Je suis descendu pour la première fois dans les bas-fonds de l'ontologie phénomènologique, avec juste une petite frontale et mon couteau suisse...Je ne m'attendais pas à un tel vertige, celui que procure l'abîme qu'est l'homme quand on se penche dessus. Depuis je n'arrive plus à remonter en surface, là où l'on peut "être" tranquillement, en toute mauvaise fois, sans avoir conscience de ce Néant qui nous hante.
Je n'en suis qu'à la page 155 et déjà bouleversé, j'éprouve comme une nausée!
C'est mon prochain défi littéraire, venir à bout de ce pavé avant 2020.
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Une oeuvre dont je ne me lasse pas. Je plonge entre les lignes, puis le les relis, je les relis une nouvelle fois, et encore, jusqu'à ce qu'une partie de moi les retienne, les comprenne. Je les lis, je les récite, je les écris. Une oeuvre inspirante et riche de sens.
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