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J'aime bien la Norvège, j'aime bien découvrir les auteurs norvégiens ..
Ma curiosité m'a entraîné jusqu'à Tore Renberg !
Après survol des critiques babilioniemes, je ne suis pas sûre d'avoir choisi un auteur qui va m'enchanter.
C'est effectivement bavard, très bavard, l'essentiel du roman est une suite de dialogues entre les différents personnages. On s'y perd un peu car il y a beaucoup d'intervenants. Les échanges ne sont pas d'une nature très intellectuelle. Nous sommes plutôt dans le banal, dans la vie de tous les jours, les obligations familiales, les rituels des uns ou des autres, dans l'histoire de chaque protagoniste, ce qu'ils ont fait ou ce qu'ils auraient voulu faire ou auraient dû faire.
Mais le bavardage des uns et des autres nous permet de nous immiscer dans leurs vies privées, leurs amours, leurs désirs et leurs espoirs.
Une autre forme de narration ne nous aurait certainement pas permis une telle immersion dans cette banlieue de Stavanger.
L'intrigue en elle même n'a, je l'avoue que peu d'intérêt, les dysfonctionnement des sociétés scandinaves sont bien mieux décrites dans d'autres romans, c'est juste un portrait pas très flatteur ni très enjolivé de la ville de Stavanger qui a pu profiter pleinement de l'arrivée du pétrole .... juste un divertissement....
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A la fois drôle et inattendu, parfois cruel, ce roman dresse les portraits tout en nuance de personnages qui, comme ils le peuvent, tentent de donner un sens à leur vie.
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Quel plaisir de recevoir gratuitement un roman de Babelio avec pour seule mission d'en faire une critique. Aussitôt reçu, aussitôt commencé, comme d'habitude.

Ce roman très long de plus de 600 pages paraît de prime abord original, d'autant que j'ai un plaisir certain à découvrir les écrivains norvégiens ou suédois très à la mode en ce moment…

L'histoire est assez simple. Des pieds Nickelés vont monter une arnaque à l'assurance au profit d'un type assez minable qui s'est ruiné au jeu. A partir de ce fil conducteur, l'auteur va nous entrainer dans la vie de ses personnages souvent très déjantés, comme on a coutume de dire. Il en résulte une suite de petits chapitres mettant en scène les points de vue des différents acteurs, le tout avec force détails et circonvolutions pour la plus part inutiles, à seule vocation d'alourdir le propos.

Certes, certains passages sont assez cocasses et le style parfois alerte voire joyeux. La maternité de Cécilia est adroitement traitée ainsi que ses rapports avec les hommes… Les jeunes sont bien typés et les interrogations réalistes et parfaitement rendues dans les dialogues et monologues intérieurs. Mais je me suis ennuyé à mourir… Ce qui aurait tenu en 200 pages est délayé en 600 !

Que dire de la fin ? Elle est assez pitoyable, mal arrangée et peu crédible. Que devient réellement l'assassin qui a renversé la jeune fille hormis s'accoquiner avec les fameux Pieds Nickelés ? Que devient ce pauvre Pal victime et instigateur de l'arnaque ? On ne sait pas… Ou alors je n'ai rien compris !

Voilà. Résultat, quatre semaines de lecture laborieuse et des rappels à l'ordre concernant mon retard à poster la critique. C'était au-dessus de mes forces et j'ai dû batailler fort pour arriver au bout. Que Babelio m'en excuse et me pardonne pour cette fois !



Michelangelo 2015
Lien : http://jaimelireetecrire.ove..
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Verdict :ah ces écrivains des pays du Nord. Disons le de suite je n'ai pas accroché; il y a des choses que j'ai aimées quand même et même plusieurs et je vais commencer par celles là.

Les personnages sont nombreux mais l'alternance de point de vue chapitre par chapitre apporte des éclairages différents. L'histoire n'est pas centrée uniquement sur Pal mais sur tout ce petit monde qui évolue autour d'un point départ commun.
Les chapitres sont assez courts, ce qui permet d'avancer assez vite.
Et au début, j'avais vraiment envie de savoir comment tout cela allait finir, où est ce que l'auteur avait envie de nous emmener.

