....le véritable lieu urbain est celui qui nous modifie, nous ne serons plus en le quittant celui que nous étions en y pénétrant.
Ils refusaient un monde " où la garantie de ne pas mourir de faim s'échange contre le risque de mourir d'ennui".
En fin de compte, lorsqu'un homme commence à bouger, il fait chanceler l'ordre du monde...
Disons qu'un parcours, pour être signifiant, doit effectuer la modification de celui qui l'a entrepris.