L'élixir d'amour

Désolé, une critique négative ......... Pourtant, je me suis emballé : Super un nouveau livre de E.E.S., une belle couverture, mais par contre le contenu ..... je l'ai trouvé plutôt vide ... Un recueil d'échanges de messages électroniques entre Adam et Louise qui l'a quittée. Adam qui relance Louise, essaye de la rendre jalouse, de la titiller pour voir si jamais il reste une envie, une possibilité, ...

Si on ressent parfois de l'empathie pour un personnage, ici ce n'est pas le cas. Adam est un psychiatre affligeant, condescendant, mesquin, machiste, imbu, .... , dans le rôle du mâle qui a perdu sa proie. Il a perdu sa Louise.

Tenu par la déontologie de sa profession de psychiatre il en profite pour avoir une aventure avec sa patiente Lily : par jeu, par défi ? Lily aussi va le quitter. On verserait presque une larme sur les souffrances amoureuses que s'inflige Adam. Peut-être que le jeu des manipulations est poussé trop loin.

Y a-t-il quelque chose que je n'ai pas décrypté dans ce livre, je suis pourtant fan des livres de EES. La belle formule "le vide du néant" résume la situation. Je dois être dans le tout petit club des gens qui n'ont pas encensé le dernier E.E.S.

Roman épistolaire qui aurait pu me plaire s'il n'avait été aussi vide de tout (personnages creux, peu sympathiques et superficiels, intrigue ridicule, aucun contenu quant aux idées à peine effleurées). Heureusement, le roman se lit à vitesse grand V et s'oublie aussi vite. Les liaisons dangereuses version bas de gamme sans substance. Si je n'avais rien lu d'autre de cet auteur, ce serait bien le premier et dernier roman que je lirais de lui. Prenons cela comme une erreur de parcours...

Voilà un roman qui me laisse perplexe. Les critiques parues dans les journaux et magazines divers sont toutes plus élogieuses les unes que les autres, présentant L'élixir d'amour comme LE roman de l'année.

Eh bien, moi, j'ai été déçue.

Le seul intérêt que je trouve à ce roman épistolaire se trouve dans le renvoi de balle permanent entre Adam et Louise, qui donne un certain dynamisme au récit. Mais, malheureusement, la forme ne fait pas tout et l'absence de réelle histoire m'a ennuyé au plus haut point.

Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, que l'on prend finalement peu le temps de connaître et dont le portrait est dressé à grands traits peu flatteurs. Adam et Louise ne sont d'ailleurs que des prétextes tant le texte est centré sur la réflexion quasi philosophique sur l'amour et non sur leurs histoires personnelles.

Eric-Emmanuel Schmitt explore le mystère qui poussent certaines personnes à être attirées l'une vers l'autre et à développer des sentiments amoureux. A travers les réflexions des personnages principaux, l'auteur nous pousse à nous interroger sur l'amour, la jalousie et le désir mais le final, qui dévoile un plan machiavélique, détruit en quelques mots toute la poésie que revêt le sentiment amoureux.

Plus proche de la nouvelle que du roman, L'élixir d'amour aura été vite lu mais je n'en garderai aucun souvenir agréable.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..

Je vais être un peu dure mais je dois le dire quand même : j'ai trouvé ce livre sans intérêt. Heureusement qu'il se lit très vite !

Un roman court décevant, alors que j'avais apprécié mes lectures précédentes de cet auteur. Il s'agit d'une correspondance entre deux amants qui se sont séparés récemment après une histoire de 5 ans. Louise est partie s'installer au Québec, lassée des aventures incessantes d'Adam, resté à Paris.
Je les ai trouvés superficiels et manipulateurs, assez arrogants même parfois.
A oublier.

Roman épistolaire.
La situation? Adam est psychanalyste. Louise est avocate. Ils se sont aimés cinq années durant. Mais elle a rompu et mis un océan entre elle et lui. Ils s'écrivent en pianotant sur leurs téléphones.
On suit avec plaisir les pleins et les déliés avec rebondissements du duel. Les fleurets sont trempés dans l'encre du mensonge et des complexités de la passion, jusqu'à l'ultime dénouement.

J'avais passé un bon moment avec mon dernier Schmitt ; Les perroquets de la place d'Arezzo, qui n'a pourtant pas fait l'unanimité et j'avais envie de voir si l'auteur continuerait sur cet élan ou non.

