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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme, tatatin 
Couvrez vous bien, ça tangue dur sur « Le fantôme », le capitaine Loup Larsen fait la pluie et le beau temps. Ces coups de gueule sont aussi redoutées que les 40ème rugissants. le critique littéraire HVV va le découvrir à ces dépens. Naufragé involontaire, il se retrouve à faire de sombres besognes pour ne pas retourner illico presto à la flotte. Mais sous les colères de Larsen se cache aussi un homme cultivé, les deux hommes se découvrent et s'affrontent.
Forcément avec une histoire pareille, il fallait avoir les épaules solides pour s'atteler uà un texte si illustre. Riff Reb's les as indiscutablement, il restitue de façon assez impressionnante ces « gueules » de marins patibulaires. Ces dessins qui varient de couleurs à chaque chapitre sont convaincants et un vrai plaisir visuel.
Une aventure maritime prestigieuse que Riff Reb's adapte avec brio et un talent remarquable.
C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme, tatatin 
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Soucieuse de créer une passerelle entre littérature et bande dessinée, la collection Noctambule propose depuis maintenant plusieurs années des adaptations sous forme de romans graphiques des plus grands chefs d'oeuvre de la littérature, de « Moby Dick » à « Au coeur des ténèbres » en passant par « Le dernier des Mohicans ». Riff Reb's a pour sa part opté pour « Le loups des mers », ouvrage écrit par l'auteur américain Jack London au tout début du XXe siècle et dans lequel il met en scène le personnage de Loup Larsen, capitaine de la goélette le Fantôme, véritable force de la nature doté d'un corps de titan et d'un esprit cultivé mais profondément matérialiste, qui fait régner la terreur au sein de son équipage qu'il malmène sans pitié. C'est dans ces circonstances que débarque Humphrey van Weyden, critique littéraire issu de la bonne société, repêché par le Fantôme après un naufrage. Enrôlé de force dans l'équipage, le jeune homme a bien des difficultés à se faire à la rudesse de sa nouvelle vie, et surtout à la personnalité cruelle du capitaine qui semble prendre très à coeur l'initiation de cette étrange recrue.

Bien que librement adaptée de l'oeuvre de London, la bande dessinée reprend fidèlement les grandes lignes du roman d'origine: l'arrivée d'Humphrey sur le navire et ses conversations animées avec le capitaine sur la question de « l'immortalité de l'âme », les multiples confrontations entre certains membres de l'équipage et le capitaine, la rencontre avec la belle Maud, elle aussi rescapée d'un naufrage... Les graphismes sont pour leur part très réussis, la couleur dominante changeant à chaque chapitre (bleu, vert, rouge ou noir) ce qui a pour effet d'accentuer l'angoisse que peut ressentir le lecteur face au personnage de Loup Larsen qui bénéficie d'ailleurs d'un traitement très soigné, tant au niveau du visage, dur mais non dénué d'une certaine beauté, que du corps. « La tête d'un roi babylonien sur un corps de titan », s'extasiera à un moment le narrateur. Car c'est bel et bien en la personne du capitaine que réside le plus gros atout du roman, le protagoniste comme le lecteur étant tout au long du récit partagés entre l'admiration pour la force brute du colosse et sa haine pour son absence de morale et sa cruauté.

Encore une belle adaptation d'un classique de la littérature que l'on découvre ou redécouvre avec grand plaisir sous la plume de Riff Reb's qui nous charme, tout comme Jack London, par son talent de conteur. Amateurs de bandes dessinée, n'hésitez plus !
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Bienvenue sur le Fantôme, la goélette où l'on philosophe et s'affronte! Cent huit ans après sa naissance sous la plume de Jack London, elle revient hanter les océans sous le crayon de Riff Reb's. Lequel, toutes voiles au vent, est allé à l'essentiel en extrayant du roman la substantifique moelle.

En dix-sept chapitres monochromes, Darwin triomphe et la théorie nietzschéenne du surhomme prend l'eau. Humphrey van Weyden (Hump pour les intimes), critique littéraire fluet et civilisé, a le malheur d'être recueilli, après naufrage, par Loup Larsen, capitaine titanesque, barbare et cultivé. le naufragé, bombardé mousse le temps d'une chasse aux phoques, apprend l'épluchage des patates, la lâcheté, la colère rentrée, l'avalage de couleuvres, et les principes de l'adaptation. Dans ce huis clos maritime, entre poupe et proue, les deux hommes croisent le fer (un peu) et la langue (souvent):
"Hump: Je pense qu'il vaut mieux que vous. Ses rêves et ses idéaux sont sa richesse. Face à lui, vous êtes un pauvre.
Loup: Possible, mais si ce bout de ferment perd la vie, ses idéaux aussi seront perdus."

