Justine avait compris qu'il lui fallait rire si elle ne voulait pas être oubliée, et que du rôle d'épouse heureuse elle devait passer au rôle de divorcée gaie.
La séparation avait été rude pour elle, c'était un fait entendu, et chacun avait fort bien admis qu'elle en souffrît cruellement. Mais un an de désespoir représentait la limite admissible pour souffrir d'une séparation.