Les Sept Soeurs, tome 8 : Atlas, l'histoire de Pa Salt

Au risque de plomber l'ambiance , je n'ai pas du tout aimé ce dernier livre qui raconte la vie de Pa Salt. Pourtant je l'ai attendu avec impatience et je me le suis procuré dès sa sortie, c'est un énorme pavé , la moitié aurait suffit, c'est rempli d'invraisemblance, de bla-bla interminables. Il faut s'accrocher pour ne pas s'emmêler les pinceaux et surtout c'est dégoulinant de niaiseries. Bref je regrette mon achat!!!!!

Grosse déception pour ce dernier tome!
Certes nous avons les réponses à nos questions mais on est beaucoup dans le passé et l'histoire va trop vite! Ce n'est qu'une succession d'événements qui s'enchainent et aucune émotion ne transparait!
Le début était prometteur avec une bonne intrigue et de bons rebondissements mais ca n'a pas durée…
Je l'ai trouvé plat et sans réel intérêt: Comme si je lisais un livre d'Histoire qui m'explique des faits!

Ouuuf ! J'ai fiiiniii !
Honnêtement je n'en pouvais plus.
Bien sûr que ce dernier tome donne les clés pour comprendre les 7 autres et c'est pour cela que je suis allée jusqu'au bout.
Mais que c'est alambiqué, avec des longueurs parfaitement inutiles et surtout, comme c'est mal écrit...
Je ne sais pas à quel niveau de l'écriture est intervenu le fils de Lucinda Riley après le décès de cette dernière, mais il n'a pas allégé le style de sa mère ("maman", utilisé à foison dans les remerciements, me gêne un peu, c'est beaucoup trop intime)
Et puis, quand même, Electra qui n'a jamais entendu parler de Nicolas II et de la révolution russe, c'est bien la peine d'avoir reçu une éducation soignée...
Et puis quand même, le "monde supérieur des ancêtres" chez les aborigènes d'Australie et des gitans de Sacromonte, moi, je veux bien...
Enfin et surtout, il aurait été judicieux que le traducteur s'aperçoive qu'il existe d'autres verbes que "glousser", dont l'utilisation obsessionnelle m'a fait, pour le coup, glousser (ricaner) d'agacement.
Le site Synonymo donne déjà 6 équivalents :
Caqueter, jaboter, piper, pouffer, rire, se tordre.
Il y a aussi : s'esclaffer, éclater de rire, ricaner.
Bref, Lucinda Riley, pour moi, c'est fini...

Et ça brode, et ça brode, et ça brode, c'est interminable…et ça geint dans tous les sens… c'est dégoulinant de niaiseries, que de tarte à la crème ! Que de fausse bienveillance, de gentillesse mièvre, de faux égards, et d'empathie à l'excès, à quoi je suis tout à fait insensible. En résumé, tout ce que j'exècre. J'en suis seulement à la moitié, je ne saurais jamais le fin mot de l'histoire, mais j'abrège mes souffrances… et je suis convaincue que la « vérité » ne vaut pas tant de douleurs infligées, mais au contraire m'aurait causé une bien belle déception, car aucune fin ne vaut de se coller ce truc… Et je me félicite bien bas de ne pas l'avoir acheté ! Et dire que de telles médiocrités font de l'ombre à des romans de qualité qu'on ne demande qu'à découvrir. le monde de l'édition est décidément de plus en plus « corrompu » par le business, c'est navrant…