The Curse, tome 1

Les tomes introductifs ..👹

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Kestrel n'a pas forcément la vie dure, fille de THE monsieur autorité dans la ville, elle a quelques libertés. Sauf une, mais de taille. Soit elle s'engage dans l'armée, soit elle se marie !😳

Mais c'était sans compter son achat astronomique au marché des esclaves… Quelque chose me dit que ca ne va pas aller dans le sens qu'elle avait prévu !
Après, elle l'a payé cher et vilain son esclave, fallait bien s'en douter qu'il y avait anguille sous roche🤷‍♀️


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Globalement, c'est une bonne lecture ! Mais la moitié du livre est introductif. A mieux y réfléchir, quasi tout le livre l'est. Et je vous avoue que je n'aime pas ca !! Mais attention, la fin est quand même vachement mieux !😇

Mais c'est vrai qu'au début j'ai trouvé ca un peu long, il n'y avait pas forcément d'élément d'importance capitale et même après l'achat de l'esclave, y'a eu du plat. Pourtant tu saiiis dans le plus profond de ton être qu'il va y avoir quelque chose, mais faut le temps que cela arrive !💨

Parlons directement d'un des points que vous verrez en swipant. La love story. Mon dieu, j'ai eu des remontées psychiques d'Esla dans la Reine des neiges : on n'épouse pas un homme qu'on vient de rencontrer. Alors non, on n'en est pas à ce point-là mais arghh parfois c'était saoullaanntt ! Suis un coeur de pierre moi !🤯🖤

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Certains éléments m'ont donné l'impression de : euh, ca sort d'où ? Genre c'est un truc super important et c'est juste donné en mode : j'ai mangé des pates hier soir

Sinon, bien qu'on ne dirait pas ainsi, je n'ai pas passé une lecture pourrie, c'était assez sympa, pas prise de tête mais j'espère quand même que la suite soit un peu plus développée !🙏🙏

D'ailleurs j'ai pas compris le rapport entre la phrase sur la couverture et l'histoire pour le moment ... Donc euh ...
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Comme beaucoup de lecteurs, j'ai vu ce livre circuler de partout et faire un certain tapage. Si le synopsis m'intriguait énormément et la couverture m'attirait, c'est en visionnant une interview de l'autrice que j'ai réellement senti l'envie de commencer sa trilogie. Pour cette raison, j'avais peur de me lancer pour en sortir déçue. Heureusement pour moi, ça n'a pas été le cas ! Il s'agit bien d'une surprise pour moi. J'ai tellement l'habitude d'être déçue qu'à chaque fois que je tombe sur une bonne surprise, je n'en suis que plus ravie. The Curse en fait partie.

Pour commencer, je n'ai eu aucun problème d'immersion dans l'histoire. Dès le début de ma lecture, la magie a opéré. On découvre ainsi l'univers, petit à petit. Celui-ci s'inspire énormément de la Rome antique, notamment en ce qui concerne le commerce des esclaves. J'ai toujours aimé ce genre d'univers. J'ai envie d'en connaître davantage à son propos. Mon intuition me dit que ce sera le cas dans la suite. Pour le moment, je dois prendre mon mal en patience. Quel soulagement d'apprendre que la suite sera disponible en septembre... Je n'aurais pas à attendre. Pour cette raison, je ne regrette pas mon choix d'avoir reculé le moment de commencer cette trilogie. Pourtant, les dernières pages sonnent comme une promesse. En effet, leur contenu dégage tellement de potentiel pour la suite de l'histoire. J'ai été conquise par les derniers événements et les choix des personnages qui orientent le récit d'une manière qui va me ravir, j'en suis certaine.

