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♫Les bambous seront lourds autour de la maison
Elle portera sans doute un kimono de coton
J'y pense chaque jour en regardant la maison
Les marins chuchotaient cette nuit sur le pont
Que fait le capitaine? A-t'il perdu la raison? ♫
-William Sheller- 1983 -
----♪---♫----⚓---🏴‍☠️---⚓----♫---♪----

Darwin l'a clairement démontré, si l'évolution est un arbre, l'homme n'est qu'au bout d'une branche parmi des centaines....
Métaphores servies en chapelets de blasphèmes
Sombre au bout d'un bras de mer, lent terne ...
Sourd dès que t'ignores quand les autres cons prennent
Le monde des sens,
Origine de toute compréhension humaine
Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde,
Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde
Par delà les confins des sphères étoilées,
Tu ignores ce sentiment de culpabilité
Ohé, ohé, capitaine abandonné
Ohé, ohé, mets des ailes à ton voilier
Loup Larsen
Regarde où ça nous mène
La houle nous guidera toujours
Il suffit qu'un peu d'amour
Nous revienne
Pour qu'on reprenne forme humaine....



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En ce matin de janvier, une brume épaisse couvrait la baie de San-Francisco. C'est à bord du ferry-boat Martinez que le journaliste Humphrey van Heyden embarqua pour aller rendre visite à un ami. Un vieux marin grincheux, une jambe de bois et la pipe au bec, tout droit sorti d'un roman de Stevenson, le rejoint alors qu'il prend l'air sur le pont. Ses propos l'inquiètent quelque peu puisqu'il ne cesse de répéter que le capitaine fait fausse route. Un dense coton de brume l'enveloppe, moment propice pour songer à sa carrière d'écrivain. Il sort subitement de ses rêveries lorsque le ferry-boat percute violemment un paquebot. C'est la cohue générale. Les passagers se jettent à l'eau, le navire commence à couler. Certains réussissent à embarquer dans un radeau de sauvetage tandis que Humphrey se retrouve seul au milieu de l'océan, dans cette eau glaciale. Emporté par le courant, il perd connaissance...
Quelques heures plus tard, il se réveille, deux hommes à ses côtés. Ils lui donnent une boisson chaude et l'informent qu'il est à bord de la goélette phoquière le Fantôme et qu'il fait route vers le Japon. Il fait alors connaissance de Loup Larsen, le capitaine. Un personnage bourru, une force de la nature, qui fait régner la loi d'une main de maître et ne semble pas doté du moindre semblant d'humanité. Il fait aussitôt du journaliste son mousse, son ancien venant juste de mourir. Un véritable enfer commence alors...

Adapté du roman de le loup des mers de Jack London, cet album est une grande réussite. Dès les premières pages, l'on est plongé dans une ambiance étrange et oppressante et l'on est certain qu'un duel entre Loup Larsen, cet homme despotique et violent, qui ne croit en rien surtout pas aux hommes mais néanmoins très cultivé, et Humphrey, ce journaliste, critique littéraire, frêle et peu enclin à la rudesse du monde qui l'entoure. Entre ces deux hommes, une étrange relation va se nouer et elle sera source de débats philosophiques. Ce voyage à bord de la goélette va se révéler être un véritable cauchemar pour lui, aussi bien à cause des conditions climatiques que des hommes rustres qui sont à son bord. Ce récit est palpitant, l'on est coincé sur ce navire, l'on subit de plein fouet les tempêtes. le graphisme est tout simplement somptueux. le trait est puissant, racé et minutieux. Les couleurs bichromiques selon les chapitres sont d'une grande richesse et créent différentes ambiances.
Un travail absolument remarquable...

Le loup des mers... une rencontre inoubliable...
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C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme, tatatin 
Couvrez vous bien, ça tangue dur sur « Le fantôme », le capitaine Loup Larsen fait la pluie et le beau temps. Ces coups de gueule sont aussi redoutées que les 40ème rugissants. le critique littéraire HVV va le découvrir à ces dépens. Naufragé involontaire, il se retrouve à faire de sombres besognes pour ne pas retourner illico presto à la flotte. Mais sous les colères de Larsen se cache aussi un homme cultivé, les deux hommes se découvrent et s'affrontent.
Forcément avec une histoire pareille, il fallait avoir les épaules solides pour s'atteler uà un texte si illustre. Riff Reb's les as indiscutablement, il restitue de façon assez impressionnante ces « gueules » de marins patibulaires. Ces dessins qui varient de couleurs à chaque chapitre sont convaincants et un vrai plaisir visuel.
Une aventure maritime prestigieuse que Riff Reb's adapte avec brio et un talent remarquable.
C'est pas l'homme qui prend la mer, c'est la mer qui prend l'homme, tatatin 
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Lorsque l'envie de triborder par bâbord se fait pressante, le besoin de caresser le cul d'une poulie insistant et qu'hisser le gros phoque vous démange plus que de raison, le doute n'est plus permis, l'appel de la mer - à Michel qu'a toujours pas retrouvé son chat - vous taraude, lui résister serait criminel.

