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3,73

sur 73 notes
Mais pourquoi ai-je commencé ce manga à minuit passé ? Une fois ouvert, impossible de le fermer avant la fin. Je voulais juste jeter un coup d'oeil, voir ce que pouvait donner Terra Formars dont j'entends parler depuis longtemps...
Dès les premières pages, on est dans l'ambiance, on est en 2599, présentation des personnes de la seconde mission allant sur Mars après avoir terraformer celle-ci... et très vite, bam.
Le côté "carnage" m'a fait penser à Battle Royale. Pas le temps de s'attacher aux personnages. On va de surprise en surprise.
J'ai beaucoup aimé le scénario, avec les informations sur les insectes pour comprendre les transformations, les camps qui s'opposent... C'est rare qu'un premier tome me fasse un tel effet ! Il faut que je lise le tome 2 vite ! (Inconvénient de commencer un manga très prenant emprunté à la bibliothèque le dimanche, il faut attendre mardi pour avoir la suite zut...)
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J'ai bien aimé ce premier tome, bon qui je l'avoue ne m'a pas aider à trouver les cafards plus beaux :p ! L'histoire est intéressante, mais je trouve que les personnages ne sont pas assez travaillé, qu'on ne connait pas grand-chose d'eux. Mais j'ai tout de même aimé ce premier tome avec les transformations en insecte de tous les personnages. Les cafards eux font vraiment peur (en tout cas c'est mon avis) et n'ont vraiment pas un tête sympathique ! Quinze personnes sans formation, juste génétiquement modifiés, envoyés pour une mission impossible ! Comment pourront-ils survirent ?...

Ma note : 16/20 Un manga très intéressant, je me demande comment va continuer l'histoire dans le tome 2 après ce qu'on a vu dans ce tome !
#Frimousse
Lien : http://lecturesdefrimousse.b..
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Je continue avec mes découvertes 48 H BD (promis c'est le dernier pour cette année !)

Un manga hyper violent mais quelle histoire.. on la lirait sur la tête d'un pouilleux ou même dans une cantine infestée de cafard... quoique !
Parce que même si je n'aime pas particulièrement les insectes.. on se retrouve avec des cafards hors norme dans cette histoire.

Nos 15 héros sont très attachants pour certains et j'ai adoré l'idée des auteurs de leur donner de vraie vie, un vrai passé, ce qui nous les rend encore plus sympas... mais c'est pour mieux vous faire sombrer mon enfant , pour mieux vous sentir démuni !
J'ai vraiment accroché au scénario.. que je trouve original avec tout ce qu'il faut : SF, batailles, trahison, amitié, science..

Et les graphismes sont purement et simplement travaillés de mains de maître, un régal pour les yeux avec une multitudes de petits détails comme je les aime.

Bref mon coup de coeur pour ce 48H BD de cette année et une série qui va finir très certainement complète a la maison
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De la super bonne science fiction comme j'aime, simple et efficace, tant par le scénario que les dessins. J'ai sursauté en tournant une feuille, la mise en page est rudement bien pensée et l'effet réussi.

Le thème n'est pas nouveau mais ça m'embarque à toute vitesse :
- Les terriens doivent rendre Mars habitable (surpopulation...)
- Une seconde mission spatiale est envoyée, la première a été décimée sans qu'on ne sache trop pourquoi
- Des terriens décideurs machiavéliques
- Un équipage multiculturel cobaye ayant subi une mutation de son ADN afin d'accroître ses performances
- Et des martiens trop moches, pure création humaine ayant muté devenant ainsi de redoutables monstres intéressants d'autant plus certains humains pour un usage loin d'être dans l'intérêt de l'ensemble de la communauté terrienne.

C'est super chouette que ce manga fasse partie de l'opération 48hBD, ça permet de faire de bonnes découvertes.
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J'ai découvert ce manga grâce aux critiques du sieur Alfaric. Merci à lui, donc, car je ne regrette pas...