S'il y a bien un point que je dois souligner à propos de ce début de trilogie, c'est bien les personnages. Kestrel est une héroïne comme j'aime, plaisante à suivre. Elle est ambitieuse, intelligente, rationnelle et humaine. J'ai aimé le fait que l'autrice ne cède pas à la facilité en faisant de Kestrel une super-héroïne stéréotypée qui sait incroyablement bien se battre, en tant que digne fille de Général. Cette petite touche d'originalité m'avait déjà conquise, j'ignorais encore que ce que me réservait les personnages de Marie Rutkoski... En effet, comme je l'ai indiqué plus haut, Kestrel est une stratège. Ce qui implique qu'elle est rationnelle et pragmatique (tout pour me plaire) et le reste jusqu'au bout. Combien de fois ai-je vu des personnages qui voient leurs personnalités totalement changer une fois amoureux ? Je déteste ce genre de procédé. Kestrel a beau développer des sentiments, elle reste fidèle à elle-même. Elle ne se met pas à considérer son peuple comme l'ennemi ni à le renier. Si elle apprend à élargir sa vision des choses et à remettre ses opinions en question, elle aime toujours son peuple, sa famille et son entourage. Elle n'abandonne pas tout au nom de l'amour, parce qu'elle est tombée amoureuse en une semaine et qu'elle est persuadée qu'il s'agit de l'amour de sa vie.

Il n'y a rien de tout cela et rien que pour ceci, merci Marie Rutkoski. Juste, merci. C'est également le cas d'Arin : en plus de se détacher des stéréotypes, il demeure également fidèle à lui-même, à son peuple. Tout comme Kestrel, Arin parvient à s'éloigner des stéréotypes que je craignais : il n'est pas la brute épaisse hautaine qu'on aurait pu croire. Il n'est pas le gentil garçon incapable de prendre de décision difficile. Il est Arin : c'est à dire avec ses défauts, ses qualités, un personnage presque humain. Les personnages me paraissaient incroyablement humains, cohérents, beaucoup plus que ce qu'on a l'habitude de croiser. En plus de cela, Kestrel et Arin sont remarquables dans la mesure où ils n'oublient pas leurs convictions. Je trouve ça justement plus réaliste : ils ont des sentiments, mais ceux-ci n'obscurcissent pas leur vision. Ils ne se mettent pas à renier l'univers dans lequel ils ont évolué ni leur famille, leurs proches, pour quelqu'un qu'ils viennent de rencontrer. C'est typiquement le genre de personnage que je veux voir plus souvent dans ce type d'ouvrage.

Tous ces bons points font que le récit garde son charme, malgré quelques faiblesses. Effectivement, une grande partie de l'histoire s'avère prévisible. Toutefois, c'était une décision de l'autrice : en suivant non pas un point de vue, mais deux, le lecteur est au courant des projets qui se tissent en coulisse. Il en sait plus que Kestrel et Arin. Si ce choix enlève le caractère surprenant de l'histoire, il ne rend pas le récit moins bon pour autant. Justement, c'est intéressant ainsi. On prend plaisir à parcourir les pages, à suivre l'histoire de Kestrel et Arin. Leur relation se développe lentement mais sûrement, ce qui rend l'évolution beaucoup plus crédible. Ce n'est pas idyllique, l'autrice ne dépeint pas un Amour éternel et merveilleux, comme on peut le voir trop souvent. Il s'agit juste de deux jeunes gens qui tombent amoureux, tout simplement, sans exagération. Ce qui fait que leur relation est encore plus belle et crédible. On a l'impression qu'il s'agit d'une véritable histoire et non d'un conte de fée.

Les événements s'enchaînent et mettent nos protagonistes dans des situations délicates. J'ai adoré chaque prise de décision de l'autrice. C'est pourquoi, ce qui se produit dans les dernières pages me donne terriblement envie de connaître la suite. La tournure du récit dégage un véritable potentiel et j'espère ne pas être déçue par la suite. Si vous êtes curieux, je vous encourage à découvrir ce début de trilogie très prometteur.
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Un premier tome court et très prenant, dont l'univers m'a happé ! Nous allons faire la connaissance de Kestrel, une fille d'une général valorien, qui est une jeune femme têtue et qui a un caractère bien trempé (oui je l'ai adoré 😅). Cette dernière va acheter un esclave herrani pour un montant extravagant sur un coup de tête, et celui-ci, Arin, va tout changer.

Le couple de personnages principaux est vendeur : les deux sont attachants et ont une personnalité cohérente et bien dépeinte. J'avais peur au début car on part quand même avec une jeune femme de la haute et un esclave résigné MAIS tout se déroule bien, et je n'ai pas trouvé de gros clichés dérangeants au cours de ma lecture.

J'ai adoré cette histoire car l'autrice a décidé de lancer les aventures dès la première page, et de nous décrire le monde et l'univers au fur et à mesure tout en nourrissant l'action.

