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3,44

sur 8148 notes
J'ai vu beaucoup de critiques qui crient au scandale comme quoi, il s'agit d'une pure trahison.
Personnellement, j'aime l'univers d'Harry Potter et j'ai lu les anciens tomes mais rien ne choque dans ce nouvel opus. Après, il y a des meilleurs connaisseurs que moi, ce qu'on appelle des « puristes » de l'oeuvre originale de J.K. Rowling. J'ai trouvé que John Tiffany et Jack Thorne ont bien respecté la chronologie dans l'ensemble. Je ne pense pas qu'ils ont commis un impair mais j'ai peut-être loupé certains détails. Par ailleurs, l'idée d'en faire une pièce de théâtre est originale et intéressante. de plus, tous les personnages ont évolué.
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Je ne suis pas le premier à donner mon avis sur ce nouveau volume des aventures du sorcier Harry Potter. En revanche, je ne fais pas partie des inconditionnels « fanatiques » qui se sont rués sur l'objet à sa sortie. J'ai vu tous les films que j'ai trouvés sympas mais je n'ai lu que le premier tome. de ce fait, je vais peut-être apporter un point de vue différent et surement moins exalté que la plupart des lecteurs, pris dans l'euphorie de cette saga prestigieuse.

Tout d'abord, je donne un conseil aux non-initiés qui voudraient enfin se lancer: il faut absolument avoir lu les livres ou vu les adaptations cinématographiques pour pouvoir appréhender ce huitième épisode. En effet, la connaissance des personnages et de leurs relations est indispensable à la compréhension de l'histoire. de plus, le format « pièce de théâtre » peut à priori rebuter, mais après quelques pages d'accommodation au genre, la lecture est agréable et je suis entré avec facilité dans le vif du sujet.

Dans ce vif du sujet, on retrouve les protagonistes dont on avait suivi les péripéties, mais une vingtaine d'années plus tard. Les auteurs introduisent donc la génération suivante et en font les acteurs de ces nouvelles aventures. Ils en profitent d'ailleurs pour brouiller les cartes, en nous présentant des enfants très différents de leurs parents, parfois même avec des comportements antagonistes. Ces « fils de » doivent assumer le passé de leurs ascendants et ils m'ont vraiment plu par leurs paradoxes qui les rendent plutôt crédibles.

Le scénario se base sur des voyages dans le temps pour mélanger les anciens et les nouveaux personnages. Les scènes se succèdent entre action, humour, dialogues. On est transporté entre Poudlard et les lieux de « La coupe de feu », c'est souvent assez candide mais on ne s'ennuie jamais.
Dans le style, le point faible tient dans les didascalies. La description des expressions et des sentiments des acteurs est parfois un peu niaise. Outre ces petits défauts, j'ai apprécié cette petite expérience théâtrale pleine de sorcellerie, destinée à un jeune public. Même si le livre n'a rien de révolutionnaire ni de mémorable, il prolonge un brin la magie enfantine d'Harry Potter. Je pense quand même que certains fans vont être déçus de ne pas retrouver la maturité qui semblait apparaître dans les derniers volumes.
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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J'ai beaucoup aimé retrouver ces personnages.
Évidemment, une pièce de théâtre n'est pas un roman, et je regrette de ne pas avoir toutes ces descriptions fourmillantes de petits détails comme sait si bien les écrire JK Rowling.
Par contre, ce récit de manque pas d'effets visuels et je me demande comment cela peut être rendu en live dans un théâtre. J'attends avec un impatience l'adaptation française.
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Voici une lecture sur laquelle je suis terriblement indécise : j'ignore si j'aimé ou non. S'il y avait un mot à retenir, ce serait « bof »… En effet, ce n'est pas vraiment un livre à mettre au placard, cela respecte assez bien l'univers, on retrouve plus ou moins les personnages, toutefois ce n'est pas non plus transcendant. J'ai eu quelques blocages au début puis, une fois le bon tiers passé, j'ai adoré. Mon enthousiasme s'est ensuite calmé avec le fameux personnage traître aux sombres intentions ou la fin que j'ai trouvée un peu trop gentillette.