Je dois convenir que non... Schmitt revient à ses premiers amours avec un roman plus léger (oserais-je un plus creux ?), bien plus court et bien moins épais aussi au niveau de la trame. Est-ce là que ses habitués trouvent leur bonheur ? J'ai comme un doute...

La forme épistolaire avait pourtant tout pour me séduire, et je dois reconnaître que c'est de là que j'ai retiré mon seul plaisir.
Parce que pour le reste j'ai trouvé les deux personnages bien trop empruntés, bien trop littéraires pour être réalistes ou attachants. Il y a donc une certaine distance qui se met en place entre le lecteur et l'échange qui se déroule sous ses yeux, dommage j'aurai aimé être plus impliquée dans cette lecture. Pour moi l'épistolaire touche à l'intimité et c'est incompatible avec cette distance qui s'impose.

L'intrigue elle se veut légère et assez transparente, pour être honnête j'ai eu la nette impression de lire un Nothomb post-2005 (ce qu'elle a fait de plus facile en fait) et j'en ressort donc déçue.
Je ne regrette pas d'avoir fait cette lecture - on n'est tout de même pas dans le domaine du supplice ! - elle a tout de même été distrayante mais j'en attendais plus voilà tout...
Lien : http://www.perdreuneplume.co..

Adam et Louise se sont quittés. Elle l'a laissé à Paris, est partie poursuivre sa carrière d'avocate à Montréal. Elle est partie parce qu'il la trompait éhontément, et qu'il l'assumait froidement. Pourtant, quand Adam commence à envoyer des messages à Louise, elle lui répond, et finit même par accepter son amitié... Et leurs conversations tournent autour de l'amour... Peut-on provoquer l'amour ?

Adam, psychanalyste, est sûr que oui. Et que c'est le phénomène du transfert. Et quand Lily, collègue de Louise débarque à Paris, Adam sera d'accord pour l'aider à trouver un logement, puis à être son thérapeute avant d'annoncer à Louise qu'il va tenter l'expérience sur elle : l'élixir d'amour existe, et il va le démontrer sur Lily... de son côté, Louise lui raconte sa rencontre avec Brice, et les deux ex-amants vont ainsi suivre les histoires naissantes l'un de l'autre...

Mais celui qui manipule n'est pas celui qu'on croit, et le psychanalyste gagnerait bien à reprendre quelques cours de psychologie !

Je me suis franchement ennuyée sur la première partie du livre. J'ai failli abandonner, et puis je suis allée au bout parce que j'en avais besoin pour le challenge Coeurs d'Artichaut... (à quoi ça tient des fois !) Et puis à un moment, je me suis dit, tiens ! Ce qui se passe, là, en fait, ce n'est peut-être pas ce que je croyais... Joli coup de poker et banco sur toute la ligne pour l'un des protagonistes... Qu'est ce qu'on ne ferait pas par amour !

Au final, même si je suis contente de l'avoir terminé et que la fin rattrape le début, ce n'est clairement pas le meilleur roman d'Eric-Emmanuel Schmitt. J'y vois quand même un petit hommage aux Liaisons Dangereuses, mais en rebondissements comme en machiavélisme, on reste loin du compte.

Le roman épistolaire de deux anciens amants.

Difficile pour moi de juger ce livre car je n'ai pas bien compris où Eric-Emmanuel Schmitt voulait en venir.

Contrairement à ses autres romans, l'écriture est complexe, alambiquée, lourde. Les deux protagonistes se cherchent, tournent autour du pot, se manipulent. Difficile de dénouer tout ça pour comprendre le message sous-jacent.

Vous l'aurez compris, je n'ai pas été emballée. Ce Éric-Emmanuel Schmitt sera l'exception qui confirme la règle : je reste une grande fan de l'auteur dont je vous recommande chaudement les romans et les nouvelles.

C'est le premier Eric-Emmanuel Schmitt que je lis. Je ne sais pas trop quoi en penser. J'ai bien aimé ce système de dialogues qui n'étaient par contre pas toujours très longs. On se retrouvait parfois avec deux mots sur la page. Ça manquait un peu de contenu.
Adam je ne saurai le décrire, il me fait un peu penser à ce que disait Musset, tous les hommes sont : menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels.