Autant j'avais été très emballée par le premier tome du maître des livres, autant ce second tome m'a laissée presque de marbre.
Où sont passé tous les passages d'intersexualité presque onirique où un livre change soudain le quotidien du personnage qui se retrouve dans l'histoire et y voit un éclairage sur sa propre vie ?
Cet aspect est pour ainsi dire relégué au second plan pour mettre en avant les petites histoires sentimentales ou à l'eau de rose des uns et des autres. Mais pourquoi ? Pour mieux connaître les personnages qui évoluent dans la bibliothèque ?! D'accord c'est du bon sentiment un peu cumul typique manga, mais là non, c'est trop.
Pour rendre justice aux idées de l'auteur et à l'esprit qu'il y avait dans le premier tome, il faut avouer que le passage sur l'importance de la lecture (des adultes) aux enfants devraient être obligatoirement lu par tous les parents. Mais ça fait bien peu sur l'ensemble du tome.
J'espère que les tomes suivants relèveront cet erreur de parcours.
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