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Citations sur Rose (112)

A quelle vitesse pouvons-nous changer ! Avec quelle rapidité évoluons-nous, telle la girouette dès que tourne le vent.
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Les soirs d'hiver, nous nous installions près de la cheminée. Germaine me tendait une camomille et parfois, vous dégustiez une goutte de liqueur. Comme ces soirées étaient tranquilles, calmes. La lueur de la lampe tremblotait à peine, diffusant une lumière rose apaisante. Vous vous concentriez tant sur votre partie de dominos, puis sur votre lecture. Et moi, sur ma broderie. Nous n'entendions que le pétillement des flammes et votre lente respiration. Ces paisibles crépuscules me manquent, Armand. Quand les ténèbres grandissaient et que le feu se mourait lentement, nous nous retirions. Germaine, comme d'habitude, avait glissé une bouillotte chaude dans notre lit. Et chaque soir cédait place au matin, avec insouciance.
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Les poèmes de Mr Baudelaire regorgent d’images, de sons et de couleurs…..Mon préféré est « Le flacon », où les odeurs recèlent des souvenirs, et le parfum ressuscite le passé. Je sais que la senteur des roses me rappellera toujours Alexandrine et la baronne. L’eau de Cologne et le talc, c’est vous, mon amour. Le lait chaud et le miel, voilà Baptiste. La verveine et ma menthe, Maman Odette. Si vous aviez été là, je vous aurais lu ce poème, encore et encore.
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Qu’était devenue ma cité médiévale, son charme pittoresque, ses allées sombres et tortueuses ? Ce soir-là, j’eus le sentiment que Paris s’était transformée en une vieille catin rougeaude se pavanant dans ses jupons froufroutants.
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Le livre m'attendait sur la petite table devant le fauteuil et je me ruais dessus. Expliquer ce que j'éprouvais en lisant me paraît difficile, mais je vais m'y efforcer. Vous, grand lecteur, devriez me comprendre. C'était comme si je me trouvais en un lieu où nul ne pouvait me troubler, m'atteindre. Je devenais insensible aux bruits autour de moi.
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Rose,
Rose enchanteresse à la tige sans épine
Ornée des bourgeons de l'amour et de la tendresse
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Expliquer ce que j’éprouvais en lisant me paraît difficile, mais je vais m'y efforcer. Vous, grand lecteur, devriez me comprendre. C’était comme si je me trouvais en un lieu où nul ne pouvait me troubler, m’atteindre.
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Le préfet et l'empereur rêvaient d'une cité moderne. Une très grande cité. Et nous, le peuple de Paris, n'étions que des pions dans cette gigantesque partie d'échecs.
"Nos excuses, Madame, votre maison se trouve sur le futur boulevard Saint-Germain. Vous allez devoir déménager."
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« Personne ne se souviendra de la rue Childebert, de la rue d’Erfurth, de la rue Sainte-Marthe. Personne ne se souviendra du Paris que nous aimions, vous et moi »
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Le grain de sa peau légèrement mouchetée, son teint rougeaud, sa barbe drue et bouclée, son regard bleu et glacé. Il était large, un peu gras, avec des mains énormes.
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