Athée jusqu'au bout de sa barbe noire, Loup raille les croyances de son passager assujetti. « si vous savez que quand vous mourrez, vous irez dans un monde meilleur, alors, pourquoi avez-vous peur de mourir ? » Humphrey persiste à croire mais persiste également à survivre, quelque vilénie se déroule sous ses yeux. Darwin plus fort que Dieu…
Humphrey l'ignore encore mais son urbanité, inadéquate sur les flots, se transforme insensiblement. Il se sait lâche mais ignore ses forces nouvelles.
L'arrivée d'une écrivaine, à son tour naufragée, va exacerber les tensions entre Humphrey et Loup, d'autant que l'ogre capitaine se fait toujours plus brutal. L'aventure s'emballe, prend un tour inattendu. le tendre Hump fait face et constate sa métamorphose.
Le freluquet aura raison de l'indestructible Hulk. Pardon Loup. Tombé en amour pour son écrivaine, le critique littéraire a montré les dents.

Et non, Hump et Maud ne vécurent pas heureux et n'eurent pas plein d'enfants. le graphisme noir de Riff Reb's s'y est opposé tout autant que Jack London. Nous ne sommes pas chez l'ami Walt. Mais ce récit sombre et réussi m'a solidement arrimée à sa corde narrative. J'achète un ciré et je ré-embarque!
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Etant tombée raide-dingue, l'année dernière, du magnifique roman « le loup des mers » de Jack London et particulièrement du fascinant personnage de Loup Larsen, capitaine nihiliste aussi brutal que cultivé, c'est avec optimiste et curiosité que j'ai ouvert l'adaptation BD de Riff Reb's. Bien m'en a pris, car, dès les premières pages, j'ai été happée par l'extraordinaire travail graphique de l'illustrateur ! Chaque planche est un éblouissement, un subtil travail de colorisation et de luminosité qui subjugue le lecteur par sa virtuosité. Afin de renforcer les différentes ambiances de son album, Riff Reb's a choisi une gamme chromatique par chapitre, alternant couleurs froides et chaudes : bleu sombre pour les nuits maritimes étoilées, rouge sang pour les déchainements de violence, etc… Sans verser dans l'hyper-réalisme – style que je n'apprécie guère en bande dessinée – son dessin est aussi d'une rare finesse. Très expressif et détaillé, il campe avec une égale habilité personnages et décors. Les scènes de tempête sont particulièrement superbes et immersives : on sentirait presque les vagues glacées nous fouettaient la face et le hurlement des bourrasques dans nos oreilles. À couper le souffle !

Niveau adaptation, l'album de Riff Reb's est également une belle réussite. A l'exception d'une importante (mais plutôt bienvenue) modification à la fin du récit, il reste très fidèle au roman de Jack London, reprenant la trame de l'intrigue presque scène pour scène. N'ayant pas le roman sous les yeux, je ne pourrais dire à quel point les dialogues et les confidences du narrateur sont conformes à ceux de l'oeuvre originale, mais Riff Reb's restitue indubitablement fort bien l'âpreté et l'ironie féroce de London. C'est donc un vrai plaisir que de redécouvrir, par le biais de son pinceau, les mésaventures du malheureux marin d'eau douce Humphrey van Weyden. J'ai tout de même un petit regret à formuler – un tout petit petit petit regret, je l'admets, mais qui prend à mes yeux une importance disproportionnée… – à propos de la caractérisation du capitaine Loup Larsen. Si l'auteur parvient à merveille à retranscrire l'écrasante volonté, ainsi que la puissance physique et intellectuelle de Larsen, il échoue à revanche à lui donner l'aura tragique, le fond de désespoir, qui le caractérisait chez London. Cette diabolisation excessive du personnage est probablement volontaire, mais je la trouve dommageable puisque celui-ci y perd en nuances et en subtilité.

A ce détail près, « le loup des mers » de Riff Reb's n'en reste pas moins une adaptation fort réussie, doublé d'un très bel objet qui devrait séduire tout bédéphile, même si toute ma tendresse va prioritairement au roman de London. Que voulez-vous ? Les premiers amours sont comme ça, difficiles à surpasser…
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Une traversée de la baie de San Francisco va devenir pour Humphrey van Veyden, un journaliste gringalet, le début d'une terrible aventure. Après un naufrage dû à un épais brouillard, il est recueilli par un bateau de pêche au phoque, mais le capitaine Larsen refuse de dévier de sa route pour le reposer à terre, et l'engage donc plus ou moins comme mousse. Humphrey prend dès le début la mesure de la férocité de cet homme, et du manque d'empathie du reste de l'équipage. Certains se rebelleraient bien, mais Loup Larsen veille et ne laisse personne prendre le dessus sur lui. Seul maître à bord, sans Dieu, dans son cas, il initie toutefois avec quelque plaisir des discussions à teneur philosophique avec ce nouveau membre d'équipage intellectuel. Larsen a des méthodes bien à lui pour démontrer la véracité de ses idées, par exemple pour nier qu'il y ait quelque chose après la mort.

