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Le dernier continent, c'est sur le Disque-monde celui sur lequel le Créateur travaille encore... Il correspond aussi au dernier continent colonisé par les Occidentaux : l'Australie. Nos héros habituels (Rincevent et ses camarades de l'Université de magie) voyagent donc dans ce monde étrange, bien différent des moeurs policées d'Ankh-Morpork. On s'amuse bien, d'autant plus quand on connaît les clichés associés à l'Australie. le lecteur y découvrira notamment le chef-d'oeuvre absolu de l'évolution, animal hors du commun idolâtré par son Créateur.
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Terry Pratchett fait parti des auteurs que j'adore. D'ailleurs je lis ses romans à petites doses (1 à 2 romans par an) pour en garder, pour le plaisir.

Mon personnage préféré est LUI. Les fans comprendront. Pour les autres, précipitez vous car Pratchett, c'est trop bien! C'est de l'humour décalé, des jeux de mots à tire-larigot c'est drôle et en même temps une description des travers de notre époque. Et en plus la traduction est magistrale. Bref du bonheur...

Mais si vous ne connaissez pas Pratchett, ne commencez pas par ce tome là car il n'est pas aussi bon que les autres. Un peu trop... comment dire... une sorte de remix ratée de Pratchett. Est ce vraiment lui qui l'a écrit? Avait il besoin de payer ses impôts? Etait ce une commande? Je ne sais; On a tous nos mauvais jours. Disons que pour ce roman, Pratchett n'avait pas autant d'inspiration.

A suivre pour voir si les suivants sont de la même trempe ou bien si le maitre va retrouver sa plume...

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Le bibliothécaire de l'Université de l'Invisible est malade. Il n'arrête pas de changer de forme et personne n'arrive à faire obéir les livres de la bibliothèque hormis lui. Les mages de l'UI partent à la recherche de Rincevent qui est le seul à pouvoir stabiliser la forme du bibliothécaire.

Dans ce tome, le lecteur voyagera dans l'espace et le temps en un éclair sans avoir le temps de s'ennuyer. Il est parfois un peu difficile de recoller toutes les pièces du puzzle pour arriver à suivre. Toutefois l'humour et les références diverses et variées (Skyppue le kangourou, le dieu de la Création...) rendent ce tome très plaisant.
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L'Australie peut paraître étrange (voir Kenneth Cook) mais XXXX son équivalent pratchettien bat tous les records . Si on y ajoute Rincevent et les mages de l'UI ça s'aggrave. Dans ce volume vous apprendrez l'origine du surf et de l'ornithorynque ,vous rencontrerez le dieu de l'évolution et vous découvrirez la plastique de madame Panaris. En prime un cocktail de références culturelles (Mad Max, Priscilla folle du désert, Crocodile Dundee ) ethniques (la culture aborigène) et zoologique (la faune australienne) saupoudré d'humour anglais .
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Retour en arrière, A la fin des Tribulations d'un mage en Aurient, le pauvre Rincevent devait être magiquement rapatrié à Ankh-Morpork par les mages de l'université invisible. Mais par suite d'une petite erreur de calcul ( ce qui aurait été étonnant, c'est que les mages d'Ankh-Morpork réussissent quelque chose, ils sont tous à peu près aussi incompétents que notre calamiteux héros), au lieu de revenir chez lui, il avait échoué sur Iksiksiksiks, le continent inconnu, noté bien sur XXXX sur la carte. Un endroit, sec, désertique, chaud, dont personne ne connaît la localisation exacte, ni comment s'y rendre.

Or donc au début de ce 22° tome, les mages de l'université invisible ont un gros problème: le bibliothécaire de l'université- le seul bibliothécaire qui, à la suite d'une fuite de magie, range les livres avec les pieds et se fait payer en bananes - est tombé malade, une étrange maladie qui a chaque éternuement lui fait changer de forme ( un canapé, un transat, un gros livre, mais toujours orange et velu comme l'orang-outang qu'il était auparavant). Pour régler ça, il suffirait de lui lancer un sort, qui lui rendrait par la même occasion forme humaine, mais pour lui lancer un sort, il faut d'abord connaître son nom. Et étonnamment toutes les archives qui auraient pu le contenir ont disparu et sentent très fortement la banane. Car il ne veut surtout pas renoncer à l'avantage de crapahuter sur 4 mains dans les étagères. seule solution retrouver Rincevent, la seule personne qui en tant qu'assistant bibliothécaire, connaît le nom du singe. Mais comment retrouver quelqu'un si on ne sait pas où se trouve le continent où il est supposé être?

Encore un tome complètement dingue, mais cependant , un peu moins réussi que les précédents. le problème est qu'on suit en parallèle deux récits, d'un coté le groupe de mages qui cherche Rincevent.. et de l'autre Rincevent qui cherche à rester vivant. Les deux actions alternent paragraphe par paragraphe et c'est assez ardu à suivre quand on doit étaler la lecture sur plusieurs jours.

Mais, mais j'avoue que j'ai adoré les références aux films australiens: Ici un nain bardé de cuir surnommé Mad, là, un crocodile tenancier de bouiboui dans un passage qui parodie presque mot pour mot la séquence de l'attaque au couteau dans Crocodile Dundee , et surtout, surtout, le Bagage à la recherche de son maître qui se retrouve embarqué par trois, euh, femmes, sur une charrette violette appelée " Petunia la dingo du désert".
et quelques clin d'oeils à des spécialités locales: les chapeaux à bouchons, l'opéra à la forme bizarre, la "pêche Nellie", les concours de tonte de moutons.. En fait, le plus drôle, c'est de repérer toutes ces références.