Au XXI siècle la surpopulation devient un problème majeur pour l'humanité, les ressources naturelles s'épuisant rapidement. La solution envisagée pour y remédier est la colonisation de Mars, mais celle-ci présente une faible atmosphère et des températures polaires. Les hommes décident donc d'y envoyer des colonies de cafards afin que s'opère, via certaines opérations chimiques dues à leur activité, une terraformation qui l'a rendra habitable. En 2599, l'opération est terminée : reste à déloger les nuisibles afin de faire place net aux hommes...

C'est le but de la mission "Bugs 1", composée d'astronautes triés sur le volet. Or, celle-ci cesse rapidement tout contact avec la terre et une nouvelle mission est montée par l'U-NASA (une NASA internationale). Une nouvelle approche est choisie et ce sont, cette fois, des pauvres qui sont sélectionnés et formés. Pourquoi ? Parce que la mission est manifestement dangereuse et, c'est bien connu, les pauvres feraient n'importe quoi pour de l'argent. En plus, vu que les autorités ignorent ce qu'ils vont découvrir sur Mars, ils leur font subir une opération risquée (30% de chances de survie), l'entomomorphie, qui consiste à amalgamer leur ADN à celui d'un insecte, et donc à les doter des propriétés de la bestiole en question.

Voilà un manga franchement sympa, mais à ne pas mettre entre toutes les mains, parce que c'est quand même violent : ça décapite, démembre et mutile à tout va. L'aspect SF n'est pour l'instant, à mon sens, qu'un décors. le pitch rappelle un peu celui de "la Planète Oubliée", de Murray Leinster (juste le principe de la terraformation par des insectes). Par ailleurs, ne vous attendez pas à trouver une parenté avec "Starship Troopers" : on n'est pas ici dans le registre de la SF militaire : pas d'armée de marines de l'espace face à des hordes d'insectes. Ce serait plutôt un commando de super saiyan génétiquement modifiés présentant un vague cousinage avec "Saint Seiya" (du genre "mange mon attaque du frelon dans ta face, ou ma balayette du criquet dans tes guibolles", ouais je sais je délire un peu mais je voulais placer "Saint Seiya" dans ma critique), face à une menace autrement différente. Pour ne rien gâcher, les dessins de Ken-Ichi Tachibana sont vraiment tops, très clairs et lisibles, les (nombreuses) scènes de combats sont vraiment impressionnantes.

Bref, un manga rythmé (d'ailleurs, il s'en passe des choses rien qu'en un tome), violent et qui, cerise pédagogique sur le gâteau, donne furieusement envie de se mettre à l'entomologie.
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Récemment poussé par une forte curiosité pour l'univers des mangas en général, j'ai décidé de me plonger dans cette série qui m'intriguait particulièrement. J'ai d'abord été agréablement surpris par la précision et la netteté des dessins qui rend l'histoire assez fluide et agréable à lire. Le scénario est aussi assez convaincant pour l'instant, on se rend vite compte qu'il y a encore beaucoup de mystère autour de l'intrigue. Et puis le concept de base de pouvoir hybrider des humains avec des insectes ou autres animaux, moi j'adhère complètement ! J'ai bien apprécié également les détails apportés sur les insectes, c'est un sujet qui me passionne et que j'étudie et rien que ça me suffit à aimer ce manga.
Un petit point négatif toutefois, c'est la brusque entrée en matière dans ce tome 1, c'est très violent, et pas la peine de retenir les noms des personnages, puisqu'on a pas réellement le temps de s'y attacher... Bref, c'est un premier tome très percutant, peut-être un chouilla trop pour moi, mais qui recèle plein de bonnes idées, un bon point pour lire la suite.
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Mars n'est plus rouge mais verte. Engagé il y a 500 ans par l'homme, le projet de terra formation a porté ses fruits. Les cafards envoyés sur la planète ont participé à y rendre l'atmosphère respirable. C'est maintenant une équipe de 15 hommes et femmes qui est dépêchée afin d'éliminer les insectes grouillant sur la surface de Mars. Cependant en l'espace d'un demi-siècle, ces derniers ne sont plus tout à fait les mêmes…