Mais j'ai un problème et un gros; je n'aime pas la vulgarité ...j'ai du mal; quand c'est un mot de temps en temps dans la conversation oui mais je n'aime pas le langage ordurier de certains des personnages.

Le côté référence au rock m'a laissée totalement indifférente; je connais les groupes évoqués mais cela n'a aucun interet pour moi. Je parle assez bien anglais mais j'ai quand même pensé à ceux pour qui ce n'est pas le cas, et il n'ya pas de traduction.

Pour tout dire j'ai eu du mal à la finir; les conduites de vie des personnages ne m'ont pas passionnés, je n'ai pas réussi à m'attacher à ce groupe de paumés de tout bord.

Bref je ne suis pas la bonne avocate pour ce livre !



En tous cas je remercie vivement Babelio et les éditions Presses de la cité pour ce livre.
Lien : http://noryane.canalblog.com..
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C'est scandinave mais ce n'est pas un polar ni un thriller ! Mais un auteur norvégien fan de metal et qui y fait des références constantes à travers les personnages de son livre, ça ne pouvait que m'attirer. En plus la couverture et le quatrième de couverture sont bien tape à l'oeil et font bien envie. Mais est-ce que ça en fait un bon roman pour autant ? Oui et non, en fait. L'histoire est sympa et la construction et le style d'écriture sont agréables. Ca tourne autour de plusieurs personnages, tous basés dans la ville norvégienne de Stavanger, qui est la capitale européenne de l'exploitation pétrolière (d'où le titre). Sauf que les personnages ne sont pas vraiment des rois, plutôt des losers finis : entre un fonctionnaire municipal surendetté élevant seul ses deux filles, des ados désoeuvrés et une bande de petites frappes assez barrées, ça fait une bonne bande de vainqueurs ! C'est un roman choral, c'est à dire que chaque chapitre (court, qui plus est) est centré sur l'un des personnages, un peu comme dans le Trône de Fer dans un style complètement différent. Les dialogues sont drôles, ça parle beaucoup de cul et de musique, et tous les personnages sont fans de metal. Par contre même si c'est très facile à lire, les discussions traînent parfois trop en longueur. le livre fait 600 pages, je pense que ça aurait pu être largement raccourci. Mais en même temps, ça se lit vite quand même et les références à la fois au metal et aux années 80 sont assez savoureuses. Ce n'est pas de la grande littérature, mais si on aime le metal et qu'on a une bonne culture 80's (et si on était né à cette époque, c'est encore mieux vu tous les clins d'oeil), c'est plutôt sympa.
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Ne vous fiez surtout pas au résumé du roman, il n'a presque rien à voir avec le contenu de l'intrigue! Celui qui a résumé ce livre n'a dû lire que le tout début car Les Rois du pétrole raconte, certes une tentative d'arnaque à l'assurance, mais elle apparaît de manière bien minime dans l'économie de l'intrigue.

Les Rois du pétrole c'est d'abord un roman un peu déstabilisant. En effet, c'est un roman choral: chaque chapitre est raconté du point de vue d'un personnage à chaque fois différent. Il y a Pal, le père divorcé, endetté jusqu'au cou par des jeux de hasard en ligne; ses filles Malene et Tiril; Sandra, une collégienne; Daniel, un lycéen mauvais garçon à la réputation sulfureuse; Veronika, une jeune sourde; Rudi, Cécilia et Jan Inge, tous appartenant à la même bande de truands.

Il faut donc à chaque fois s'adapter au point de vue du personnage en question. Au début de ma lecture, j'avais du mal à comprendre quel était le point commun entre tous ces personnages et au puis, au fur et à mesure, une carte des relations s'écrit. On comprend que l'auteur a tracé de manière très subtile des liens entre tous ses protagonistes et que d'une manière ou d'une autre, ils se rejoindront à un moment donné de l'intrigue.

