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D'abord merci à #NetGalley et aux éditions #LeMasque pour ces retrouvailles avec Rebus. Toujours un plaisir de retrouver ce teigneux d'inspecteur euh pardon ex-inspecteur. Dans "La maison des mensonges", Rebus est réellement à la retraite. Malade en plus. Un truc respiratoire. Mais croyons-nous vraiment que Rebus pourrait rester chez lui, tranquille à promener son chien et à faire des mots croisés ? Voilà! Vous avez bien compris! Et de façon toute civile et à la demande de son amie l'inspectrice Clarke il revisitera un dossier, il retrouvera son double côté ombre vieil ennemi de toujours Cafferty, il se mêlera bien sûr d'une enquête en cours, il voudra tout savoir et ni Clarke et ni Fox ne sauront lui tenir tête. Bref je n'aimerais pas avoir une belle-mère comme lui ! Toujours là, à l'affût, avec ses secrets de policiers de la vieille école, toujours à prouver que ses méthodes d'ancêtres fonctionnent, à bousculer tout et tout le monde. Mais que voulez-vous, ça marche ! On le retrouve avec plaisir mais disons que dans mon cas, cette fois-ci, ce fut avec un peu moins de sympathie. Ian Rankin doit encore avoir quelques cartes dans sa manche car je crois que la police d'Édimbourg et nous n'en avons pas fini avec un Rebus retraité.
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Avec ce roman, j'en suis à mon vingt et unième tome ayant pour personnage principal l'inspecteur écossais John Rebus . Autant dire que je l'aime bien, on peut même dire qu'il est comme un poteau, un pilier de ma bibliothèque...
Toujours à la retraite, mais toujours un pied dans un commissariat... de préférence là où bosse son ancienne inspectrice , celle qu'il a formé, sa fille spirituelle, Siobhan Clarke.
Et quand elle est chargée d'enquêter sur un cadavre retrouvé dans une voiture, c'est tout naturellement (et en toute illégalité), qu'il va lui donner un coup de main. Et son aide est précieuse car la mémoire de Rebus concernant tous les crimes et délits de la ville d'Edimbourg sur les dernières décennies, est éléphantesque ...
Le bonhomme est INCONTOURNABLE, et d'ailleurs le chef de Clarke s'inclinera: les résultats de Rebus sont là, mais les méthodes pour les obtenir, un peu plus problématiques...
Police moderne et vertueuse / contre vieux flics pas toujours proprets ?
Dans ce Vingt et unième épisode, on parle du Brexit, les flics ne mangent plus de tourtes à la viande, moins d'alcool aussi ...Rebus se refait une santé, mais il écoute toujours de vieux vinyles ...
Avant la musique était Foooormidable, j'ai comme l'impression que pour John Rebus , alias,Ian Rankin , celle d'aujourd'hui est fort minable ... ;-))

Challenge mauvais genres.
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Une enquête de l'inspecteur John Rébus qui a pris sa retraite mais qui ne peut s'empêcher de mener son enquête lors de la découverte du corps d'un jeune homosexuel disparu depuis plus de 10 ans .
En parallèle , il enquête sur le meurtre d'une jeune fille , le coupable a avoué , est en prison mais l'oncle du jeune incarcéré a la conviction qu'il couvre quelqu'un et qui purge sa peine à la place du vrai coupable .
Lecture très agréable , belle écriture à souligner car ce n'est pas toujours le cas dans les romans policiers .
Un inspecteur qui reste très humain , auquel on peut s'identifier .
Lecture bien ancrée dans la réalité , on évoque le Brexit , les nouvelles technologies qui rendent la vie difficile aux enquêteurs plus âgés comme partout dans le monde du travail .
Un grand merci à NetGalley et aux éditions du Masque pour cette belle lecture .
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Super découverte de la fin de l'été grâce à NetGalley.

Ian Rankin est un auteur que je voulais découvrir depuis longtemps, c'est donc tout naturellement que je commence par le dernier livre de sa série ! Et wahou ! Même effet coup de poing qu'avec Olivier Norek.
Ce qui m'a tout de suite frappée c'est la très grande qualité d'écriture (et de la traduction!). A l'exception de quelques longueurs, l'auteur ne s'attarde pas sur moult détails futils : on est tout de suite plongé dans l'action, on capte l'essence des personnages et des liens qui les unissent.
Et que dire du personnage de John Rebus, cet antihéros aussi irritant que génial ! à l'humour caustique décapant ?

