Les Sept Soeurs, tome 8 : Atlas, l'histoire de Pa Salt

Enfin ce dernier tome qui devait nous révéler tous les secrets de la saga.

Alors malheureusement, il y a le décès de l'auteure qui a gâché ce grand final. Même si elle a donné des consignes, des conseils a son fils afin qu'il termine son oeuvre. Je pense que ce dernier tome n'est pas entièrement ce qu'elle, elle aurait pu écrire.

Alors oui, le lecteur a des réponses ( ou du moins a la confirmation sur kes hypothèses émises lors des tomes précédents), mais je ne suis pas totalement convaincue par cette fin.
Il m'a manqué des éléments, des suites logiques a certains événements,...

En l'état, je ne peux pas dire que je suis déçue, ce roman se lit bien. Mais j'ai trouvé trop de redites aux tomes précédents, un certain manque d'équilibre également.

Je sais que l'exercice auquel s'est livré le fils de l'auteure n'était certainement pas facile, car reprendre une trame créée par d'autre, tout en restant dans l'esprit initial n'est certainement pas a la portée de tout le monde... Et malgré mes critiques je trouve qu'il s'en est bien sorti quand même.

Enfin terminé l'épilogue et la saga des sept soeurs !

Le point positif : les mystères sont éclaircis, les secrets révélés, l'ensemble tient la route, à condition de classer ce roman dans la catégorie soft fantasy tellement les aventures sont invraisemblables.
Mais que ce fut long et laborieux : est-ce l'auteur ? Est-ce le traducteur ?
Le style m'a paru plat, ne créant aucun lien affectif entre les principaux protagonistes et le lecteur.
J'ai subi d'interminables monologues et récits, tout comme des courses contre la montre où beaucoup d'évènements se bousculaient en peu de pages, comme si la tortue se transformait peu à peu en lièvre…

Très agaçant quand le rythme passe d'une valse à trois temps à une valse à mille temps (je ne connais que Jacques Brel pour maîtriser cet art).

Et puis, en plus, l'auteur, il croit qu'on connaît par coeur les tomes précédents, que les arbres généalogiques ont été assimilés ? Les histoires de chaque soeur ont intégré notre cerveau reptilien ? Donc pas besoin de nous faire une petite piqûre de rappel ? Pour les plus amnésiques d'entre nous, on nous retape les 100 dernières pages du septième tome. Au lieu de couper certaines parties qui manquent totalement d'intérêt, il aurait dû penser à nous rafraîchir la mémoire ! Il m'en a fallu du carburant dans la cervelle pour me creuser la nénette.

Que dire lorsque Pa Salt doit subitement déménager, quitter un pays pour un autre dans l'urgence absolue, eh hop ! En quelques heures tout est emballé, pesé, les papiers en ordre, et une bonne âme providentielle va le faire sortir de l'impasse. Je vous dis : c'est de la soft fantasy, plus rapide qu'internet à une époque où même le concept n'existait pas.

C'est d'un mielleux, c'est d'un niais, impossible d'avoir les larmes aux yeux, les protagonistes l'ont suffisamment pour nous ! Des litres et des litres de larmes ont coulé tout au long de ce roman. Et que je te donne du « ma chérie » à tout va, même si c'est la première fois que je te vois ! Et du « pardonne-moi » et du « mais non ce n'est pas ta faute ». Pfff…

Je suis soulagée d'être arrivée au bout du bout, de connaître l'histoire mystérieuse de Pa Salt, mais quel désappointement !

Évidemment, ceci n'est que le reflet de mon avis, d'autant que j'ai l'impression que mes goûts de lecture ont évolué et que j'aurais peut-être plus apprécié ce livre il y a trois ans quand j'ai lu les six premiers tomes.

Je mets une étoile pour l'aboutissement de cette saga où tout s'éclaire enfin et une étoile pour l'auteur dont j'ai ressenti sans presqu'aucun doute la pression subie par les fans et les maisons d'édition pour terminer cette série malgré la disparition de l'autrice, sa mère, Lucinda Riley.

