A plusieurs reprises, nous avons vu Harry Dickson se mouvoir dans ce qu'il appelait l'atmosphère du crime. Il avait fini par en pénétrer la profonde signification. Il lui arrivait souvent d'accuser cette impalpable entité, bien plus que les hommes qui y baignaient et qui finissaient par devenir les coupables.
Présentation des Derniers contes de Canterbury, de Jean Ray