L'intrigue justement tourne surtout autour de la bande de truands. Ce sont de vrais pieds nickelés qui se donnent des airs de gros durs mais qui en réalité vivent de petits vols, de cambriolages et d'arnaques en tous genres. C'est assez drôle de les suivre dans ce roman car ils se donnent beaucoup d'importance pour pas grand chose au final. Une chose m'a dérangée cependant, la vulgarité du personnage de Rudi. Je comprends que l'auteur veuille faire passer son personnage pour un homme grossier ne pensant qu'au sexe mais trop de vulgarité tue la vulgarité. C'est le point négatif du roman selon moi. L'auteur a peut être voulu en faire trop de sorte que certains de ses personnages deviennent peu crédibles.

Hormis ce point de langue qui m'a gênée, j'ai apprécié l'intrigue. Finalement on se prend au jeu. Pal va-t-il aller au bout de son idée? La bande de Jan Inge va-t-elle réussir son coup? Outre cette intrigue principale, on suit les amours d'adolescents. Là aussi, j'ai eu envie de connaître la destinée de ces couples qui se font et se défont.

L'auteur dresse une galerie de portraits assez vrais: du père divorcé au looser de service, tout y passe. Il nous conte une petite tranche de vie et nous montre des êtres paumés à leur façon qu'ils soient adultes ou adolescents.

J'ai aimé me plonger dans le quotidien de ces Rois du Pétrole, finalement attendrissants dans leur façon d'essayer de se rendre la vie plus facile. L'auteur donne une allure rock'n'roll à tout cela et son intrigue file à cent à l'heure!

Je remercie les éditions Presses de la Cité ainsi que Babelio pour m'avoir permis de découvrir ce roman.
Lien : https://carolivre.wordpress...
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C’est une chronique peu enthousiaste que je viens partager avec vous, autant vous l’annoncer tout de suite… J’ai eu la possibilité de lire le nouveau roman de Tore Renberg, Les rois du pétrole, paru aux éditions des Presses de la Cité en mai 2015. L’histoire semblait bien s’annoncer au regard du résumé qui accompagnait cette proposition…

Stavanger, ville portuaire située en Norvège, abrite en son sein de drôles de phénomènes. Pour commencer, faisons la connaissance de Pål : addict aux jeux d’argent en ligne, divorcé, qui élève seul ses deux filles Tiril et Malene. Endetté jusqu’au cou, plus moyen de rembourser ses dettes… En désespoir de cause, il fait appel aux membres du gang de Tjensvoll, dont la réputation n’est plus à faire aux alentours… Parmi le gang se trouve Jan Inge, tête pensante du groupe passionné par les films d’horreur, Cecilie, sa petite sœur, en couple avec Rudi, plutôt « agité du bocal » et très penché sur le sexe, membre lui aussi du gang. Objectif : mettre en scène un cambriolage et une agression sur (et à la demande) de Pål, afin de toucher un million de couronnes de la part de l’assurance pour dégâts matériels et corporels. Une arnaque à l’assurance, en somme… Tout se prépare et se manigance doucement dans un endroit retiré de la ville… C’était sans compter sur la présence de deux autres jeunes gens, Daniel et Sandra, qui se trouvaient dans les parages alors que les autres protagonistes préparaient leur coup…

En découvrant une histoire de cet ordre, on est en droit de s’attendre à pas mal d’action, non ? Une aventure qui tourne mal, du suspense, des situations improbables, une galerie de personnages tout aussi loufoques les uns que les autres… Eh bien, je suis désolée de vous le dire, il n’en a rien été pour moi, ou presque… Presque 620 pages, une action qui se déroule sur trois ou quatre jours, et ce que j’attendais tant n’est arrivé que vers la fin, et encore, cela n’a pas apaisé ma déception, avec cette histoire vendue comme étant écrite à la manière des « Tontons Flingueurs »…