En bref, j'ai super hâte de lire la suite d'autant que je les lis en version originale et l'anglais est tout à fait accessible.

J'ai été assez surprise par cette lecture je dois dire, qui somme toute fut très agréable. Toutefois il me faut vous prévenir que nous n'avons pas ici un roman young adult. Je m'explique, je pensais que s'en était un mais c'est plutôt un roman jeunesse qui se donne des airs de YA! Qu'à cela ne tienne j'ai bien aimé ma lecture.

Nous suivons Kestrel, fille du célèbre général qui est parvenu à coloniser les terres sur lesquelles elle vit aujourd'hui, et sur lesquelles elle a grandie. le peuple qui y vivait jadis est réduit en esclavage, et c'est sur un coup de tête que Kestrel va, lors d'une vente au enchères, faire l'acquisition de Arin, jeune esclave à peine plus âgé qu'elle. La nouvelle fait rapidement le tour de la ville mais les problèmes ne s'arrêtent pas là pour Kestrel. Arin se montre plus que confiant et prends des libertés vis à vis d'elle. Il est le premier à lui dire sincèrement ce qu'il pense d'elle et de son père, le premier à défier cette famille. Arrive alors l'inévitable, qui mènera la jeune femme au désastre. Mais tout cela est-il vraiment le fruit du hasard?

J'ai trouvé nos héros mignons à craquer, chacun vivant de l'autre côté de la barrière, et chacun, s'étonnant de la vraie nature de l'autre. Une relation sincère s'installe entre les deux personnages qui malgré leur amitié feront des choix au détriment de l'autre car entre l'affection d'une seule personne contre la liberté de tout un peuple, peut-on vraiment considérer qu'il y a un choix à faire?

Alors voilà, la trame de l'histoire est vraiment bien, la raison pour laquelle je le classerait plutôt en jeunesse, c'est que malgré le contexte de l'histoire, les évènements ne sont pas du tout violents, on reste dans quelque chose d'assez mesuré et doux, qui correspond bien aux romans jeunesse.

C'est après tout le monde que j'ai enfin débuté ma lecture de cette série. Comme d'habitude avec un livre qui a eu un certain succès, j'ai toujours une appréhension de ne pas aimer autant que tous les autres lecteurs. Je vous rassure, ce n'est pas le cas. Je l'ai adoré.
Tout d'abord, j'ai pris plaisir à découvrir un monde avec un système politique travaillé, un monde avec un passé développé. Petit à petit, on découvre comment Herran est devenu cette région, comment les Valoriens ont conquis des territoires.
Pour les personnages. J'ai aimé voir que Kestrel est une jeune femme forte et intelligente. Son père l'a entraîné pour être une fine stratège afin d'incorporer l'armée. Arin est un jeune homme qui a perdu son statut lors de l'invasion des Valoriens, il rêve comme beaucoup d'Herranis de retrouver leur liberté quitte à faire comme l'envahisseur.
Concernant l'histoire en elle-même, je l'ai beaucoup aimé. Entre l'évolution de la relation entre Kestrel et Arin et le complot qui se trame, j'ai été servie. J'ai beaucoup aimé la façon dont réfléchit Kestrel, ce qu'elle entreprend pour se sortir de situations dangereuses. Comment elle utilise ses talents de manipulation pour trouver des solutions. On pourrait la croire hermétique mais on voit aussi son attachement à ses amis, sa famille. Elle essaie de traiter les Herranis de façon respectueuse.
Pour conclure, j'ai adoré ce premier tome. Je l'ai littéralement dévoré. L'histoire est très prenante, les pages se tournent toutes seules. J'ai pris plaisir à suivre l'esprit stratège de Kestrel. Je compte bien me procurer les deux autres tomes car je suis très curieuse de savoir comment cette histoire va évoluer et se finir.
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ATTENTION - Avis sur une relecture
Cette saga était ma préférée lorsque j'étais au lycée. Et des années plus tard, je comprends à nouveau pourquoi !
Rien que le personnage de Kestrel est une raison de lire ce livre. Elle est intelligente, et très stratège. J'ai adoré la voir conseiller des plans à son père, qui ne me seraient pas venus à l'esprit, ce qui change de certains romans !
En plus, elle a beaucoup d'empathie… Ce qui n'est pas facile dans une société où l'on vous apprend que l'esclave à côté de vous ne mérite que de se voir décimé.
Pour moi, Kestrel est trop bien pour la Valorie. Elle se fiche de la condition des autres et les met à son niveau. Et c'est pour ça, que la romance a du sens. Et quelque part, Kestrel recherchait ça dès le départ donc ce n'est pas si choquant !
Pour autant, l'autrice nous montre bien à quel point il peut être difficile de changer ce qu'on nous a inculqué… comme notamment sa fierté.
Chaque événement a une raison. Il n'y a pas d'action superflue, et l'évolution des personnages est très bien calibrée. Ce n'est qu'après avoir compris que Kestrel traitait les Herranis comme ses égaux, qu'Arin la voit d'un oeil différent, et ce n'est qu'un exemple.
La romance est très présente, mais elle est totalement adéquate. Il y avait une telle tension entre les protagonistes de nombreuses fois et j'imaginais tellement ce qu'ils pouvaient ressentir (mon coeur s'est serré lors de certaines révélations, et ça, ça n'arrive pas souvent)
La lecture est assez imagée. J'arrivais à m'imaginer les scènes d'une facilité ! Et puis, l'autrice écrit vraiment très bien.
Si je ne vous avais toujours pas convaincus, sachez que la fin est horrible. Dans le sens où il vous faudra absolument enchaîner avec le tome 2 parce que ce livre est totalement addictif.
Cette relecture n'est pas un coup de coeur, tout simplement parce que je me souvenais de la fin mais croyez-moi, j'aurais aimé l'oublier !