Un tome écrit à 4 mains. Lucinda Riley est décédée avant de finir la série des 7 soeurs. Son fils, Harry Whittaker a pris la suite pour clore cette série et révéler le passé de Pa Salt, le pourquoi, le comment, et nous révéler les derniers rebondissements.
A 4 mains car Lucinda Riley avait laissé des "consignes", une trame pour la suite, des explications. Son fils s'en est bien évidemment servi pour nous offrir cette fin.
Comme dans les tomes précédents, j'ai trouvé que certains évènements se déroulaient de façon trop faciles, que c'était parfois un peu "too much". J'avoue aussi m'être un peu emmêlé les pinceaux entre tous les personnages et les évènements.
Cela reste cependant une lecture agréable et prenante. On se laisse prendre au jeu et, au final, on a presque envie de faire partie de la famille d'Apliese.
Bref, pour conclure, 8 tomes qui forment un bel ensemble.

Dois-je vraiment présenter cette saga ? Ça y est le dénouement est enfin arrivé. J'ai littéralement dévoré ce dernier pavé. Je ne parlerais pas de l'histoire car c'est le dénouement final des 7 tomes qui nous présente à tour de rôle chacune des 7 soeurs pour finir de nous présenter leur père adoptif, Pa Salt.

Que dire… première saga que je lis depuis Harry Potter qui possède réellement une trame, un début et une fin. Je m'explique, il y a certaines sagas où l'on se demanderait presque si leur « célébrité » ne pousse pas l'auteur à poursuivre des romans, à rallonger ce qui était initialement prévu.
Là, il y a une réelle trame et c'est ce qui rend addictif à mon avis car on ne peut pas aller plus vite que l'auteur en a décidé, on est obligé de comprendre chaque histoire de chacune des soeurs pour clore en beauté.

Quelle prouesse que celle d'Harry Whittaker d'écrire une histoire imaginée par sa mère Lucinda Riley. Un grand merci, d'avoir terminé cette saga malgré son deuil. Je l'avoue j'avais peur que la plume que j'aime tellement de Lucinda ne me manque et que cela me perturbe. Eh bien, pas du tout, je pense qu'il y a 2 explications à cela. Déjà on est dans la peau de Pa Salt, dans la peau pour la première fois d'un homme. Les ressentis changent, le côté à fleur de peau et maternel des soeurs par rapport à celui de Pa Salt est différent et donc moins perturbant. de plus, je pense que la vraie différence de plume est plus palpable dans la version originale, là la traductrice lisse l'écriture et la plume d'origine.

Le dénouement ? Toutes mes pistes n'étaient pas à la hauteur ! Je ne peux que vous inciter à le découvrir et à voyager aux côtés d'Atlas.

Depuis le temps que j'attendais le dernier tome de la saga des sept soeurs !! Enfin le dénouement ! Mais quelle saga ! Oui trop de points d'exclamations mais cette saga est une pure merveille et moi qui avait peur que le tome 8 ne soit pas à la hauteur étant donné le décès de l'autrice, je dois avouer que son fils a fait un travail remarquable !
Je vais essayer de ne pas spoiler l'histoire. Toutes les soeurs se retrouvent au bord du Titan, le yacht de Pa Salt afin de lui rendre un dernier hommage. Georg Hoffmann, l'avocat de leur père, va leur remettre à chacune le journal de Pa Salt afin qu'elle connaisse enfin vraiment leur père.

Il va donc y avoir une alternance entre le journal de Pa Salt et 2008 à bord du Titan. Chaque soeur va découvrir pourquoi elles ont été adoptées. Je peux vous dire que dès les premiers chapitres, j'étais déjà bouche bée et sur le cul des premières révélations. Tout prend un nouveau sens et j'ai plusieurs fois été relire des passages dans les autres tomes pour faire certains rapprochements. Ce dernier tome révèle également tout le génie de Lucinda Riley, car en le lisant on se rend compte que tous les tomes étaient déjà écrits dans sa tête du premier au dernier inclus. A part, une incohérence de temps dans le journal, je n'ai trouvé aucun défaut à ce dénouement. Et puis nous avons également des révélations sur les personnages eux-mêmes.

J'ai aimé voyager avec Pa Salt, découvrir sa vie, son amour, ses malheurs. J'ai dévoré ce pavé en quelques jours mais si j'avais pu je l'aurai lu d'une traite.Le final est déchirant ! Je me doutais de certaines choses et je suis contente d'avoir eu raison. Je dois avouer que j'ai bien pleuré à la fin.