Pas de doute, cette BD entre parfaitement dans la thématique marine, avec naufrage, brouillard marin et tempête, querelles de matelots et tentative de mutinerie. Quelle histoire ! Dès le début, elle embarque le lecteur tel le malheureux critique littéraire enrôlé de force sur ce navire de pêche au long cours pour une traversée du Pacifique. Les dessins sombres, lugubres même, rendent parfaitement l'atmosphère de cauchemar qui prend possession du mousse improvisé, et le texte a des fulgurances d'une grande beauté. Manifestement, Jack London s'est focalisé sur Larsen et son absence absolue d'humanité et de morale, et ce, malgré une intelligence et une culture certaines. L'aspect « aventures en mer » n'est pas négligé pour autant avec les scènes de pêche, ou l'affrontement avec un autre navire dirigé par le propre frère de Larsen, son pire ennemi.
Cette rencontre entre la bande dessinée et la littérature est une réussite certaine !
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On embarque pour un grand voyage sur l'Océan Pacifique avec un fils de bonne famille qui se trouve enrôler par un sérieux coup du sort. J'ai bien aimé le déroulement de cette histoire adaptée du roman de Jack London (comme pour son fameux Croc-Blanc) et qui rappelle que la mer est dangereuse. Cependant, les hommes peuvent l'être encore davantage.

Il est vrai que la figure mythique de ce capitaine est fascinante de par sa stature et de sa vision des choses. Il fait peur en nous indiquant des vérités parfois cruelles (pourquoi tu as peur de mourir, si tu crois que l'on est immortel?). La culture peut côtoyer la pire des sauvageries. La mer jouera également un grand rôle étant plus qu'un simple élément de décors.

La confrontation entre deux hommes que tout semble séparer va être magistrale. le graphisme est à couper le souffle. Bref, la lecture de cet album a été un réel plaisir.
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Somptueuse adaptation du roman de London, cette bande dessinée frappe d'abord par ses ambiances et son usage des couleurs qui subliment le trait de Riff Reb's et transmet si bien l'âpreté de la mer et surtout celle du seul maître à bord avant Dieu : Loup Larsen. Ce dernier est le cœur de l'histoire, force de la nature magnétique, menant son équipage d'une main de fer, terrifiant et révulsant Humphrey presque autant qu'il le fascine. Figure mystique presque, pathétique aussi, car terrassée par de terribles migraines, et face à laquelle de personnage d'Humphrey peine presque à rester un narrateur intéressant.
Une très belle bande-dessinée en elle-même, et une adaptation qui ravira les amateurs de Jack London.
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Si j'ai beaucoup aimé le Loup des mers de London, j'ai beaucoup apprécié aussi cette version de Riff Reb's, qui n'est pas seulement une illustration, mais bien une interprétation personnelle.
Riff Reb's a pour moi bien rendu - par le dessin et par les couleurs - une des questions centrales du roman, à savoir qu'est-ce qu'être un homme ? Non, être un homme ne peut être un rentier en costume et cigare - incarnation type du capitaliste - profitant de l'argent que lui rapporte le travail d'autres hommes, puisqu'il disparaît rapidement dans la tempête. Être un homme, ce n'est pas non plus être un lâche sournois et voleur comme le cuisinier, toujours représenté dans des teintes verdâtres qui suggèrent ses ruses et sa malveillance.
Non, l'homme du récit, c'est Loup Larsen qui incarne la virilité, par sa force, sa masse, ses traits de visage - les dessins mettent bien en valeur sa musculature imposante, sa brutalité, sa violence. Sa couleur dominante est le rouge, couleur de la colère, du sang, du meurtre, de la puissance. Loup est un géant, qui domine les autres, par l'autorité, le charisme et ses abus. Mais il a une faiblesse, ses migraines qui le clouent au lit, et par l'emploi du rouge, par les spirales, le dessinateur retranscrit les démons intérieurs du géant. Loup domine Humpf, peut-il être un homme, lui qui est si frêle, aux mains douces, n'a jamais travaillé de sa vie ? Il est donc représenté comme un petit homme bien coiffé, un dandy fluet. A mesure qu'il se transforme physiquement et moralement en vivant sur le Fantôme, il se laisse pousser la barbe, suggérant des changements profonds ainsi qu'une meilleure compréhension de Loup, une certaine fascination aussi. La fascination est, au sens propre, l'attrait irrésistible, paralysant, exercé par quelqu'un. Leur relation est une relation d'admiration et d'horreur. Cependant, Rebs l'a placée sous le signe de la domination, il insiste moins que London sur les échanges métaphysiques et philosophiques entre les deux - il est vrai qu'il n'est pas très facile de représenter des débats intellectuels en dessin.
Mais être un homme, n'est-ce pas aussi tomber amoureux et construire une relation forte avec une femme, Maud ? Ici, je dois d'ailleurs dire que Rebs ne réduit pas autant Maud à une utilité scénaristique, ce n'est pas qu'une petite chose fragile qui ne sait rien faire et qui soigne sa coiffure - London présentait une femme du début du XX ème siècle. Non, si sa présence à bord permet d'amener de la beauté dans les dessins, de la lumière et de la clarté aussi, l'oeuvre de Rebs insiste sur ses qualités intellectuelles, sa débrouillardise, son courage pour survivre sur l'île. Elle compense son manque de force par d'autres qualités.
Une belle découverte donc que cette interprétation d'un très beau roman que j'invite à lire.
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Une bonne bd, adaptée d'un roman de Jack London et qui donne envie de se plonger dans l'univers de cet auteur. C'est profond, et on passe un bon moment, même si la fin est un peu rapide. Une bd dense qu'on peut lire et relire avec plaisir.
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On dit de Jack London qu'il est l'auteur des immortels Croc-Blanc ou L'appel de la foret. Alors, on peut dire d'une autre manière, que Riff Reb's est l'auteur des sempiternels À bord de l'Étoile Matutine ou le Loup des mers. En tout cas, nous sommes en présence de deux auteurs amoureux et passionnés de littérature maritime. Accrochez-vous qu'ils disaient, si vous ne voulez pas passer par dessus bord !

