J'ai un secret à vous confier... La chambre des secrets n'en a pas forcément beaucoup pour un adulte, au contraire elle a même quelques petites bouloches d'ennui dans ses 100 premiers coins (heu pardon, pages)... Heureusement qu'ensuite elle renait de ses cendres, telle le phénix, pour flamboyer, exploser ou fourchelanguer !
Fan de la première heure du petit sorcier à lunettes, j'avais dévoré ce tome-là comme les autres, avec un plaisir infini et une envie dévorante de connaître la suite. Sauf que c'était il y a 20 ans... Et que là, à la relecture, je me suis retrouvée à admirer l'imagination de JK Rowling, ses trouvailles magiques et stylistiques, son génie pour créer un univers délirant mais parfaitement cohérent, ses talents de conteuse, bien plus qu'à vivre l'histoire à Hogwarts avec Harry.
Car ce tome-là, comme le premier, est vraiment un livre pour les enfants ou les jeunes adolescents. Harry n'a que 12 ans et, en dépit de tous ses talents, il mène la vie d'un enfant de 12 ans, faite de leçons, de bêtises et d'amitié. La magie en plus évidemment...
Mais la magie ne suffit pas à rendre exaltante la vie d'un si jeune garçon. Pour ça, il faut un bon vieux méchant, Celui-dont-on-ne-doit-pas-dire-le-nom ou un autre, peu importe. Et heureusement, il y en a un dans la deuxième partie du roman, de fait plus captivante et beaucoup plus rythmée.
Si captivante et si rythmée qu'elle m'a donné envie d'enchainer avec le prisonnier d'Azkaban qui, si je me souviens bien, marque le début des aventures plus sombres, plus profondes et moins enfantines de Harry.
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- Bon et après ce tome on arrête, ça devient de plus en plus sombre et tu n'as que six ans et demi
- Quand je serai plus grande. Ok.
[...]
-Maman ? Je grandis beaucoup aujourd'hui. Et dans 6 mois j'aurai un an de plus. C'est beaucoup plus grand ça, n'est-ce pas ?
Oui. Donc. Nous avons achevé ce tome deuxième avant de faire une (petite ?) pause. Et la mini sorcière en herbe est über addict de la mort (des reliques). Comme pour le précédent je remarque les redites, les putainquilsontcons des héros ainsi que l'affect des personnages pour leurs futures amours (tout y est en fait) et je prends sur moi la vision prochaine du film (je n'ai aimé que l'adaptation de Cuaron) (pas avant au moins 6 mois donc). Néanmoins ce fut encore une fois un régal de le lire ensemble chaque soir, de regarder mon faune échafauder des theories pour expliquer tout le chaos ambiant et je dois avouer que ça va être dur d'attendre 6 mois pour la suite tant j'aime ce moment partagé.
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Deuxième tome des aventures de Harry Potter. Une voiture volante, un professeur charlatan, un journal intime bien particulier, des êtres vivants qui se retrouvent figés, des araignées. Voilà tout ce qui constituera les nouveaux périples de Harry pour sa deuxième année.
Ce tome est pour moi le moins bon des sept qui composent la saga.
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Je ne saurai vous dire pourquoi, mais ce tome fut l'opus d'Harry Potter que j'ai le moins aimé. Pourtant il a tout pour plaire : rebondissements, aventures, découvertes et même des chapitres très marrants (je pense en particulier à celui de la Saint-Valentin qui doit être un de mes meilleurs souvenirs à la lecture de toute la saga).
Peut-être est-ce le côté bref du roman. J'ai trouvé l'histoire relativement courte malgré tous les évènements qui y sont racontés. Peut-être que la quête de la chambre des Secrets ne m'a pas semblé plus que cela passionnante. Ou bien peut-être est-ce pour le mélange d'ambiance qui parfois est lumineux et parfois sombre... J'ai toujours eu du mal à me sentir à l'aise lorsqu'elle n'est pas homogène. J'ai l'impression de me perdre dans le récit et de ne pas le saisir comme il le faudrait.
Néanmoins, bien que ce tome est celui que j'apprécie le moins, j'aime le lire et le relire !
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Alors, c'est peut être à cause de la traduction, mais je suis restée un peu sceptique concernant certains aspects du scénario.
Par contre , j'ai trouvé une profondeur intéressante à certains personnages secondaires, certains même plus intéressant que Harry lui-même. Il grandit petit à petit , sa personnalité va s'affirmer dans les prochains tomes je suppose.
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Avec le temps, va, tout s'en va.
Et je continue ma relecture de la saga. Et mon avis ne change pas par rapport au premier tome qui m'est repassé entre les mains : It's not time-proof. Je m'ennuierai presque par moment, m'interrogeant sur le pourquoi du comment. Pourquoi un tel engouement pour le petit sorcier aux lunettes rondes ? Comment ai-je pu être à ce point accro dans mes – plus – jeunes années ? Je pensais que je serais loyale ad vitam aeternam à cette série de romans, que rien ne pourrait en altérer la magie, le fun, mon attachement à l'univers, à ces personnages… Ben si.
Quand j'arpente en lecture les couloirs de Poudlard, je ne vois plus que les grosses fissures dans les murs de pierre d'un bastion de l'imaginaire que je pensais inaltérable. Je croyais qu'entre ces pages résidait un foyer d'irréductibles compagnons de fiction. Tout semble m'être devenu indifférent et sans enchantement, rien d'autre que du papier et des mots. Mention spéciale au grand méchant de l'histoire : On retrouve Lord Voldemort, du moins son souvenir, qui nous fera une démonstration particulièrement royale du classique monologue du méchant où il expose tous ses plans. Saluons aussi son amnésie à court terme où le Seigneur des Ténèbres en herbe oublie que les larmes de Phénix sont curatives.
Hormis cette séquence drolatique à la fin, il y a tout de même une bonne construction et mise en place de l'intrigue, meilleure que celle d'Harry Potter à l'école des sorciers. L'univers construit par JK reste charmant. Mais bon…
…Le coeur quand ça bat plus.
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Ce second tome est exactement dans la même veine que le précédent. Même s'il ce n'est pas de la grande littérature, le langage accessible, le vocabulaire simple et l'écriture excellente tient le lecteur en haleine de la première page jusqu'à la dernière.
De nouveaux personnages truculents viennent égayer encore un peu plus cet univers haut en couleurs et en variété. Je déplore néanmoins les catégories faciles et peu nuancées dans lesquelles ils sont ostensiblement placés (méchants vs. gentils). La nuance et la complexité viendront plus tard, avec la maturité d'Harry Potter et de ses fidèles petits lecteurs.
Un excellent livre, également, pour apprendre l'anglais (ou une autre langue) car le vocabulaire est simple, progressif et que le récit fait oublier le travail mental d'apprentissage. Personnellement, j'écoute l'ensemble de la saga en anglais (audio-book) une à trois fois par ans depuis quelques années et mon anglais s'est considérablement amélioré depuis.
À bon entendeur... ;-)
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