Après avoir parcouru les avis sur la toile, je savais que j'allais avoir affaire à une pièce de théâtre et non un roman. Cependant, même en le sachant, j'avoue qu'il m'a fallu un temps d'adaptation. En effet, j'avais l'habitude des romans de J. K. Rowling avec de belles descriptions qui donnaient vraiment l'impression d'être à Poudlard. Bien que l'on ait quelques didascalies, cela ne remplace pas une véritable description des lieux. Il m'a donc fallu ré-apprivoiser ce genre et essayer de faire abstraction de la saga de mon enfance. Par ailleurs, les années qui passent en une page ou presque à chaque chapitre/scène au début m'ont frustrée. Encore une fois, c'est dû à l'habitude qu'un tome correspond à une année à l'école des sorciers. Ici, le temps file à toute allure, si bien que l'on n'a pas le temps de voir les liens se renforcer entre les personnages. Bien que l'on sente leurs émotions ou leurs attachements les uns aux autres, il me manque des scènes de découverte de Poudlard, les premiers cours, les matchs de Quidditch, etc. C'est certainement un choix volontaire afin de ne pas être redondant avec la saga principale et de distinguer la pièce du reste, toutefois, j'ai ressenti un manque accompagné d'un soupçon de nostalgie…

La pièce met en avant la thématique de la famille, puisque l'un des fils d'Harry Potter, Albus, est totalement différent de lui. Ils n'arrivent pas du tout à communiquer ou à montrer leur affection. de plus, leur entourage ne se gêne pas pour insister sur le fait qu'Albus est l'exact opposé de son père : il est chez les Serpentards, s'est lié d'amitié avec Scorpius (le fils de Malfoy ou de Vous-savez-qui selon les rumeurs…), n'est pas doué sur un balai, etc. C'est donc très difficile pour nos chers Potter ! Scorpius a également du mal avec son propre père. Ces deux jeunes hommes se cherchent et sont victimes de la renommée de leurs géniteurs… Ce thème est intéressant, mais je trouve que les auteurs ont trop tourné leur récit autour de ça. Heureusement, il y a pas mal d'action lorsque nos deux comparses vont avoir l'idée de remonter dans le temps. Adeptes des voyages temporels, vous vous doutez bien que leurs actes auront de terribles conséquences… J'ai bien aimé ces univers parallèles et étais presque déçue de vite les quitter… Scorpius est l'un de mes coups de coeur (en même temps, j'ai toujours été dans la « team Malfoy »…), même si j'aurais souhaité le voir développé davantage.

Si je me suis amusée dans ma lecture, c'est bien grâce aux critiques sur internet. En effet, ces dernières étaient soient hyper négatives ou positives… Mais j'avais plus lu des commentaires négatifs disant souvent que des fan-fictions étaient beaucoup mieux que cet ouvrage. Alors, j'ai emprunté ce livre à la médiathèque sans en attendre trop, en partant du fait que j'allais être frustrée à un moment ou un autre. N'ayant pas mis la barre trop haute, j'avoue avoir passé un moment correct vers la moitié du livre. Je dois reconnaître que j'ai trouvé vraiment sympathique le fait de replonger dans l'ambiance d'Harry Potter. Cela me manquait ! Je comprends pourquoi certains bloggers se sont mis au défi de relire tous les HP avant ou après la sortie de cet ouvrage, car c'est un monde fantastique que l'on ne peut oublier si on a baigné dedans depuis que l'on est jeune… Puis, comme je l'ai dit un peu plus haut, le soufflé est retombé. J'ai trouvé des longueurs et les gentils bien trop caricaturés (par exemple : on ne doit pas tuer, car on n'est pas comme les méchants). C'est super : comme ça, s'il y a une suite à la pièce, il suffira de sortir l'antagoniste d'Azkaban ! Pfff… Ajoutons à cela plusieurs répliques qui sonnent faux, un petit manque de crédibilité, une intrigue attendue et des anciens personnages changés (Ginny a perdu son tempérament, Hermione ne se sent plus, Ron est devenu un gros lourd, Harry un père sentimental perdu, McGonagall est presque soumise !) Je ne reconnaissais pas toujours les héros de mon enfance…