Donc un tome un peu en dessous, il faut dire le 4° volume de la saga Rincevent plaçait la barre très très haut ( Cohen le barbare et sa horde d'argent, c'est dur à dépasser!)
Lien : http://chezpurple.blogspot.f..
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C'est toujours avec plaisir que je me plonge dans une histoire du Disque-Monde, surtout lorsque les mages et Rincevent sont de la partie, sauf que cette fois-ci, et pour la première fois, le rendez-vous est manqué.

L'histoire peine à se mettre en place, on a l'impression de lire une succession d'événements sans lien les uns avec les autres… Au bout d'une centaine de pages, j'ai eu une lueur d'espoir mais elle s'est vite éteinte.

On se retrouve ici avec deux histoires, celle de Rincevent et celle des mages de l'Université de l'Invisible, comme si Pratchett avait eu en tête ces deux histoires mais n'avait pas réussi à se décider pour une ou pour l'autre, ou qu'il avait manqué de matière pour qu'une ou l'autre soit assez conséquente pour devenir un livre à part entière. Résultat, on a là deux histoires qui s'alternent chapitre après chapitre et qui ne se rejoignent que dans les cinquante dernières pages.

Cette réunion est tellement rapide qu'on a l'impression qu'elle est comme expédiée, comme si Pratchett avait atteint le nombre de pages qu'il désirait et qu'il pouvait enfin nous livrer la conclusion de son histoire. de ce fait, on manque d'explications sur beaucoup de choses, des personnages disparaissent subitement de l'histoire sans que l'on sache pourquoi ni ce qu'il advient d'eux…

Heureusement, l'humour de l'auteur est toujours bien présent, et j'avoue que c'est ce qui m'a fait poursuivre ma lecture même si j'avais régulièrement envie de sauter des passages ou de lire les chapitres en diagonales.
Lien : http://www.unevietoutesimple..
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Comme d'habitude, même quand c'est moins bon, avec Terry Pratchett, c'est toujours aussi bon. Et sur ce livre, il faut saluer encore une fois la traduction de Patrick Couton, qui s'est démené pour tenter de retranscrire le langage étrange de l'Australie.

Dans les nombreux récits des Annales du Disque-Monde, les livres de Rincevent ne sont clairement pas mes préférés. le personnage est amusant, mais dans l'ensemble bien en dessous d'un Samuel Vimaire ou d'une Mémé Ciredutemps. C'est bien souvent ses alentours qui provoquent l'action, et ici il se fait presque voler la vedette par les mages de l'Université de l'Invisible (dont l'archimage et le doyen sont des représentants extraordinaires).
Pour le reste, l'histoire suit son cours de scénette en scénette, en passant par des clins d'oeil très nombreux (Skippy le Kangourou, Mad Max, Priscilla folle du désert ...), mais aussi rempli d'expression que l'on sent traduite depuis un anglais très Australien. le rendu est très bon, et j'ai ri pratiquement tout le long de l'album. Mais le hic, et c'est ce qui limite ma note à 4, c'est que l'on a pas la portée de certains autres livres, comme "Le régiment monstrueux" ou "Le père porcher", qui posent une réflexion et une critique dépassant le récit lui-même. Bref, c'est dommage que ce soit "simplement" une comédie burlesque hilarante et une bonne lecture.

Donc voila, c'est bon, très bon même, mais dans le bas du panier de ce que Terry Pratchett à fait, et c'est le seul regret que j'ai avec ce livre. Pour le reste ... Aussi drôle que d'habitude, aussi prenant et toujours aussi bien écrit ... Un excellent roman de la saga, tout simplement !
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C'est le 22ème volume des Annales du Disque-Monde dans lequel on retrouve Rincevent qui a été projeté sur le continent IksIksIks à la fin de ses Tribulations en Aurient.
Le dernier continent de Terry Pratchett
Rincevent découvre un continent qui ressemble fort à l'Australie, un grand désert dans lequel les gens n'ont jamais entendu parler d'eau qui tomberait du ciel. Un continent sympathique où les gens ne se « cassent pas la tête » en cas de difficulté et sont plutôt tolérants sur la marginalité.
Le roman alterne avec ces chapitres et ceux dans lesquels interviennent les mages de l'université de l'Invisible. le bibliothécaire est bien malade et passe son temps à changer d'apparence physique. le seul remède possible nécessiterait de connaître son vrai nom et il semblerait que la seule personne à le connaître soit Rincevent qui a travaillé un temps à la bibliothèque à ses côtés.
Il y a tout un passage sur une petite île dont le créateur et les plantes qui s'y développent sont très amusantes et où Cogite Stibon croit trouver son bonheur. Il y a aussi la présence de Madame Panaris sur une plage qui rend une partie de la faculté complètement gaga...
Un agréable moment de détente !
Lien : http://toutzazimuth.eklablog..
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Les plus :
-l'humour et le texte inégalable de Pratchett bien sûr
-ses théories farfelues sur l'évolution et la création des espèces
-les mages… et Mme Panaris !
-un voyage dans le temps « à la pratchett »

Les moins :
-les références et autres sous-entendus qu'on comprend qu'à moitié
-Rincevent, je ne suis pas adepte du perso y'a rien à faire
- le début, lent à démarrer
- quelques délires sur les aventures de Rincevent qui laissent perplexe
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J'ai adoré ce livre. Rincevent est une fois de plus héros malgré lui et on assiste à une véritable "plongée" dans la psychologie des mages (c'est pas triste !).
Et, en même temps quelques allusions à la théorie de l'évolution et même une illustration de la théorie des équilibres ponctués avec une histoire de crevettes à la fin !
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