Le journal de Gurty, tome 5 : Vacances chez Tête de Fesses

Le deuxième tome des aventures de Gurty ne l'ayant pas convaincu ("c'est la même chose que le 1, mais dans la neige" m'a-t-il dit, ce qui n'est pas totalement faux), j'ai été surprise que mon loulou emprunte ce cinquième opus.
Force est de constater que Bertrand Santin a su se renouveler en parachutant Gurty en milieu hostile : une semaine chez son ennemi juré Jean-Jacques. Un chat, quelle cata !
Incompréhensions, croyances, traumatismes d'enfance, grelots, boue et cacas sont au programme de ces amusantes vacances chez Tête de Fesse. Mentions spéciales pour les extraits du journal de Jean-Jacques et le chapitre Hallelujah, à l'origine de fous-rires partagés.

Dans ce tome l'impensable se produit ! Gurty et Fleur sont acceuillis chez leur ennemi, Tête-de-fesses.

Aucun des trois n'est à l'aise dans cette situation où il faut partager le même espace avec en plus les deux jumeaux de la famille qui sont toujours déchaînés.

Bien sûr, le chat, tente en permanence de rouler dans la farine nos deux chiennes préférées et l'écureuil lui-aussi s'en mêle.

C'est alors que gurty propose l'inenvisageable : cela ne serait-il pas plus simple de devenir amis ?

Un roman d'aventure et d'humour avec toujours autant de situations cocasses. le lecteur est plongé dans la petite tête d'un chien qui aime avant tout manger et jouer.

L'histoire est scandée en plusieurs épisodes ce qui facilite la lecture ainsi que de jolies petites illustrations.

Comme à chaque volume, nous retrouvons avec plaisir à la fin du volume le fan club de Gurty.

A découvir !
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Cinquième tome de la série. On lit en fonction des tomes que nous trouvons donc dans le désordre pour le moment.

Pour ceux qui ne connaissent pas, Gurty est une petite chienne dont le maître se prénomme Gaspard.
Fleur, son amie et voisine, est une petite chienne qui a sans cesse peur d'être tapé.
Tête de fesses est le chat des voisins, qui ne supportent pas les deux chiennes.
L'écureuil qui fait hi hi, l'arnaqueur de première.
Et enfin Ftéphanie, la hérissonne qui remplace les S par des F.

On a encore une fois bien rigolé des aventures de ce joli petit monde. L'accent de Provence est revenu et Ftéphanie nous a aidé à se faire les abdos encore plus.

Un roman qui a une couverture qui attire l'oeil, une police d'écriture assez grande, des illustrations en noir et blanc qui sont raccords avec le texte, donc drôles.
A la fin du livre, cette fois, une galerie de photos des lecteurs de cette série, à 2 ou 4 pattes.

C'est sûr, je vais reprendre l'accent de Provence bientôt car mon bonhomme compte bien réserver les tomes non lus à la médiathèque.

Gurty chez son pire ennemi, l'idée de départ est machiavélique, elle se révèle au final hilarante. Ça part dans tous les sens, les événements ne se déroulent jamais comme prévu, les bonnes intentions tournent toujours à la catastrophe et la plus bête des bêtes n'est pas forcément celle que l'on croit. Dans le monde de Gurty les italiennes s'empiffrent de chocolat, les hérissons ont des problèmes de prononciation, les écureuils sont des escrocs, les peluches vaudou sont cachées au grenier et les moutons suivent le troupeau.
Comme d'habitude le premier chapitre donne le ton avec, une fois de plus, une histoire de caca pour lancer les hostilités. Mais pour éviter que sa série ne tourne en rond Bertrand Santini innove. Dans ce cinquième tome, en plus du journal intime de Gurty, on plonge avec délectation dans les pages pleines de fiel de celui de Tête de fesses. Et entre les lignes les adultes découvriront quelques piques envoyées aux prédicateurs toujours prompts à hurler au blasphème et à endoctriner les âmes innocentes en leur promettant monts et merveilles (contre un paquet de gâteaux en l'occurrence…).
Un vrai plaisir de suivre les mésaventures de ces personnages qui ne brillent certes pas par leur sagacité mais dont les pitreries sont un vrai remède antimorosité.

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Si il y a bien un personnage qu'on adore dans cette saga c'est Tête de Fesses et ses passages avec Gurty ! Et ce tome est particulièrement bien réussi ! Gurty et Fleur doivent rester toutes les deux chez leur ennemi juré, et entre lui et ses deux petits humains y'a pas à dire c'est gratiné ! Elles se retrouvent dans des situations compliquées. Entre le journal de Tête de Fesses et celui de Gurty, je dois dire que l'on se marre à chaque page. Elle veut essayer de faire la paix et autant dire qu'elle met les pattes dans le plat comme d'habitude. Elle arrive à complètement prendre de travers quelque chose et à empirer la situation mais on l'aime cette Gurty qui ne fait que des bêtises et qui n'a pas la langue dans sa poche. On voit bien aussi que les chiens ne sont pas comme les chats et que les codes ne sont pas les mêmes. J'avoue j'adore retrouver des passages qui ne sont pas faire penser à notre vie avec des poilus.