Donc voilà où j'en suis : j'ai aimé certaines choses et j'ai été déçue par d'autres. Je ne rejoindrai donc pas de camp anti – « Harry Potter et l'enfant maudit » ni celui qui le soutient corps et âme. Il y a du bon comme du mauvais. Mais le mieux est encore de vous faire votre propre avis en lisant cette pièce de théâtre…

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Et bien moi j'ai adoré ! Quel plaisir de retrouver Harry Potter et toute l'équipe pour une aventure supplémentaire !

Cette huitième histoire, qui se passe 20 ans plus tard avec les enfants de nos personnages préférés, a été à la hauteur de mes espérances. J'ai pris un malin plaisir à me replonger dans cet univers enchanteur. J'ai aimé retrouver Poudlard et tous les personnages qui y sont associés.
Afin de ne pas être déçu, je vous conseillerai de commencer cette lecture en ayant conscience que c'est du théâtre et que ce n'est pas un huitième tome mais bien une huitième histoire… La nuance est importante car à mon sens «Harry Potter et l'enfant maudit» est à voir comme un spin-off, une anecdote ou encore une aventure annexe.
Au début du livre, je trouvais que le théâtre hachait un peu la lecture et finalement je m'y suis très vite habituée. Même si comme beaucoup d'entre vous, au vu des avis très diversifiés, j'appréhendais un peu ma lecture, j'ai trouvé le texte très fluide et l'histoire très dynamique. Je trouve que la forme théâtrale apporte beaucoup de pep's avec ses nombreux dialogues. J'ai d'ailleurs fortement apprécié les touches d'humour, j'ai souri à chaque fois.
De plus, cette nouvelle histoire a un lien avec le tome 4 « Harry Potter et la coupe de feu » qui est mon tome préféré. Ma joie n'en a été que décuplée ! Et quelle bonne surprise de retrouver certains personnages que l'on pensait ne jamais revoir… Mais aussi quel plaisir d'en découvrir d'autres tels que Albus et Scorpius, nos deux protagonistes principaux au caractère bien trempé !

Certes, mon côté nostalgique a certainement joué dans mon avis favorable, mais plaisir, distraction et émerveillement font parti de mes maîtres mots en lecture. Pour moi, c'est donc un pari réussi ! Je suis conquise, et j'en redemande :)
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Avant d'ouvrir le livre, on se dit qu'il sera plaisant de retrouver l'univers et ses personnages, on se demande dans quelles merveilleuses aventures l'on sera à nouveau entraîné. On espère que la magie opérera à nouveau. Et puis on déchante vite.

La pièce propose quelques nouvelles têtes, et beaucoup d'anciennes. Albus souffle le chaud et le froid, se posant en tête à claque avec un flagrant manque de maturité mais porteur d'une thématique intéressante ; Scorpius se fait plus nuancé et touchant avec les préjugés qu'il subit, sans jamais se départir d'une petite touche d'humour. Assurément le seul élément à sauver de cette pièce. Parce que pour le reste des personnages...
A aucun moment je n'ai eu l'impression d'avoir retrouvé ceux que je connaissais, comme si Jack Thorne n'avait pas réussi à capturer et retranscrire leur essence, le pompon allant à Ron, transformé en boulet lourdaud de service inspirant un sentiment de pitié gênant...
Et ce bien avant l'événement qui change leur personnalité. D'ailleurs là aussi pas d'originalité dans le traitement, il ne fait qu'appliquer le caractère de certains à d'autres (Harry en père Malefoy, Hermione devient une Rogue bis...). le monde dominé par Voldemort est déjà nettement plus intéressant mais toujours cette écriture et cette façon maladroite d'essayer de faire passer toutes les informations dans les dialogues exaspèrent.