Si vous ne connaissez pas encore cette saga, laissez-vous tenter vous ne serez pas déçus !
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Traduit de l'anglais par Marie-Axelle de la Rochefoucauld

Quel bonheur d'enfin lire le dernier tome de la saga des sept soeurs, consacré à Atlas, leur père.
Quel malheur que Lucinda Riley ne soit plus.
Merci à son fils, Harry Whittaker, d'avoir pris la relève avec panache et lui avoir ainsi fait honneur en terminant son ouvrage.
Nous connaissons enfin l'histoire, un peu, beaucoup chahutée, de Pa Salt, le mystérieux père des sept soeurs dont nous avons suivi les aventures dans les tomes précédents.
Son histoire ressemble à un conte, avec de bonnes fées qui veillent sur lui et un méchant sorcier qui cherche à le tuer pour un motif que je vous laisse découvrir.
Adieu donc Titan ( le yacht ), Atlas ( le père ), et les Pléiades ( les filles ).
Tout ceci ne vous rappelle rien ?
Bonne lecture.

Suis-je une fan de la saga des 7 soeurs ?... pas du tout. Certains tomes étaient "sans plus", d'autres comme ceux sur Star et Ceecee vraiment bien. J'ai toujours eu un peu de mal avec l'écriture de l'autrice, mais, je me devais de lire ce dernier opus pour mettre un point final, levé le voile sur certains mystères.
J'ai vraiment adoré toutes les parties concernant le passé de Pa Salt, depuis son enfance. le cheminement de sa vie, ses rencontres... déterminantes. Comment et pourvu il a croisé les 6 soeurs. Qui sont exactement Ma, Georges, Claudia, Christian.
Je me suis surprise à verser quelques larmes.
J'ai moins adhéré avec les parties qui se déroulent sur le titan. J'ai également trouvé la fin un peu prévisible et décevante.
L'écriture est plaisante, peut-être que je suis à côté de la plaque, mais j'ai crû déceler les parties écrites par Lucinda et celles écrites par son fils. Autre petit bémol, j'ai toujours un problème avec la façon dont sont décrite les relations entre les personnages.... qui lance des "ma puce" à quelqu'un qu'elle connaît depuis quelques heures ???

C'était une agréable satisfaction de se retrouver en 2008 à bord du Titan, où les sept soeurs sont réunies pour rendre un dernier hommage à Pa en mer Égée.
A bord, un manuscrit leur est remis dans lequel elles découvrent non seulement l'histoire de Pa mais aussi des éléments importants de leur propre vie.

L'ombre de Pa Salt plane sur toute l'étendue de la saga des Sept soeurs qui débute avec sa disparition.
Jusque-là, nous savons peu de chose sur lui, hormis qu'il est riche, qu'il a adopté 6 filles et qu'il vit à Atlantis sur le bord du lac Léman en Suisse.
Nous avons suivi l'histoire de chacune de ses filles durant sept tomes, ce dernier opus lève le voile sur la mystérieuse vie de Pa Salt.
Son existence fut peuplée de nombreux drames dans ses premières décennies, mais il a aussi connu l'amour avec grand A, le seul, l'unique, et c'est très émouvant à découvrir.
Au fil de ma lecture, J'ai pu constater toute l'étendue de l'humanité de Pa qui tout au long de sa vie n'aura cessé de venir en aide aux gens qui l'ont accompagné dès le début de sa vie quand il était en danger.

C'est un tome au succès attendu, les amateurs de la saga n'allaient pas bouder la finale. Même si ce dernier tome souffre selon moi de quelques longueurs par-ci par-là, c'est tout de même une magnifique conclusion à cette histoire que j'ai découverte il y a déjà quelques années et dont j'attendais la sortie des tomes avec impatience.