Dévorer le Loup de Mers, c'est naviguer par gros temps, subir la loi de l'océan, prendre le parti extrême d'une expérience totale qui pourrait bien s'avérer définitive.
Mais surtout, c'est s'exposer aux colères homériques de son capitaine, le délicieux Loup Larsen.
Capable de vous balancer une charretée de jurons propre à faire rougir d'effroi la plus mûre des solanacées puis, dans la minute qui suit, vous déclamer les vers d'illustres écrivains contemporains sans coup férir. Il est comme ça le Loup, tantôt caressant, tantôt despotique. Nul n'imaginerait s'y frotter sans avoir l'envie pressante d'en finir avec la vie.

Humphrey est un jeune écrivain talentueux. Son seul défaut, une poisse carabinée qu'il va très vite confirmer en se retrouvant fortuitement à bord du Fantôme, goélette d'un fort beau gabarit dirigée par son légendaire capitaine susnommé.
Son quotidien va très rapidement s'avérer apocalyptique, tout comme la confrontation inévitable. Joutes physiques et verbales de premier plan, plaisir de lecture total.

Récit alliant avec un égal bonheur piraterie et initiation, le Loup des Mers réalise le sans-faute en vous hypnotisant littéralement de la première à la toute dernière planche. Inutile de vouloir résister à l'appel des sirènes, vous y viendrez vous aussi, tout heureux d'avoir succombé à l'ivresse du grand large !

Capt'ain Iglo lui a décerné cinq sardines, pas mieux...
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Pour une fois je commence par les dessins et couleurs qui sont un travail d'orfèvre. Une beauté presque irréelle ! Un critique littéraire est sauvé en pleine mer par un bateau de pêche. Son argent et ses références littéraires ne servent à rien au milieu de l'océan. le délicat homme sera assigné comme mousse, cantonné à l'épluchure des patates. Il va découvrir que le capitaine, cette espèce d'ogre qui ne croit plus en l'espèce humaine, lit les mêmes livres que lui. Ce personnage, haut en couleur, va le dégoûter et le fasciner. Fascinants aussi seront aussi leurs échanges ! Une adaptation libre du roman de Jack London plus que réussie.
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Soucieuse de créer une passerelle entre littérature et bande dessinée, la collection Noctambule propose depuis maintenant plusieurs années des adaptations sous forme de romans graphiques des plus grands chefs d'oeuvre de la littérature, de « Moby Dick » à « Au coeur des ténèbres » en passant par « Le dernier des Mohicans ». Riff Reb's a pour sa part opté pour « Le loups des mers », ouvrage écrit par l'auteur américain Jack London au tout début du XXe siècle et dans lequel il met en scène le personnage de Loup Larsen, capitaine de la goélette le Fantôme, véritable force de la nature doté d'un corps de titan et d'un esprit cultivé mais profondément matérialiste, qui fait régner la terreur au sein de son équipage qu'il malmène sans pitié. C'est dans ces circonstances que débarque Humphrey van Weyden, critique littéraire issu de la bonne société, repêché par le Fantôme après un naufrage. Enrôlé de force dans l'équipage, le jeune homme a bien des difficultés à se faire à la rudesse de sa nouvelle vie, et surtout à la personnalité cruelle du capitaine qui semble prendre très à coeur l'initiation de cette étrange recrue.

Bien que librement adaptée de l'oeuvre de London, la bande dessinée reprend fidèlement les grandes lignes du roman d'origine: l'arrivée d'Humphrey sur le navire et ses conversations animées avec le capitaine sur la question de « l'immortalité de l'âme », les multiples confrontations entre certains membres de l'équipage et le capitaine, la rencontre avec la belle Maud, elle aussi rescapée d'un naufrage... Les graphismes sont pour leur part très réussis, la couleur dominante changeant à chaque chapitre (bleu, vert, rouge ou noir) ce qui a pour effet d'accentuer l'angoisse que peut ressentir le lecteur face au personnage de Loup Larsen qui bénéficie d'ailleurs d'un traitement très soigné, tant au niveau du visage, dur mais non dénué d'une certaine beauté, que du corps. « La tête d'un roi babylonien sur un corps de titan », s'extasiera à un moment le narrateur. Car c'est bel et bien en la personne du capitaine que réside le plus gros atout du roman, le protagoniste comme le lecteur étant tout au long du récit partagés entre l'admiration pour la force brute du colosse et sa haine pour son absence de morale et sa cruauté.