L'intrigue se suit sans originalité ni prise de risque, Thorne recrache tous les éléments « pour faire du Harry Potter », espérant ainsi faire marcher la nostalgie du lecteur/spectateur, trop souvent de manière forcée ou artificielle. D'ailleurs, celle-ci fourmille d'invraisemblances, d'incohérences (que ce soit dans la pièce elle-même ou avec des éléments des précédents livres), et d'anecdotes ridicules (la vraie peur d'Harry, ce sont... les pigeons !) dont on se demande bien ce qu'elles viennent faire là. Les facilités scénaristiques sont légions, et certains retournements, certaines révélations m'ont paru peu crédibles voire ridicules et fait lever les yeux au ciel (notamment le plan de Delphini, ses origines...). C'est également bourré d'ellipses mal amenées et qui doivent être expliquées dans des dialogues artificiels.
On assiste même à quelques scènes proprement gênantes ("le face-à-face" d'Albus transformé en Ron grâce à la potion et Hermione au Ministère de la Magie ; ou encore la rencontre Ron/Hermione dans l'escalier de Poudlard après le premier changement du Retourneur) qui semblent avoir été imaginée par un enfant de douze ans.

Quand la pièce est constituée à 98% de dialogues, ceux-ci se doivent d'être bons. Or, la plupart ne sont pas très bien écrits, sonnant la plupart du temps comme le fruit d'une fan-fiction amateur. le style se fait plat et sans saveur. On pourrait se dire que cela vient de la traduction, elle-même peu inspirée, pourtant il s'agit du même traducteur que les romans et l'écart qualitatif est considérable.

Force est de constater que ça manque cruellement de matière : peu de didascalies et donc peu de descriptions pour un univers pourtant très visuel et inventif, propice à l'imaginaire. Mais c'est le problème avec cette pièce : elle est clairement faite pour être vue plutôt que lue (quand d'autres s'accommodent parfaitement). D'ailleurs je serais curieux de voir ce que ça rendrait sur scène car il y a des décors et des effets qui semblent difficilement transposables. Au moins la magie opérerait peut-être visuellement, à défaut du reste.
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Harry et Ginny Potter ont eu 3 enfants : James, Albus et Lily.

À la rentrée de première année pour Albus, on revoit enfin Hermione (qui est devenue ministre de la magie) et Ron Granger-Weasley ainsi que leur fille Rose et leur fils Hugo.

Dans le Poudlard Express, Albus rencontre Scorpius Malefoy, et ils deviennent vite inséparables.
Et oui : première grande surprise, les fils des deux ennemis jurés Drago Malefoy et Harry Potter sont amis.

Albus se fait souvent moquer par les autres élèves car il est un Serpentard, n'est pas vraiment très doué, et disent que le grand Harry Potter devrait avoir honte d'avoir un fils pareil.
D'ailleurs, son meilleur ami Scorpius est harcelé lui aussi car selon les rumeurs, il serait le fils de Voldemort.

Le temps passe et les deux amis ne se sentent pas bien à Poudlard. De plus, la veille de la rentrée de sa troisième année, Albus et Harry se disputent.

Pendant le trajet du Poudlard Express, Scorpius et Albus décident de s'enfuir et de voler le Retourneur de Temps que détient Hermione pour sauver Cédric Diggory, l'élève mort pendant le Tournoi des Trois Sorciers.
C'est ainsi que l'aventure commence…

Mais attention, chers lecteurs… Si vous ouvrez ce livre, vous allez le regretter… Il n'y a que des rebondissements, de l'aventure, et surtout, quand Albus et Scorpius vont modifier le passé… les multiples avenirs possibles qu'ils vont créer seront terrifiants !

Je n'ai pas pu lâcher ce livre de la journée. Je suis bien contente d'avoir fait la course pour l'emprunter à la bibliothèque de mon collège, et avoir enfin le plaisir de le lire.

