Citations sur Grand vampire, tome 3 : Transatlantique en solitaire (5)
- Ah oui. Vous êtes un Loup-garou.
- Un Loup-garou ... Je me déclenche au contact des nanas.
- Et pour redevenir normal ?
- Faut que j'embrasse quelqu'un.
- Boh, si ça peut vous rendre service ; vous avez qu'à m'embrasser.
- Non. Merci. C'est gentil mais ça ne marche qu'avec les filles.
- Faut que j'aille draguer mais avec ma gueule de loup, ça va pas être de la tarte.
- Pauvre vieux.
- Et vous croyez qu vous allez y arriver ?
- Ouais. J'ai des techniques.
- Ah bon, y'a des techniques pour la drague ?
- Meuh évidemment. Tu sors d'où, toi ?
- J'avais toujours cru qu'il suffisait d'être soi-même, d'être naturel, tout ça.
- Waf ! waf ! waf ! t'es un comique, toi, hein.
- Vous n'avez qu'à vous habiller en Cléopâtre, ça fera plaisir au capitaine. Il comprendra que vous avez fait ça pour lui.
- C'est banal. [...] Et puis c'est délicat. Peut-être qu'il a connu la vraie Cléopâtre et qu'il sera tenté de nous comparer. Et si la comparaison tournait à mon désavantage, ça serait une catastrophe.
- On dirait que tu as des l'habitude d'embrasser des fantômes. Tu en as embrassé, beaucoup, avant moi, des fantômes ?
- Non.
- Alors, tu as des prédispositions à la délicatesse.
- C'est ça.
- C'est bizarre de faire une croisière tout seul. Je m'appelle Hélas, je suis une pleureuse.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Un esprit qui répand la tristesse.
- La fille, faut qu'elle en ait envie, tu comprends. Et plus tu attends, plus tu as l'air inoffensif, plus elle en a envie. L'idéal, c'est même d'attendre qu'elle t'embrasse elle.
- Des fois, on peut attendre longtemps
- Ha Ha Ouais !