Encore une belle adaptation d'un classique de la littérature que l'on découvre ou redécouvre avec grand plaisir sous la plume de Riff Reb's qui nous charme, tout comme Jack London, par son talent de conteur. Amateurs de bandes dessinée, n'hésitez plus !
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Bienvenue sur le Fantôme, la goélette où l'on philosophe et s'affronte! Cent huit ans après sa naissance sous la plume de Jack London, elle revient hanter les océans sous le crayon de Riff Reb's. Lequel, toutes voiles au vent, est allé à l'essentiel en extrayant du roman la substantifique moelle.

En dix-sept chapitres monochromes, Darwin triomphe et la théorie nietzschéenne du surhomme prend l'eau. Humphrey van Weyden (Hump pour les intimes), critique littéraire fluet et civilisé, a le malheur d'être recueilli, après naufrage, par Loup Larsen, capitaine titanesque, barbare et cultivé. le naufragé, bombardé mousse le temps d'une chasse aux phoques, apprend l'épluchage des patates, la lâcheté, la colère rentrée, l'avalage de couleuvres, et les principes de l'adaptation. Dans ce huis clos maritime, entre poupe et proue, les deux hommes croisent le fer (un peu) et la langue (souvent):
"Hump: Je pense qu'il vaut mieux que vous. Ses rêves et ses idéaux sont sa richesse. Face à lui, vous êtes un pauvre.
Loup: Possible, mais si ce bout de ferment perd la vie, ses idéaux aussi seront perdus."

Athée jusqu'au bout de sa barbe noire, Loup raille les croyances de son passager assujetti. « si vous savez que quand vous mourrez, vous irez dans un monde meilleur, alors, pourquoi avez-vous peur de mourir ? » Humphrey persiste à croire mais persiste également à survivre, quelque vilénie se déroule sous ses yeux. Darwin plus fort que Dieu…
Humphrey l'ignore encore mais son urbanité, inadéquate sur les flots, se transforme insensiblement. Il se sait lâche mais ignore ses forces nouvelles.
L'arrivée d'une écrivaine, à son tour naufragée, va exacerber les tensions entre Humphrey et Loup, d'autant que l'ogre capitaine se fait toujours plus brutal. L'aventure s'emballe, prend un tour inattendu. le tendre Hump fait face et constate sa métamorphose.
Le freluquet aura raison de l'indestructible Hulk. Pardon Loup. Tombé en amour pour son écrivaine, le critique littéraire a montré les dents.

Et non, Hump et Maud ne vécurent pas heureux et n'eurent pas plein d'enfants. le graphisme noir de Riff Reb's s'y est opposé tout autant que Jack London. Nous ne sommes pas chez l'ami Walt. Mais ce récit sombre et réussi m'a solidement arrimée à sa corde narrative. J'achète un ciré et je ré-embarque!
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Avec « le loup des mers », d'après le roman de Jack London, Riff Reb's démontre avec éclat à quel point la bande dessinée peut se prêter avec succès à l'exercice difficile de l'adaptation littéraire.

La force du dessin, la beauté des planches et l'habileté du découpage restituent à merveille la puissance narrative du texte original et nous offrent un pur moment de plaisir.

Une vraie réussite et l'une des plus belles B.D. de l'année 2013, récompensée par le Prix Quai des Bulles.
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Etant tombée raide-dingue, l'année dernière, du magnifique roman « le loup des mers » de Jack London et particulièrement du fascinant personnage de Loup Larsen, capitaine nihiliste aussi brutal que cultivé, c'est avec optimiste et curiosité que j'ai ouvert l'adaptation BD de Riff Reb's. Bien m'en a pris, car, dès les premières pages, j'ai été happée par l'extraordinaire travail graphique de l'illustrateur ! Chaque planche est un éblouissement, un subtil travail de colorisation et de luminosité qui subjugue le lecteur par sa virtuosité. Afin de renforcer les différentes ambiances de son album, Riff Reb's a choisi une gamme chromatique par chapitre, alternant couleurs froides et chaudes : bleu sombre pour les nuits maritimes étoilées, rouge sang pour les déchainements de violence, etc… Sans verser dans l'hyper-réalisme – style que je n'apprécie guère en bande dessinée – son dessin est aussi d'une rare finesse. Très expressif et détaillé, il campe avec une égale habilité personnages et décors. Les scènes de tempête sont particulièrement superbes et immersives : on sentirait presque les vagues glacées nous fouettaient la face et le hurlement des bourrasques dans nos oreilles. À couper le souffle !