Bref, si je n'ai qu'un conseil à vous donner : lisez-le !
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Dix-neuf ans après la bataille de Poudlard, Harry et Ginny sont les heureux parents de James, Albus et Lily. Et c'est au tour d'Albus d'entrer à Poudlard. Contre toute attente, le Choixpeau l'envoie à Serpentard. Albus se lie d'amitié avec Scorpius, le fils de Draco Malfoy. « Albus Potter. Une aberration. Même les portraits lui tournent le dos quand il monte l'escalier. » (p. 25) Harry voit d'un mauvais oeil cette amitié et ne peut s'empêcher de prêter foi aux rumeurs selon lesquelles Scorpius serait le fils de Voldemort. Ne dit-on pas que le Seigneur des Ténèbres aurait eu un enfant avant de mourir ? Les années passent à Poudlard : Albus s'intègre de mieux en mieux à Serpentard, mais s'éloigne de son père. « Je n'ai pas choisi, vous savez ça ? Je n'ai pas choisi d'être son fils. » (p. 27) Ce n'est pas facile d'être le fils du Survivant et du Sauveur. Quant à Harry Potter, directeur de la justice magique, il souffre depuis peu de sa cicatrice : cela signifie-t-il que le mal est de retour ? « Si une partie de Voldemort, sous quelque forme que ce soit, a pu survivre, nous devons nous tenir prêt. Et j'ai peur. » (p. 62) Ajoutez à cela la douleur d'Amos Diggory d'avoir perdu son fils, Cedric, une nouvelle prophétie et des âmes bien intentionnées qui veulent utiliser un Retourneur de Temps pour éviter certains drames et vous obtenez une intrigue qui rappelle que ce n'est jamais une bonne idée de vouloir modifier le passé. « On ne peut pas réécrire sa vie. Quand on est orphelin, on l'est pour toujours. C'est quelque chose que ne vous quitte jamais. » (p. 247)

Nombreux sont les grands fans de la saga qui ont crié au scandale après avoir lu ce texte, lui reprochant d'être moins développé que les précédents romans. Rien de plus normal : nous avons ici une pièce de théâtre destinée à la représentation. En ce sens, Harry Potter et l'enfant maudit est à mon sens un très bon texte. J'y ai retrouvé tout ce que j'aime : le Poudlard Express, le polynectar, les chocogrenouilles et tous les sorts. Albus et Scorpius sont deux gamins débrouillards qui font montre d'autant de ressources que leur père respectif en leur temps. Sans tomber dans le fan service, John Tiffany et Jack Thorne ont inscrit leur texte dans un univers riche et désormais incontournable. C'est avec plaisir que j'assisterai à une représentation de cette pièce si elle est jouée par chez moi.
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Grande fan de la saga Harry Potter, je ne me suis pas jetée sur ce "8e tome" qui me semblait suspect. Deux ans après sa sortie, après avoir relu une ènième fois la saga en version originale, me voilà lancée dans "The cursed child". Quelle perte de temps ! Comme beaucoup de lecteurs avant moi l'ont déjà constaté, ce livre est un ersatz de fan fiction.
L'intrigue est un remake de "Retour vers le futur" version magique avec des incohérences massives avec la saga.
Le monde des sorciers n'est pas respecté (on y parle de police, d'hôpital, d'infirmiers et même de "marché directement du producteur au consommateur" !!). Nouveau sorts, nouveaux mots, nouvelles personnalités et nouvelles relations entre les personnages (Mc Gonagall n'est pas respectée, Drago Malefoy est ami avec les autres, Dumbledore pleure à chaudes larmes, Hermione tutoie Rogue, ...)
Les personnages sont caricaturaux et sans profondeur (en particulier Ron qui est un clown ridicule et alcoolique et Harry qui est un type détestable).
L'histoire est mièvre digne d'une télénovella.

Je suis extrêmement déçue par les auteurs de la pièce (on se demande s'ils ont lu la saga !) mais également par JK Rowling qui a laissé son oeuvre être tournée en ridicule.
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*** SPOILER ***
Le livre impossible.
Mais comment diable Voldemort aurait il pu avoir une fille, c'est à dire un Horcruxe de plus ? Comment alors Harry aurait il pu le tuer ? Impossible !
L'histoire se lit bien, est bien menée. Par contre prendre le prétexte du théâtre pour écrire un livre très "light", sans description, sans fioriture, ni texte en plus... juste des dialogues. C'est quoi ? de l'abus ?
Gardons le plaisir de la lecture et passons à autre chose.
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