Chaque chapitre permet d’exprimer le point de vue de l’un des personnages cités dans le résumé ci-dessus (deux personnages viennent s’ajouter à cette galerie de portraits au fil de l’histoire). On fait connaissance avec eux, on en apprend plus sur leurs personnalités respectives, leurs souvenirs, leurs doutes, leurs peurs, leurs envies, leurs secrets… A croire que chacun d’entre eux est en pleine crise existentielle… Cela ne fait avancer que très peu l’intrigue du livre à mon goût, même si l’on retrouve les protagonistes à différents instants pendant l’avancée du projet. Des données qui permettent à la rigueur de cerner les acteurs de l’histoire et éventuellement de comprendre un peu mieux les tenants et les aboutissants du cœur de l’intrigue, pas plus. Mais plus de 600 pages à un rythme que j’ai trouvé lent, autant vous dire que j’ai un peu trouvé le temps long à la lecture, bien qu’on ait peut-être envie de s’attacher à l’un ou l’autre des personnages. D’où ma déception.

Pourtant, au départ, ce livre avait tout pour me plaire, même si ce n’est pas dans mes lectures habituelles : un style d’écriture cash et sans détours (ça ne plaît pas à tout le monde, certes) et des personnages qui avaient l’air d’envoyer du lourd, si vous me permettez d’exprimer les choses ainsi, une bande-son associée au livre qui ajoutait vraiment à l’ambiance générale qui semblait résolument « rock ». Ne me manquait plus que l’action que je pensais trouver dans cette histoire. Et… flop pour ma part…

Si je devais résumer ce livre en quelques mots seulement, je le décrirais comme une dense (!) galerie de personnages aux destins amenés à se croiser à un moment où à un autre, au cours du projet pas très net qui en relie déjà certains entre eux… Mais c’est presque tout. Vous le ressentez peut-être à la lecture de cet avis, mais j’ai eu du mal à cerner le véritable enjeu de l’intrigue, et mes attentes envers ce roman n’ont pas été comblées… Vraiment dommage, car avant de l’ouvrir, la lecture s’annonçait sous de meilleurs auspices !

Je tiens tout de même à remercier Babelio et les éditions des Presses de la Cité pour cet envoi.
Lien : http://lismoisituveux.com/le..
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Je l'ai traîné, ce roman. Pas seulement à cause de circonstances familiales (la Boulette teste le dictionnaire médical en ce moment), mais aussi parce qu'au moment de choisir comment profiter de mon temps libre, il n'arrivait jamais en première position.

Il est pourtant très bien ! Dans une ambiance rock'n'roll, de joyeux paumés s'entrecroisent. Ados en crise, petites frappes attendrissantes et adultes à la dérive se mêlent dans un discours aux voix plurielles. Chaque petit chapitre donne la parole à l'un deux, et nous permet de mieux faire connaissance. Ils sont tous attachants à leur manière.

Les références musicales égrenées au long des pages étoffent la toile de fond de l'histoire, sans pour autant être obscures et le réserver aux amateurs. Vous pourrez parfaitement l'apprécier sans être fan de musique.

Je l'ai trouvé assez long à démarrer. La quatrième de couverture nous en dit beaucoup sur un événement qui ne se décide qu'à la moitié du roman : avant cela, tout se met simplement en place, et on se demande quand ces personnages vont finir par entrer en contact, d'autant plus que les liens entre eux sont ténus. Une camarade de classe, une vague connaissance... pas de quoi former un groupe cohérent, à priori. On ne s'ennuie pas pour autant : le rythme est bien calculé, et on trouve toujours une motivation à tourner une page de plus.

Cependant, en le refermant, j'y trouve un goût d'inachevé. Je ne sais pas si cette histoire nous a mené quelque part. Les personnages ont-ils changé, grandi ? Quel était le propos, exactement ? Les théories s'enchaînent dans mon esprit, sans que j'y trouve de réponse satisfaisante. L'auteur cherchait-il à nous dire qu'il faut se méfier de ses passions (passion de la gym, du poker, passion amoureuse, passion de l'autorité...) ? Est-ce que cela concernait la manière dont on aborde le changement, dont on franchit les frontières qu'on s'était imposées ?