Écrit au début du XX ème siècle (1904), le loup des mers raconte l'histoire de Humphrey van Weyden, intellectuel américain, gentleman, recueilli à la suite d'un malencontreux naufrage par une goélette nommée le Fantôme. le capitaine de ce voilier est une véritable force de la nature, le bien nommé Loup Larsen. Sa terrible autorité force le respect à la barre du navire, bien qu'ils soit haï par son équipage. Doté d'une intelligence aiguisée tout en étant tyrannique et sauvage, Loup Larsen est un personnage extrêmement redoutable. Quant à Humphrey van Weyden, il va se retrouver bien malgré lui à être l'aide cuisinier ou plutôt le souffre douleur du cuisiner référent. Mais les efforts consentit face à cette vie très rude vont lui permettre de s'endurcir.

Et c'est fort heureusement car leur voyage en mer ne va pas être de tout repos, bien au contraire. Loup Larsen et Humphrey van Weyden vont se trouver un point commun, la philosophie et la littérature. Mais leur vision reste diamétralement opposée. Leurs débats sur la " conception " de la vie font éloge et Loup Larsen garde toujours le dernier mot. Sauf que le voyage est loin d'être arrivé à son terme.

L'accueil d'une jeune poétesse, Maud Brewster va changer la donne. La tension se dissipe au profit d'un récit plus doux. Humphrey van Weyden sent son coeur papillonner pour la belle et talentueuse Maud Brewster. Et se sentant pousser des ailes, ils vont s'évader du Fantôme laissant seul Loup Larsen dans une colère noire et maladive. La fin est proche mais qu'elle en sera l'issue finale ? Un naufrage ou une sortie digne d'un vieux loup de mer...

Plongez dans cette lecture les yeux grand ouvert. L'ambiance graphique de Riff Reb's est à couper le souffle. Pourtant, du vent il y en a en mer, et ici les vagues sont renversantes. Mais le navire tient bon. C'est oublier qu'il est maîtrisé par la barre du capitaine Loup Larsen. Bref, vous l'avez compris, aucune fausse note, c'est en marin expérimenté que l'auteur rend compte une adaptation somptueuse du roman de Jack London. La joute verbale entre les deux protagonistes principaux est à la mesure de la grandeur du paysage marin : profond et respectueux. Entre débat philosophique et chasse cruelle des phoques, l'aventure est fascinante. Juste, en conseil de lecture : ne pas avoir le mal de mer pour explorer cet album !!

Écumeurs des mers, amateur de pirates, ayez l'esprit aventurier et l'oeil vif pour faire face à cette puissance fascinante des océans.


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