Une excellente surprise que ce Terra Formars. Un seinen de science fiction original, avec ce qu'il faut de gore et de tension horrifique. le trait réaliste de Kenichi Tachibana sert à merveille l'histoire haletante du scénariste Yû Sasuga. Ce dernier n'hésite pas à nous abreuver d'informations sur les insectes qui, loin d'être indigestes, renforcent la cohérence de l'univers. Et que dire de ces effroyables cafards humanoïdes que l'on jurerait tout droit sortis de Gantz ?

Une très bonne découverte !
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Il est suffisamment rare que je lise un tome de manga d'une traite pour que je le signale, et c'est ce qu'il vient de se passer pour celui-là... Impossible de le lâcher, une fois véritablement commencé (je l'avais déjà commencé mais arrêté pour lire "Futures End")... Je dois à Verdorie et à Alfaric de débuter cette série (je l'avoue, je lis plus de mangas que mes gosses, le monde à l'envers chez nous...) ! Et ouah ! On a ici un émule de Martin, sauce SF. Qu'est ce que ça dégomme dans ce manga ! Si les personnages sont attachants, ben il ne faut malgré tout pas s'y attacher...
De toute façon on n'a pas le temps...
J'aime bien le thème "quand l'homme joue à Dieu et que ça lui retourne à la gueule vitesse grand V", et ici, je suis servie.
Par ailleurs, on a petits complots et grosses trahisons, retournements de situations et combats en veux-tu en voilà.
Les dessins sont fins et clairs, les personnages bien reconnaissables, les bugs assez glauques avec leur look humanoïde et leurs gros yeux noirs, et leurs capacités rapportés à la taille humaine sont assez terrifiantes.
Si les fourmis, autres frelons et affreuses bestioles faisaient 50 cms minimum, je suis pas sûre qu'on serait encore là pour en parler, en fait...
Bref, c'est un manga fort noir et fort prenant que nous avons là, et j'ai acheté la suite, alors miam ! (non je ne mangerai pas de larve d'insecte, n'insistez pas !!!).
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Merci Verdorie, malgré mes réticences à me lancer (fétichisme des Japonais pour les insectes, méchants cafards qui ne ressemblent à rien du tout) j'ai sacrément bien kiffé !
https://www.youtube.com/watch?v=C22miXRcd-w

On a dans "Terra Formars" quelques tirades savoureuses genre « on n'est pas dans un manga… », « on n'est pas dans pas dans les comics… », « les superhéros avec des superpouvoirs, ça n'existe pas ! »… Alors qu'en fait, c'est ça : les auteurs piochent dans l'héritage du mangaka culte Shotaro Ishinomori, qui avait décidé dans les années 1960/1970 de contrer les comics américains à lui tout seul (et il le fit vachement bien, posant avec Jinzō Toriumi les bases des séries live tokusatsu, aujourd'hui interdites d'exportation par les méchants marketeux de la Disney Corporation… VDM)
"Kamen Rider" dans l'espâce ? C'est sûr ! "Cyborg 009" dans l'espâce ? Hum, qui sait…
"Cyborg 009", c'était (et c'est encore, car les légendes ne meurent jamais ! ^^) un groupe d'humains venant de tous les pays transformés en machines de guerre qui se rebellaient contre leurs créateurs pour devenir les bienfaiteurs du genre humain…
"Kamen Rider", c'était (et c'est encore, car les légendes ne meurent jamais ! ^^) le superhéros insectoïde qui défendait la veuve et l'orphelin en combattant les supervilains insectoïdes ennemi du genre humain…
Bref, le véritable chaînon manquant entre l'optimisme d'Ozamu Tesuka et le pessimisme de Go Nagai !