Ou n'y avait-il ni message, ni morale, et s'agissait-il simplement d'une tranche de vie ?

Aucun épilogue ne nous donne davantage de détails sur leurs destins. J'aurais pourtant aimé savoir ce qu'ils devenaient !

J'ai bien aimé "Les rois du pétrole". J'ai passé un bon moment. Mais ça s'arrête là.


Merci à Babelio et aux Presses de la Cité de m'avoir permis de le découvrir.



Lien : http://cequejenlis.canalblog..
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Merci à Babelio et aux éditions Presses de la Cité pour cette découverte.

Une bonne première impression avec cette belle couverture colorée et un résumé alléchant. Mais ce dernier je ne le trouve pas à l'image de ce roman choral car il laisse entendre que le personnage principal est Pal. S'en est loin. L'histoire ne tourne pas autour de lui, ni autour d'un autre en particulier. C'est plein de vies qui s'entre croisent. Des vies quotidiennes bouleversées par un événement, plus ou moins insolite. On y croise dans ce roman, Pal un homme qui a beaucoup d'ennuis, ses deux filles adolescentes qui vivent différemment la séparation de leurs parents, leur amie amoureuse un beau délinquant, ce beau délinquant perdu entre deux filles, et bien sur toute la bande de Jani qui vivent comme ils peuvent. Tous ont leur angoisse, leurs interrogations, leur espoir... de beaux portraits.
C'est l'histoire qui pèche un peu. Alors oui on est vite plongé dans chaque vie mais il manque parfois un peu de fluidité, parfois un peu d'actions, on voudrait en savoir plus. La fin m'a laissé un peu perplexe. On se demande ce que tout le monde devient. Et on pourrait presque croire qu'il peut y avoir une suite. Ou alors l'auteur en fait exprès pour nous laisser imaginer les multiples possibilités de l'avenir.
Autre détail que j'ai moyennement apprécié c'est les dialogues ponctués de phrases en anglais, sans traduction. Ben oui on n'est pas obligé d'être tous doué en anglais.

Une bonne découverte tout de même.
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Un grand merci à Babelio et aux éditions de la Presse de la Cité pour cette découverte.

Il est vrai que le résumé des "Rois du pétrole" avait l'air alléchant, et al couverture assez intrigante: très coloré, avec un style de roman pour adolescents. Alors pourquoi ne pas tenter sa chance, et élargir son horizon littéraire.

Le livre est un roman choral ou la voix des différents protagoniste s'enchevêtre pour former une oeuvre rock n' roll, dans un monde ou se rencontre petits voyous, père de famille désoeuvré et jeunes ados aux hormones en ébullition.

Je pensais vraiment accroché, car tous les ingrédients étaient présents pour passer un bon moment. Malheureusement, il n'y a pas eu d'atomes crochu entre Tone Renberg, son livre et moi. Peut-être que je n'étais pas dans un moment propice pour ce roman, ou pas assez "open", mais je ne suis pas rentrée dedans. Certes le style littéraire est punchy, avec des chapitres assez courts, qui donne du rythme au récit, et l'écriture est très rock ... mais cela n'a pas suffit.

J'ai trouvé que le livre était assez long a commencé, la vie des personnages pas forcément hyper passionnante. Je suis restée complètement extérieur, et chose extrêmement condamnable: je ne l'ai pas terminé. (C'est horrible, j'ai l'impression d'avoir fait de se livre un orphelin qui va resté sur mes étagères, et qui va se morfondre).

Peut -être que le manque de culture musical n'arrange pas les choses (je ne suis pas un fan de rock métalleux).

J'essayerai de m'y remettre dans quelque temps, mais pour l'instant, je ne peux lui mettre que deux étoiles.
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