Enooooorme (Plus d'un kg de papier ! pour le confort de la lecture, on n'y est pas vraiment, même pas du tout dans les dernières dizaines de pages) Abandonné puis repris ... en lisant certaines pages en diagonale, d'ailleurs, en en sautant carrément d'autres. Trop de tirets, trop de dialogues . Des paroles et des détails totalement inutiles . Je pense au panégyrique d'une des multiples boissons avalées tout au long du roman (de tous les romans d'ailleurs) , panégyrique noté même entre parenthèses dans le texte !!!! Comme si l'auteur voulait monter qu'elle n'avait pas choisi n'importe quoi et qu'elle en avait pris note. Alors autant donner la note pour les lecteurs !!!! Ou alors ... "J'avalai ma bouchée et m'essuyai la bouche avec l'une des serviettes blanches en lin du Titan" "Blanc" "en lin" ... Ouiii c'est chic, on l'écrit. On se croirait revenu au temps des écrivains de feuilletons payés à la ligne. Dumas a fait une émule. Et les noms et les prénoms : Rhéa, Clymene, Cronus, Lapetus, Ces noms ne sont pas portés, j'ai vérifié (sauf Rhéa, et encore) le rapport aux étoiles et aux dieux de l'antiquité est tellement grossier qu'il en crève le papier. Clymène ne peut enfanter qu'Atlas, évidemment ! Et Tanit est une déesse phénicienne, chargée de veiller à la fertilité, aux naissances et à la croissance... Ces hommes de quatre-vingt-dix ans qui agissent et s'expriment comme des "jeunets" de 50 ans . Et ce personnage de Kreeg Eazu ( et un nom atroce, un "greek, le Grec et Zeus Il y a un site qui parle des noms chez cette auteure ), borné, bouché, Il n'y a que les personnages mythologiques, encore une fois, qui sont ainsi, rendus sourds et aveugles à ce qui leur est dit , mais par la force des dieux, ici absents. Et puis on se retrouve descendant de Ceci, fille naturelle de Cela . Rêve très américain que tout cela .Trop ennuyeux, trop compliqué. Et il manque vraiment une ou deux pages qui reprennent les familles des 7 romans précédents et qui rappellent l'essentiel de la fonction de chaque personnage . Cela se fait. Cela facilite les choses. Moi, je ne sais plus qui est qui en arrivant à la page 600. D'ailleurs, tout se précipite dans les 200 dernières pages du roman, comme si les auteurs s'étaient dit : "Il faut quand même qu'on sache d'où vient chacune des filles, vite vite, trop traîné sur plein d'autres choses" Et on patauge dans les orphelins et les orphelines. Il en vient de partout ! Rien à faire, je n'aime pas du tout ce genre de romans à l'eau de rose. Tout le monde est beau et gentil (sauf un; il faut toujours un infâme obtu et obstiné) ; tout le monde rencontre par hasard (par le destin, par les étoiles , bien sûr) tel ou tel personnage qui le met sur la voie d'un autre etc. J'avais envie de savoir (car j'ai lu les 7 soeurs, oui, oui, espérant toujours un petit quelque chose de différent) Mais non. Et comme dans les autres romans, les personnages reçoivent à chaque fois quelque chose à boire quand il découvrent des chaumières indignes ou des palais charmants; Atlas est accueilli par des "mon vieux" ou des femmes aux regards mordorés et aux sourires immenses; tout se débloque en un claquement de doigts et on est "éternellement reconnaissant, les larmes aux yeux"; les billets pour tous les transports leur tombent dans les mains (on part dans l'heure ou, au plus tard le lendemain de la décision) et toute la palette des rapports humains s'étale, selon l'interlocuteur. Je me perds dans les noms, dans les aventures donc ,me remémorer les histoires qui arrivent à leurs fins dans ce volume, est très compliqué. Il faudrait tout relire .... NOOOOOOOOON
Décidément, dans le genre saga, j'ai préféré mille fois Elena Ferrante

Un dernier tome très émouvant et qui tient toutes ses promesses. Après avoir refermé ce livre plus aucun personnage ne restera un mystère.
H.Whittaker a réussi à achever cette saga avec brio et le résultat est à la hauteur des mes espérances.
L'histoire de Pa Salt, de son enfance à son dernier souffle, une vie bien remplie avec son lot de tragédie mais surtout de rencontres , de bienveillance et d'amour.De quête de soi.
Et j'en ressors bluffée par le talent formidable de Lucinda Riley qui a méticuleusement et parfaitement mis sous nos yeux ce personnage emblématique dans chaque tome précédent.
On sent qu'elle a écrit cette saga avec logique mais surtout avec passion.
Ce dernier roman ne déroge pas à la règle de nous faire voyager et de nous y faire découvrir des détails historiques.
Et c'est vraiment ce qui m'a le plus enchanté dans ces 8 tomes ,découvrir des périodes de l'histoire avec des personnages intégrés et qui ont réellement existé.
Ce roman nous tient en haleine jusqu'à la dernière page avec un magnifique dénouement.