On reconnaît un bon livre et surtout un coup de coeur quand, à la dernière page, on se dit VIIIITE LA SUITE ! L'histoire se déroule dans un monde imaginaire d'inspiration antique où le peuple des Valoriens a pris le pouvoir sur un autre, les Herranis, qu'il a réduit en esclavage. Kestrel fait partie de la noblesse valorienne. Un jour, sur un coup de tête, elle achète un esclave. Sa vie et ses convictions vont alors radicalement changer...

J'ai ADORÉ le personnage de Kestrel, une héroïne forte et intelligente. L'intrigue qui mêle politique et romance est passionnante et se dévore à toute vitesse (j'ai englouti les 460 pages en 2 jours). Hâte de découvrir la suite !

Je n'ai pas réussi à vraiment rentrer dans l'histoire ni à m'attacher aux personnages, je garde l'impression qu'on ne sait pas grand chose d'eux et de leur personnalité au final, que l'on reste en surface. Je les ai même trouvés assez détestables par moment, surtout Arin.
Il y a du rythme, on ne s'ennuie pas, les intrigues ne trainent pas en longueur, mais ça reste superficiel aussi. Je n'accroche pas non plus à l'histoire d'amour qui m'apparait comme plutôt malsaine et toxique, ça me dérange. Je l'ai lu rapidement, ça se lit facilement, c'était plutôt agréable quand même, mais je ne pense pas lire le tome suivant!

Cette trilogie me faisait de l'oeil depuis plusieurs années et j'ai acheter le tome 1 d'occasion l'année dernière en étant pas sur de vouloir le lire. J'ai mis 4 jours pour ce The Curse et j'ai adoré, ce n'est pas le livre de l'année mais l'histoire est différente des autres sagas que j'ai lu, les deux personnages principaux sont fort, ont des défauts et se rende compte que ce qu'ils font n'est pas toujours la bien se qui ma plus. La romance est présente pas beaucoup mais juste assez, il y a de la trahison, de la politique, des retournement de situations tous se que j'aime.
The Winner's Trilogy n'est pas assez connu elle mérite vraiment le détour.

J'ai beaucoup aimé ce 1er tome, tant pour l'intrigue que pour les personnages.

Le personnage de Kestrel, du peuple Valorien, se démarque par son côté stratège et c'est ce qui m'a plus chez elle. Elle a également une vulnérabilité touchante vis à vis de son père.

Arin est un esclave Herrani, qui vient d'être acheté par Kestrel. C'est un personnage assez mystérieux mais on se rend compte clairement qu'il n'est pas à sa place.

Pour ce qui est de l'intrigue, elle est bien menée mais j'ai trouvé que Kestrel se laissait berner plutôt facilement pour quelqu'un d'observateur.

Une bonne lecture dans l'ensemble qui me plaît de poursuivre.