J'ai eu des réminiscences du manga "Gunnm" de Yukito Kishiro, avec cette association entre sciences et arts-martiaux et cette humanité livrée aux caprices d'une élite persuadée d'appartenir à une race supérieur prédestinée à l'immortalité et à l'éternité
J'ai eu des réminiscences du manga "Eden" d'Hiroki Endo avec sa pandémie aux ravages effrayants et ses adolescents livrés en pâture aux turpitudes de l'enfer ultralibéral/ultraféodal mis en place par les organisations internationales.
J'ai eu des réminiscences du manga "Gantz" d'Hiroya Oku qui faisait cohabiter relationship drama soigné et ultraviolence absurde certes, mais graphiquement travaillée.
J'ai eu des réminiscences du manga "L'Attaque des titans" d'Hajime Isayama, avec cette dystopie où grand dam des intéressés des générations entières sont envoyées au casse-pipe des générations entières au nom d'un conflit artificiel qui n'a d'autre fonction que d'assure le maintien au pouvoir d'une élite corrompue.
Ah finit les bons sentiments de la SF Vintage pleine d'optimisme et d'espérance : fiasco de leader du monde libre au Vietnam, Bhopal, Exxon Valdez, Tchernobyl, SIDA, Monsanto, fanatismes, intégrismes, terrorismes, 11/09 et sa puante récupération idéologique, Chicago Boys et leurs expérience de Milgram à l'échelle mondiale et 7 krachs boursiers dont les populations payent toujours les pots cassés (bientôt le 8e : accrochez vos ceintures !)… L'homme est devenu un loup pour l'homme avec la bénédiction de ceux qui prétendait le guider vers un avenir radieux. Il fut un temps où tout le monde pensait que demain serait meilleur qu'aujourd'hui… Ce temps-là est bien loin derrière nous et cela se sent dans "Terra Formars" car on ne perd pas une occasion de cracher sur la ploutocratie, les uber-richs et l'argent-roi…

Mais au final de quoi ça parle ce manga ? ^^
Condamnée par le cancer productiviste, l'humanité s'est lancée dans la terraformation de la planète Mars sur plusieurs siècles (cf. la trilogie martienne de Kim Stanley Robinson ou le film "Red Planet" d'Antony Hoffman). Sauf qu'au moment de vérifier les résultats de cette gigantesque entreprise au tournant des 26e et 27e siècles, l'humanité s'aperçoit avec horreur que la place est déjà prise par une espèce d'australopithèques insectoïdes. Pour reprendre ce qu'elle considère comme son bien, l'U-Nasa pratique des expériences au faible taux de réussite sur des paumés issus des basses classes de la société pour fabriquer des hommes-insectes capables d'affronter les insectes-hommes dans l'environnement martien.
Mission « BUGS-1 », taux de mortalité : 100%
Mission « BUGS-2 », taux de mortalité : 87%
Mission « ANNEX 1 », taux de mortalité : calcul en cours…Mais ça meurt à tous les chapitres ou presque !!!
Toutefois qui est vraiment l'ennemi ? Ces cafards dont l'évolution biologique et technologique est trop rapide pour être naturelle ? Ces grandes puissances mondiales qui souhaitent s'emparer des découvertes biotechnologiques de leurs rivaux ? Ces donneurs d'ordres qui utilisent les personnages comme cobayes humains dans une course aux armements qui ne dit pas on nom (remember la saga "Resident Evil" ^^) ? Et il y a aussi la vraie / fausse piste de la panspermie avec la civilisation de Rahab et les pyramides de Mars…


