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Citations sur Les contes du whisky (27)

- Écoutez vous m'êtes sympathique, quel dommage que vous ne soyez pas mort.
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- Écoutez, vous m'êtes sympathique, quel dommage que vous ne soyez pas mort.
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- Pardon, dis-je, je ne vous suis pas très bien.
- Buvez, mon ami, je crois que seul le whisky ouvre la porte de votre compréhension. Sans vous froisser, à l'état normal vous devez être d'une stupidité notoire.
- Tiens, répondis-je légèrement ennuyé, comment vous êtes-vous aperçu de cela ?
- Mon Dieu, ami, voilà une heure que je vous parle et vous ne vous êtes pas aperçu que je suis mort.
- Non, affirma-je avec une grande sincérité, je ne l'aurais pas cru.
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Je me rappelle la violente colère d'un petit bonhomme de capitaine de schooner à qui Hildesheim exprima des doutes sur la fidélité de sa femme et sur les bonnes moeurs de sa mère et de ses filles; il est vrai que, pour le convaincre davantage de son malheur conjugal, Petrus Sneppe lui jeta une bouteille vide à la figure, ce qui lui coupa le nez.
- Cette fois-ci, dit Hildesheim triomphant, je suis bien sûr de ne pas mentir quant à la conduite de sa femme:il est impossible à une épouse de ne pas tromper son mari quand celui-ci n'a plus de nez.
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L'air était lourd de tabac et d'alcool, déjà les buveurs n'apparaissaient que par intermittence, fantomals, par les déchirures de la fumée ondoyante.

"Her Hubich dans la nuit"
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Norwood jugea de suite l'homme comme celui que la vie condamne d'avance, le doux rêveurs aux mains tendues, qui se dépêche après l'éternelle désillusion de gagner un coin sombre de la rue pour essuyer deux larmes aux plis des rides profondes.
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Je ne voulais pas en faire un marin, Monsieur, mais le voisinage des docks, quelques romans d'aventures, la grande chanson des départs que le triple appel des sirènes affolées lance dans l'air marin, ont tout fait.
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Ce fut, je crois, le vingt-huitième jour après ma découverte initiale que je fut désagréablement surpris par une odeur fade régnant dans le couloir. Elle devint bientôt tellement écœurante que j'en eus des nausées. Puis, tout à coup, je me trouvai en face de la Bête.
Elle ricanait hideusement, le mufle à deux pas de ma figure.
Je ne pus faire un mouvement : elle était sur moi.
Ah! l'atroce, l'indéfinissable contact.
Imaginez-vous un cadavre flasque, mou, glaireux, d'une consistance douteuse, d'un froid plus mordant que celui de la glace, qui vous étreindrait avec la force d'un boa constrictor.

La bête blanche
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Le flirt autour des livres est le plus doux que je connaisse. [La vengeance par… le livre]
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Il y avait là une raison de commettre un crime pour Hildensheim et Bobby Moos ; mais le triple soleil des lampes, le regard furieux de Cavendish le barman, la nuit méchante guettant aux vitres et l’or tiède du whisky les avaient rendus lâches.
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