On rentre très vite dans le vif du sujet et une fois commencé il m'a été très difficile d'en sortir. Il ne me reste plus qu'à découvrir les autres romans de cet écrivain génial !
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La maison des mensongesIan Rankin le Masque
#LaMaisonDesMensonges #NetGalleyFrance

Découvrir l'oeuvre de Ian Rankin était à mon programme depuis fort longtemps. Voilà chose faite et bien faite.
Siobba Clarke est inspectrice de police dans un commissariat d'Edimbourg. Un corps est découvert dans le coffre d'une voiture en pleine forêt non loin d'Edimbourg. Et si c'était celui de Stuart Bloom, un privé, porté disparu depuis plus de 10 ans. L'enquête de l'époque avait été proprement bâclée, chacun couvrant l'autre et vice et versa. Bref la découverte de ce corps fait ressortir les griefs enfouis, les omissions et aussi les anciens inspecteurs encore en vie qui craignent de voir leur réputation salie. Et qui pointe le bout de son nez? John Rebus bien sur l'une des têtes pensantes de la première équipe. Il est maintenant à la retraite, malade, mais est resté celui que tous connaissant ou craignent selon...
Une enquête menée de main de maitre, certains flics attachants d'autres odieux, des malfrats, des spécialistes de combine plus ou moins illicites mais pas vu pas pris...
Un superbe roman qu'il m' a été très difficile de lâcher avant la dernière page.
Un très grand merci aux éditions le Masque pour ce partage, il ne me reste plus qu'à aller explorer les enquêtes de l'inspecteur Rebus, du plaisir en perspective.
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Je me suis rendue compte après avoir commencé ce livre qu'il s'agissait d'une énième enquête mettant en scène le personnage récurrent de John Rebus. Il est donc fort possible que ce soit pour ça que je n'ai pas accroché. Je n'ai pas réussi à suivre l'intrigue, j'ai trouvé les personnages assez fades.
Je l'ai lu il y a quelques temps déjà et bien qu'ayant le souvenir d'avoir un minimum suivi l'enquête, je serais aujourd'hui incapable d'en faire un résumé. Je n'aime pas commencer des séries par des épisodes postérieurs, même si on est censé pouvoir les lire indépendamment les uns des autres, j'ai l'impression d'avoir loupé des choses, de ne pas être capable de comprendre complètement les personnages. Donc, je pense qu'inconsciemment, je me suis détachée de l'histoire.
Tant pis, il n'y a plus qu'à passer à une autre lecture.
Merci tout de même aux éditions JC Lattès et à NetGalley pour ce partage.
Lien : https://www.facebook.com/Les..
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Avec ce nouveau volume de sa série Rebus Ian Rankin nous place dans l'écosse pré-brexit de 2018. La situation politique du pays n'aura toutefois que peu d'influence sur le déroulement de l'enquête, celle-ci étant en réalité le retour sur le devant de la scène d'une procédure ratée de 2006. On retrouve par mégarde les restes d'un détective privé. Sa disparition n'avait alors pas été résolue. John Rebus, avec d'autres, s'occupait de l'affaire. Il est dorénavant retraité mais pour ce cas précis, son aide officieuse sera requise...

L'ambiance n'est pas au beau fixe dans la police écossaise : la maison des mensonges dont il question dans le titre, c'est aussi elle. Luttes entre services, flics véreux, accointances avec la pègre et avec des entrepreneurs douteux, tout y passe. le fond du roman est donc assez sombre, pas spectaculaire pour deux sous. Les progrès se font lentement, les apparences souvent trompeuses. Et l'influence de Rebus sera décisive.

J'ai été captivé par ce roman policier. Son auteur et cette série étaient en ce qui me concerne une découverte. J'ai particulièrement apprécié son ton, qui peut aller jusqu'au morne et pesant (c'est pour moi une qualité). Je n'aime pas les thrillers ou policiers trop sanglants, qui cherchent souvent à en mettre plein la vue, sans souci de vraisemblance. Normal alors que celui-ci me convienne, avec sa cohorte de personnages bien dessinés, auxquels on s'attache forcément.

Merci à NetGalley et aux éditions du Masque, qui m'ont donné accès à son édition numérique.
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Il y avait longtemps que je voulais découvrir cet auteur écossais dont j'avais entendu dire le plus grand bien. Normalement je commence toujours une nouvelle série par le début, mais il s'agit là du dernier opus. le fait de ne pas avoir lu le début ne m'a pas dérangée du tout mais je vais y remédier, car cet agréable polar mérite sa réputation et m'a donné grande envie de découvrir d'autres volumes (vu la taille de ma PAL, je dois me croire immortelle !)