Avec le tome 1, les auteurs ont eu l'excellente idée d'élaborer leur premier tome à la fois comme un one-shot et comme le prologue d'une série au long cours. Comme ça que le succès ou l'insuccès soit au bout du chemin, on conserve une bonne histoire avec un début, un milieu et une fin.
En 2599, les 15 membres de l'équipe de la mission BUGS-2 ont subi l'opération entomomorphique qui leur octroie d'évoluer librement dans l'environnement martien avec en bonus les capacités d'une autre espèce : la narration joue dessus et nous découvrons leurs pouvoirs au fur et à mesure d'un survival horror d'excellente facture qui emprunte autant aux récits anti-système des années 1970 qu'aux slashers classiques des années 1980. Les loyalistes et les traîtres de la shadow team vont devoir s'unir ou périr !
Le final est très réussi : malgré l'héroïsme du capitaine Donatello K. Davis, c'est l'hécatombe et les survivants sont ceux qui avaient le moins envie de l'être, le plus désespéré d'entre eux abandonnant son humanité pour donner une chance de s'en sortir à ceux qui dans le malheur sont devenus ses amis. On sent la fraternité qui unit ces personnages cabossés par les misères de la vie qui finissent par comprendre qu'ils ne sont que des cobayes, des prototypes ou de la chair à canon pour des homines crevarices qui n'ont d'humains que le nom… Et suprême élégance la fin offerte est bel et bien ouverte !


Le scénario de Yu Sasuga se donne la peine de donner à chaque protagoniste du drame, et ce quelle que soit son espérance de vie, une personnalité et un passé, plein de rêves et de désillusions. C'est assez sadique d'ailleurs car on s'attache à plein de gens qui vont tous de les crever salement, et avec tout le pathos nécessaire pour bien nous faire pleurer…
Le manga est riche en phylactères, car une voix-off très présente nous expliquent les mutations, les caractéristiques physiques, physiologique et martiales des antagonistes. de plus la narration fait alterner récit au présent, flashbacks consacrés au passé cabossé des personnages et flashback consacrés aux les discussions des officiers sur les enjeux de la mission. D'habitude je suis blasé du procédé, mais là cela a super bien marché sur moi...

Les dessins de Ken-Ichi Tachibana sont de qualité, tant pour le charadesign que pour les décors souvent fort joliment travaillés, avec une mise en scène de la violence très réussie. On pourra regretter un tramage informatique un peu artificiel, et quelques personnages clonés mais vu que la mission ANNEX 1 nous montre 100 membres d'équipage avec en plus leurs familles dans les flashbacks qui leur sont consacrés, on peut bien leur pardonner. Sinon, Shokichi Komachi a comme un faux air du Commandant Shepard de la saga vidéoludique "Mass Effect"… ^^


Pour terminer, un carton jaune à toutes les critiques à la Télérama de la Toile, truffée de pinailleurs de première bourre toujours prêts à pérorer sur le manque d'originalité et de profondeur de presque toutes les oeuvres, alors que manifestement ils semblent bien mal connaître l'histoire du manga pour ne citer qu'elle…
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Surpopulation de la terre oblige...les scientifiques ont décidé de terraformer Mars en y implantant des lichens et des cafards...
500 ans plus tard, vers l'an 2600, après l'échec d'une première mission, l'U-nasa envoie une deuxième nef sur cette planète en voie de biosphérisation. À bord : quinze jeunes adultes, sélectionnés dans les bas-fonds des grandes villes et génétiquement modifiés pour faire face à une nouvelle forme de vie qui s'est développé outre-mesure sur la planète rouge...désormais verte...

Dans ce manga (seinen) singulièrement violent, parfois un peu confus par les multiples flashbacks et commentaires voix-off, on ne parle pas que de cafards. le scénariste a introduit nombre d'autres insectes, connus pour leur extrême combativité ou capacité de défense, et dont les particularités ont (évidemment) un intérêt pour l'histoire.

J'étais agréablement surprise par les dessins nets et détaillés, à certains moments quasi photographiques. Les personnages sont tous identifiables et on s'attache rapidement à quelques protagonistes principaux qui possèdent un vécu et du caractère.

Ce tome 1 est un volume d'introduction. Il est possible de ne lire que celui-ci ! Quant à moi, j'ai choisi (avec délectation) de poursuivre avec les cinq autres tomes, parus à ce jour...

A noter !! : erreur dans la base de Babelio.
Les AUTEURS des 6 tomes de Terra Formars, édités à ce jour en France sont : Yu Sasuga (scénario) et Kenichi Tachibana (dessins)
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