Avec ces brèves de refuge, tour à tour humoristiques, piquantes ou poétiques, découvrons un autre versant de la montagne. Aux antipodes des récits dramatiques qui décrivent habituellement l’alpiniste en action, ces brèves de refuge révèlent que l’homme reste égal à lui-même de zéro à 8000 mètres d’altitude, grandeurs et petitesses comprises. Plutôt que de s’en attrister, elles nous invitent à en sourire.