour ma part je ne les compare plus depuis longtemps. Pevel fait du Pevel et c'est unique. Ces deux auteurs écrivent de la fantasy médiévale et utilisent des codes similaires comme par exemple un soupçon de magie dans un monde médiéval, mais comparer un auteur à un autre revient à les hiérarchiser. Pevel est un maître de la fantasy au même titre que Martin, voila pourquoi il n'y a plus de comparaison à faire.

Énorme coup de coeur pour ce quatrième opus de Haut-Royaume. J'attends la suite avec impatience. Haut-Royaume est le chef d'oeuvre d'un maître de la fantasy.
Lien : https://lesinstantsvolesalav..
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Comme de coutume, Pierre Pevel nous regale avec un quatrième tome toujours aussi rythmé et riche en rebondissements.
Un tome qui permet de mieux cerner le personnage de Lorn et qui promet une suite explosive.

Saga Haut-Royaume Tome 4/5 - L'adversaire
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Mon soudain regain de consommation d'audiolivres m'a fait revenir dans cette série que j'avais un peu délaissée. Pourtant cet opus, L'adversaire m'attendait dans ma bibliothèque audible depuis sa sortie en août 2020 (comme le livre papier... 😬)... Pas du tout par manque d'intérêt, mais parce que, comme pour les livres, il y en a toujours un autre pour passer devant.

Il m'a fallu à nouveau un petit temps d'adaptation pour me refaire à l'interprétation de Nicolas Justamon. Ce narrateur est vraiment spécial quand même. Il ne lit pas, il joue une pièce de théâtre. Tout est joué, les intonations, les temps de pause, même la narration descriptive. Parfois même surjoué, j'ai encore dans les oreilles les râles du haut-roi Erklant II. Mais il interprète de façon magistrale le personnage de Lorn Askarian alors je lui pardonne tout.

Après avoir laissé dans le tome précédent un Lorn blessé, trahi par le roi, on le retrouve ici léchant ses plaies, et surtout faisant le point sur sa situation. Tous ses amis ont été tués, hormis Naé et le duc Théogen. Et il le sait, ils sont tous morts à cause de lui, simplement parce qu'ils étaient trop proches. C'est un Lorn accablé par la culpabilité et les remords. Il en a marre de lutter contre sa Destinée, d'autant qu'il n'est plus sous l'emprise de l'Obscure... même si le dragon de la Destruction se rappelle de temps en temps à lui.
La suite sur le blog ;)
Lien : https://www.bookenstock.fr/2..
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Est-il possible de tourner le dos à son destin ? Y a-t-il une rédemption pour celui qui a beaucoup perdu et tant souffert ?
Lorn est un personnage ambigu, torturé par son passé, par les nombreuses pertes de ces proches et par la trahison.
Parfois berserker avec la rage de tuer parfois, abattu par le poids de ces actions.
Dans ce tome 4 la prophétie du prince noir et du chevalier à l'épée est à l'honneur et nous découvrons son implication sur la vie de Lorn et son destin.
La plume de Pierre Pevel est addictive, pas le temps de s'endormir, l'action est au coeur de cette saga.
Le Haut Royaume à encore besoin d'un héros, et qui d'autre que Lorn pour l'incarner ?
Je commence le tome 5 avec une appréhension, car Rémi a moins aimé que les précédents 😆 on croise les doigts
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