Le palais de minuit

Une histoire à la fois attendrissante, inquiétante et triste.
J'ai aimé ce livre même si je n'ai pas été très enchantée de l'épilogue pour lequel je m'attendais à quelque chose de plus réel.

Une histoire entrainante et intriguante!! Mais moi qui suis froussarde, « l ombre maléfique » m'a foutu les jetons haha
Par contre, la fin / le dénouement m a semblé relativement tiré en longueur... dommage!

Dans celui-ci, nous suivons six orphelins dont deux jumeaux qui ont été séparé et sont poursuivis par une ombre. A savoir qu'il s'agit du lien qui unit les trois tomes, il y a toujours une ombre mais ce n'est jamais la même. un peu plus long que le dernier, celui-ci ne sert strictement à rien. Je sais que je vais paraitre dur dans ma chronique mais la première moitié du roman est inutile à mon sens. Je ne suis pas parvenue à rentrer dedans et j'ai même failli l'abandonner.
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J'avais lu le Prince de la brume.
Le Palais de minuit est le second tome d'une trilogie.
L'auteur aime à rappeler que ses livres ont d'abord été publiés comme romans pour la jeunesse. Cela se perçoit dans la construction de la narration.
Le style est fluide, ça se lit vite.
L'histoire est à mon goût un peu "tirée par les cheveux" mais le style d'écriture fait que j'ai passé un agréable moment de lecture.
L'histoire m'a fait indéniablement pensé à une aventure du jadis Club des Cinq.

Carlos Ruiz Zafon est un auteur espagnol reconnu et admiré de beaucoup de lecteurs à travers le monde, il ne s'agissait pourtant que du deuxième roman de l'auteur que je lisais. J'avais en effet dévoré le Prince de la Brume il y a cinq ans, ce livre est un deuxième tome un peu particulier. On suit l'histoire des jumeaux Sheere et Ben dans le Calcutta des années 30 à la recherche de l'ombre qui hante leur passé et menace de les tuer. Tentant, non ?

Je sens qu'avec cet avis-là, je ne vais pas me faire que des amis, mais non, pas tentant en fait. J'ai été déçue par cette lecture alors que j'avais adoré le premier tome. En effet non seulement, je m'attendais à mieux, mais j'avais également compris une bonne partie de la résolution une trentaine de pages avant la fin. L'écriture de Zafon est toujours merveilleuse et prenante, mais elle a manqué de magie à mes yeux. le récit est beaucoup trop rapide, je n'ai réussi à m'attacher à aucun des protagonistes... C'est triste mais je pense que cette déception ne m'empêchera pas de lire le dernier tome de la saga ainsi que les autres romans de l'auteur espagnol.
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Celui-là m'a passionné, je l'a lu en quelques jours, dévoré par l'envie de savoir où m'emmène les enfants.
Un réel plaisir retrouvé, j'ai lu plusieurs du même auteur l'an dernier l'un à la suite de l'autre puis je me suis lassée. Là c'est une ferveur retrouvée!

Un roman court passionnant malgré quelques défauts. La ville est encore une fois un personnage, c'est Calcutta cette fois.
Une critique plus détaillée et d'autres sur
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Un fascinant voyage dans le monde fantastique, voire glauque de Carlos Ruiz Zafon.
Vivement la parution du dernier tome de la trilogie intitulé Les Lumières de septembre.

En bref, un nouvel univers sorti de l'esprit de Carlos Ruiz Zafon : différent mais toujours reconnaissable.
En guise de préface, l'auteur nous explique que cette trilogie a été écrite au départ pour un public jeunesse, mais qu'il espère qu'elle pourra plaire au plus grand nombre.
Si ce tome 2 (qui peut totalement se lire indépendamment des deux autres puisque ce ne sont pas du tout les mêmes personnages et qu'il n'y a, a priori, aucun fil rouge) s'avère effectivement assez différent de sa saga à succès du Cimetière des livres oubliés, on retrouve toujours et dès le début sa plume si particulière : descriptive, poétique et captivante.
Le côté jeunesse peut également s'expliquer par une intrigue pleine d'action et des personnages adolescents auxquels les jeunes lecteurs pourront facilement s'identifier. Personnellement, même si les principaux sont attachants, j'ai trouvé que le groupe de sept était assez inégalement utilisés dans le roman.
Le cadre est également très intéressant, car j'ai découvert l'Inde et plus particulièrement Calcutta dans la première moitié du XXe siècle, fortement empreinte de la colonisation britannique et de l'essor technologique.
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L'Inde, pays mystique que je veux voir avant de mourir, depuis toujours. Quelle joie j'ai eu en voyant que ce deuxième tome du Cycle de la Brume allait m'y amener. Des ruelles sombres, des amitiés fortes, un brin de fantastique. Décidément, Carlos Ruiz Zafon me plait, me plait beaucoup.