Citations sur Roman du Disque-Monde : Le fabuleux Maurice et ses ro.. (58)
Il n'était pas exactement perdu parce que les chats ne se perdent jamais. Il ne se souvenait pas où se trouvait tout le reste, voilà tout.
- [...] Quels genres de musique tu joues ?
- Quels genres ? Il n'y a pas de genres. Il y a la musique, c'est tout, répondit Keith. Il y a toujours de la musique quand on écoute bien.
Apprendre à affronter l'obscurité extérieure nous aide à combattre l'obscurité intérieure.
p.269.
- Maurice, ce n’est pas bien, dit Pistou. Il vaut sûrement mieux en appeler aux liens communs entre les espèces intelligentes plutôt que…
- Les espèces intelligentes, je ne connais pas. Là, on a affaire aux humains, répliqua Maurice. Vous connaissez les guerres ? Beaucoup de succès chez les humains. Ils se battent contre d’autres humains. Pas très amateurs de liens communs.
p.67.
-Pardon, je t’ai menti, c’était bien du pain d’épice », rectifia aussitôt Maurice. Celui ou celle qui donne à manger a toujours raison.
p.57.
« Les rates sont beaucoup plus difficile, expliqua-t-elle. Elles veulent trouver des pères capables de réfléchir.
-Bien, dit Pistou. Il faut faire attention. On n’a pas besoin de se reproduire comme des rats. On n’est pas obligés de compter sur le nombre. On est les Changés. »
C'était bien le moment d'avoir une conscience ! À quoi ça avançait un chat d'avoir une conscience ? Un chat avec une conscience, c'était un... un hamster, n'importe quoi...
Il se baissa.
- Tu... me... com-prends ? demanda-t-il en articulant très distinctement chaque mot.
- Oui... par-ce que... je ne... suis pas... i-diot, répliqua Noir-mat.
- 'scusez-moi, 'scusez-moi, dit une voix près de lui.
Il baissa la tête vers un chat crasseux à moitié roussi qui lui fit un grand sourire.
- Ce chat vient bien de parler, non ? demanda le maire.
Maurice regarda autour de lui.
- Lequel ? fit-il.
- Toi ! Tu ne viens pas de parler ?
- Est-ce que vous vous sentirez mieux si je réponds non ?
- Mais les chats ne parlent pas !
- Ben, je ne garantis pas de pouvoir assurer, vous savez, un discours entier de fin de banquet, ne me demandez pas non plus de monologue comique, et je n'arrive pas à prononcer des mots difficiles comme "marmelade" et "lumbago". Mais je me satisfais de répliques de base et de conversations simples et saines.
- Qu'est-ce que tu as réellement mis dans le sucre ? [...]
- Cascara, répondit la fille.
- Ce n'est pas du poison, dis ?
- Non, c'est un laxatif.
[...]
- Combien tu leur en as donné ?
- Beaucoup. Mais ça devrait aller s'ils ne prennent pas trop d'antidote.
- Qu'est-ce que tu leur as donné comme antidote ?
- Cascara.
- Malicia, tu as un mauvais fond.