Des enfants jouent dans la forêt et découvrent un cadavre dans une vieille polo abandonnée. Branle-bas dans la police, il s'agit d'un détective privé porté disparu depuis douze ans dont la famille a multiplié les plaintes en vain. L'enquête est rouverte par une nouvelle équipe menée par l'inspecteur Sutherland, dont font partie Shioban Clarke et Malcolm Fox, de vieux amis de l'inspecteur Rebus, aujourd'hui malade et retraité, mais pas du tout décidé à se comporter comme tel. La nouvelle équipe s'aperçoit très rapidement que la première enquête a été complètement bâclée, pour ne pas dire plus, par Rebus et ses collègues de l'époque. Ils décident donc de les interroger et de tout reprendre à zéro. Certains sont morts, d'autres le seront sous peu, mais Rebus décide de défendre leur travail et surtout de participer aux investigations actuelles, et ce en toute illégalité. En 2006, un climat d'homophobie régnait au sein de la police, les enquêteurs avaient conclu rapidement et sans se soucier des incohérences qu'il s'agissait d'une dispute entre gays qui avaient mal tourné.

En parallèle, Shioban est harcelée par des collègues de l'Anticorruption à cause de son amitié avec une journaliste et par un homme dont le neveu a été condamné à perpétuité pour un meurtre dont il le croit innocent. Elle charge son ami Rebus de tirer cette affaire au clair.

La police moderne et propre s'oppose aux vieilles méthodes de Rebus et de ses amis, la technologie contre l'instinct, les combines douteuses et les amitiés qui ne le sont pas moins. Qui l'emportera finalement ? Ce roman nous propose une plongée dans l'univers du cinéma, de la drogue et de divers trafics dans cette Ecosse qui se prépare au Brexit. les personnages sont très travaillés et intéressants, y compris pour les odieux Chuggabugs.

J'ai beaucoup aimé ce livre et je ne manquerai pas de découvrir le début de cette série, un tout grand merci à Netgalley et aux Editions Lattès pour ce partenariat très apprécié.
#LaMaisonDesMensonges #NetGalleyFrance
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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J'ai eu ma période Ian Rankin, puis je l'ai un peu oublié. "Exit Music" est sans doute l'un des derniers tomes que j'ai lu. Rebus y prenait sa retraite. Et voilà que récemment l'envie de le retrouver m'a fait acquérir les deux derniers tomes de la série.

Le corps d'un homme disparu depuis 12 ans vient d'être retrouvé dans le coffre d'une voiture abandonnée dans un terrain vague. Une nouvelle enquête est lancée. Siobhan Clarke, formée au début de sa carrière par Rebus, fait partie de l'équipe des inspecteurs. Il apparaît très vite que la première enquête n'a pas vraiment été réalisée dans les règles de l'art. Certains des inspecteurs sont encore en activité, d'autres , comme Rebus, sont en retraite. Ambiance tendue non seulement entre les anciens et nouveaux enquêteurs, mais également avec la partie civile et les différents témoins. S'ennuyant, Rebus décide d'y mettre son grain de sel !

Un peu déception à la lecture de ce roman. j'y ai trouvé des longueurs, des digressions, trop de personnages .....


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Cette lecture était pour moi une découverte de l'écrivain. J'avais peur de manquer de référence sur l'inspecteur John Rebus qui semble récurrent mais cela ne m'as pas manqué. Maintenant je voudrais juste en savoir un peu plus sur ce personnage.
J'ai beaucoup apprécié les deux personnages principaux, Rebus et Clarke, mais ma lecture a parfois été laborieuse (ne serait ce que pour comprendre le système de police écossais). L'intrigue de base était assez intéressante, mais les choses parfois longues à se mettre en place, avec pas mal de personnage.
En tout cas ce qui est certain, c'est que je retenterai cet auteur !
Merci à Netgalley et aux éditions le Masque pour cette lecture.
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Jaune, le rébus ? Non, John Rebus !

Salut, moi c'est John, Rebus, drôle de nom pour un flic. Je suis d'Edinburgh, mon père est Ian Rankin, il m'a collé tous les défauts possibles, je fume, je bois etc..., mais question traque des malfrats de toute espèce je suis au TOP. Tout ça a commencé lorsque j'ai quitté l'armée pour rentrer chez les flics, c'est ce qui y ressemblait le plus. Ma première enquête à Edinburgh, que je connais comme ma poche, a consisté a mettre sous les verrous, le fameux ............ d'Edinburgh. Un frappé rodant dans la bibliothèque, tuant de très jeunes filles…sans lien apparent entre elles.

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