Replacé dans son contexte (1934) ce tout petit essai (38 pages) très facile à lire (et c'est bon de le préciser parce que c'est loin d'être le cas de la plupart des essais) est novateur, provocateur et invite à une vraie réflexion sur la société de consommation qui se mettait alors en place. Aujourd'hui, il n'est plus qu'amusant et utopique, même s' il n'a rien perdu de son bon sens. Il ne provoque qu'un sourire résigné, surtout quand on s' est (comme moi!) arrêté à la couverture et qu'on croyait lire un mélange de poésie/comédie contemplative et de développement personnel.
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