Niveau adaptation, l'album de Riff Reb's est également une belle réussite. A l'exception d'une importante (mais plutôt bienvenue) modification à la fin du récit, il reste très fidèle au roman de Jack London, reprenant la trame de l'intrigue presque scène pour scène. N'ayant pas le roman sous les yeux, je ne pourrais dire à quel point les dialogues et les confidences du narrateur sont conformes à ceux de l'oeuvre originale, mais Riff Reb's restitue indubitablement fort bien l'âpreté et l'ironie féroce de London. C'est donc un vrai plaisir que de redécouvrir, par le biais de son pinceau, les mésaventures du malheureux marin d'eau douce Humphrey van Weyden. J'ai tout de même un petit regret à formuler – un tout petit petit petit regret, je l'admets, mais qui prend à mes yeux une importance disproportionnée… – à propos de la caractérisation du capitaine Loup Larsen. Si l'auteur parvient à merveille à retranscrire l'écrasante volonté, ainsi que la puissance physique et intellectuelle de Larsen, il échoue à revanche à lui donner l'aura tragique, le fond de désespoir, qui le caractérisait chez London. Cette diabolisation excessive du personnage est probablement volontaire, mais je la trouve dommageable puisque celui-ci y perd en nuances et en subtilité.

A ce détail près, « le loup des mers » de Riff Reb's n'en reste pas moins une adaptation fort réussie, doublé d'un très bel objet qui devrait séduire tout bédéphile, même si toute ma tendresse va prioritairement au roman de London. Que voulez-vous ? Les premiers amours sont comme ça, difficiles à surpasser…
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Les adaptations d'oeuvres littéraires unanimement reconnues pour leurs qualités ne sont pas des projets risqués. Lorsque cette adaptation s'inspire d'un livre de Jack London, elle l'est encore moins (essayez plutôt d'adapter en bande dessinée un livre comme Orlando de Virginia Woolf par exemple…) Avec Jack London, la transposition du texte au dessin suscite moins d'interrogations. La haute teneur du récit en actions, en lieux et en personnages clairement définis offre des valeurs sûres qui constituent une base stable. Mieux encore : en choisissant Jack London comme support d'une adaptation, Riff Reb's s'est également assuré un support littéraire de choix. Jack London est un prototype hollywoodien de très grande qualité : richesse des actions, prose lyrique et puissante, mêlées à des réflexions métaphysiques dépouillées du jargon philosophique, fournissent les ingrédients qui éradiquent l'ennui à coups de machettes.


Mais à trop vanter Jack London, on finirait par oublier Riff Reb's… Devant une oeuvre aussi réussie que l'original Loup des mers, il fallait avoir le courage de se plonger dans les méandres du texte pour en retrancher certains épisodes, abrégeant certains évènements et se focalisant davantage sur certaines scènes pour en fournir un condensé qui tiendrait sur un peu plus d'une centaine de planches. Jusqu'à quel point les textes et dialogues se sont-ils échappés de leur support original ? Aucune indication ne nous est fournie et à moins d'avoir le livre de Jack London sous la main, on ne pourra le savoir. Il n'empêche, cela sent le Jack à plein nez : délicieuses railleries, entremêlement de la prose distinguée et du harponnage ordurier aussitôt suivi de métaphysique pragmatique, l'auteur original ne semble jamais bien loin.


Le dessin de Riff Reb's suit cette ligne de conduite imposée par le genre de Jack London et transpose en dessin le caractère intransigeant et lyrique de sa prose. Les traits nets et précis opposent leur rigueur aux tons éclatants –bien que sombres- des couleurs. Entre deux planches s'intercale parfois une double page de gravure en noir et blanc –reflet sur un monde qu'on situe entre la réalité terrestre et l'imagination céleste. Son travail sur le texte de Jack London est une réussite sur tous les tableaux, et si le Loup des mers avait pu concevoir ce regret : « Mon tort à moi est d'avoir mis le nez dans les livres », le nôtre serait plutôt de n'avoir pas encore mis le nez dans l'oeuvre originale de Jack London.

Lien : http://colimasson.over-blog...
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