En résumé, le Journal de Gurty – Vacances chez Tête de Fesses ! est encore un excellent tome de cette saga. Si il y a bien un livre jeunesse à vous conseiller pour un jeune lecteur c'est cette collection ! Tout est génial, on se marre du début à la fin et puis les illustrations sont rigolotes aussi ! Bref que du bonheur !
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Un énième opus toujours aussi revigorant et drôle. C'est une joie de retrouver Gurty, Fleur et son ennemi juré Tête-de-Fesses avec en prime le Journal de Jean-Jacques, le chat assassin (ou psychopathe à 4 pattes) qui concurrence Gurty en tant qu'écrivain. Un bon moment de lecture pour se poiler et rire à gorge déployer. Des minutes de rire précieuses pour décompresser.

Le journal de Gurty. 5, Vacances chez Tête de Fesses de Bertrand Santini – Editions Sarbacane – Roman jeunesse
Je découvre Bertrand Santini et l'univers de la chienne Gurty par la lecture de ce petit roman illustré prêté et fortement conseillé par mon fiston. Commencer par le tome 5 ne gêne en rien la lecture et dès le premier chapitre, on fait connaissance avec cette petite chienne rigolote et pleine de bêtises. C'est évident que cela plait aux plus jeunes : blagues potaches, humour pipi-caca, comique de situation et mignonneries parlent aux enfants. C'est très bien fait et mène sans difficulté des petits lecteurs jusqu'au bout du récit. L'histoire de cet opus : dans l'avion qui les conduit en vacances, Gurty, gourmande veut dévorer les chocolats de la grosse dame italienne d'à côté. Mais par un quiproquo « drôlesque » c'est Gaspard qui se retrouve en difficulté... L'avion est obligé d'atterrir en catastrophe et Gaspard et l'italienne tombent l'un sur l'autre et se blessent. Voilà Gurty obligée d'aller passer la semaine chez sa copine canine, Fleur et son pépé en fauteuil roulant. Là aussi l'équipée sauvage se termine assez mal, surtout pour pépé ! Les deux petites chiennes sont recueillies par la voisine. Tout irait à peu près au mieux si chez la voisine ne vivait pas l'ennemi juré de Gurty, Tête de Fesses, un gros matou caractériel et qui voit d'un très mauvais oeil, l'installation des deux chiennes à son domicile. La guerre est déclarée...

Ce que je retiens de cette lecture...

Un énième opus toujours aussi revigorant et drôle. C'est une joie de retrouver Gurty, Fleur et son ennemi juré Tête-de-Fesses avec en prime le Journal de Jean-Jacques, le chat assassin (ou psychopathe à 4 pattes) qui concurrence Gurty en tant qu'écrivain.
Les aventures rocambolesques dans l'avion rappelle un épisode précédent. L'auteur use et (abuse ?) des mêmes ficelles, mais qu'en ça marche, pourquoi sans priver ?
Un bon moment de lecture pour se poiler et rire à gorge déployer. Des minutes de rire précieuses pour décompresser. Merci pour ce moment de détente !
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Un nouveau chapitre au journal du chien le plus décomplexé de la littérature jeunesse.

Bertrand Santini joue d'humour dès le rabat, notant Gurty sa petite chienne comme auteure et Santini comme nom de plume.



Nous nous rappelons des drôles de vacances racontées en Provence, les choses suivent leur cours et les drôles de péripéties continuent pour la chienne et son maître.



Encore des vacances pour Gurty, quelle chance!

Son maître se casse une jambe, Gurty et sa pote canine aux yeux globuleux, la naïve Fleur, se voient passer de mains en mains dans la famille.

C'est à croire que le duo porte la poisse, il sera difficile de les garder en résidence sans qu'une tuile tombe sur la tête de l'hôte.

Le pire arrivera, à niveau de Gurty, un séjour chez son pire ennemi, le chat Jean-Jacques surnommé " Tête de Fesses".

Le droit d'asile de deux chiens est bien au dessus de ses forces, Jean-Jacques a bien un plan pour que les visites ne s'arrêtent pas en si bon chemin.

Tous les mauvais coups sont permis.ll faudra également faire avec les enfants de la maison, c'est plein de vie à cet âge là. Double menace.



Elle ne change pas, notre Gurty, elle reste d'apparence bien tranquille en surface mais tout de même bien gaffeuse au bout du compte.

Elle sera toujours trop gâtée pourrie, assez cynique, rancunière et très peu parfumée sous tous ses poils. le personnage et ses remarques feront toujours rire.

L'aventure continuera d'être particulière, on parlera même religions avec Fleur, Gurty et...un écureuil. C'est dire si ce journal est étonnant.



Du coup, la série reste encore ici une bonne proposition d'humour irrévérencieux à échelle de toutous et de "petits lecteurs".

Nous continuerons aussi sur l'humour pipi et caca qui fait son succès.

Voici venir les pires vacances pour Gurty, jeune héroïne canine de cette série de romans jeunesse. En effet suite à un improbable concours de circonstance son maître adoré se retrouve à l'hôpital, une jambe dans le plâtre. Et comme un malheur n'arrive jamais seul Pépé, le propriétaire de sa meilleure amie Fleur, se retrouve lui aussi hospitalisé. C'est donc chez leur pire ennemi, le chat Jean-Jacques, dit "Tête de fesses", que nos deux personnages atterrissent. Mais le diabolique félin n'est pas prêt à partager son territoire... Une semaine d'enfer commence, d'autant que les deux enfants de la maison sont de véritables démons. Une série farfelue avec des personnages très attachants et des situations cocasses, à dévorer dès 7 ans. Mention spéciale pour l'écureuil "ange en chef", véritable tartuffe de la religion, et aux pages du journal de Jean-Jacques, aux envolées lyriques et tragiques.