Les contes interdits : Raiponce

J'ai divisé les contes interdits en 3 catégories : oui/non/je-ne-sais-pas-quoi-en-penser. Malheureusement celui-ci rentre dans la catégorie des NON pour moi. Avis purement personnelle, je vous invite donc à les lire afin de vous faire votre propre idée si vous êtes intéressés par le projet de revisite des contes classiques des éditions AdA, personne n'a les mêmes goûts.

Ceci dit, Raiponce est presque un huis-clos, ce que j'adore normalement. Des jeunes femmes disparaissent inexplicablement dans la région et une jeune fille est capturée à son tour lorsqu'elle décide avec des copains d'aller filmer un orphelinat incendié quelques temps plus tôt afin de faire le buzz sur Youtube. Elle se retrouve donc à la merci d'une sorcière qui a une fascination pour les cheveux. Un chasseur découvre par hasard la planque de la sorcière mais l'idée de sauver la petite ne lui effleure même pas l'esprit...

LP Sicard a une plume poétique que je saurai apprécier dans un autre contexte que les contes interdits, je me promets de lire ces autres bouquins. Il manie très bien les mots, il instaure facilement une ambiance glauque et cruellement sanglante. Mais le sentiment que les contes interdits ont été écrits avec une seule règle, soit le gore pour le gore, persiste. Je ne suis pas sensible alors ce n'est pas ce qui me dérange mais lorsque ça n'apporte rien à l'histoire et au contraire, plutôt, ça enlève de la crédibilité.

C'était mon huitième conte sur treize. Je compte bien tous les lire. À bientôt pour un prochain conte!

Raiponce est presque un huis-clos, ce que j'adore normalement. Des jeunes femmes disparaissent inexplicablement dans la région et une jeune fille est capturée à son tour lorsqu'elle décide avec des copains d'aller filmer un orphelinat incendié quelques temps plus tôt afin de faire le buzz sur Youtube. Elle se retrouve donc à la merci d'une sorcière qui a une fascination pour les cheveux. Un chasseur découvre par hasard la planque de la sorcière mais l'idée de sauver la petite ne lui effleure même pas l'esprit...

LP Sicard a une plume poétique que je saurai apprécier dans un autre contexte que les contes interdits, je me promets de lire ces autres bouquins. Il manie très bien les mots, il instaure facilement une ambiance glauque et cruellement sanglante. Mais le sentiment que les contes interdits ont été écrits avec une seule règle, soit le gore pour le gore, persiste. Je ne suis pas sensible alors ce n'est pas ce qui me dérange mais lorsque ça n'apporte rien à l'histoire et au contraire, plutôt, ça enlève de la crédibilité.

C'était mon huitième conte sur treize. Je compte bien tous les lire. À bientôt pour un prochain conte!

20e conte interdit que je lis et 3e de l'auteur, rien n'y fait, je n'accroche pas à sa plume pour mon plus grand désarroi. Plus que deux contes dans ma PAL, et je pense arrêter avec cette collection 😬

C'est l'histoire de Jacinthe, une adolescente qui, avec ses amis, va explorer les ruines d'un hôpital psychiatrique pour enfants. Malheureusement pour eux, il vont se faire surprendre par le monstre des lieux qui kidnappera Jacinthe après avoir tué les deux autres. Elle est enfermée dans une cellule au confort sommaire. Mais que fait-elle ici ? Qu'est-ce que ce monstre lui veut donc ?🤨

J'ai eu énormément de mal à rentrer dans l'histoire et à y accrocher. Non pas que l'histoire en elle-même soit mauvaise, les idées étaient même très bonnes et intéressantes. Mais je n'arrive pas à me faire à la plume de l'auteur et c'était déjà un souci pour moi lors de ses deux autres contes interdits. Je ne la trouve absolument pas dynamique, peu aérée. Une plume que je ressens très lourde et qui rend le récit fastidieux à la lecture, très long aussi. Je n'avais vraiment pas hâte de retrouver ma lecture dès que j'avais un moment 😞

Pourtant, on ne peut pas dire qu'il y ait un manque d'action. Et malgré ça, je me suis ennuyée 🥱 On soutient Jacinthe, dans sa cellule, qui ne comprend pas ce qui lui arrive mais qui tente par tous les moyens de s'enfuir. Selon moi, elle est incontestablement le point fort de ce conte : une adolescente qui n'a pas eu la vie facile et qui, en dépit de l'horreur dans laquelle elle baigne, ne baisse pas les bras. Je l'ai admirée. J'ai eu de la peine. J'ai été terrifiée pour elle 😨 Sa terreur est si bien décrite qu'elle en est palpable. J'avais le coeur qui battait la chamade en anticipation de ce qu'elle allait encore subir. L'auteur ne laisse aucun répit à ses personnages, car oui, Jacinthe n'est pas la seule prisonnière...

Concernant la fin, elle ne m'a pas vraiment surprise. Quand commence un conte interdit, je pense qu'il n'y a pas 36 solutions 😅 de plus, j'aurais aimé en savoir davantage sur le monstre car, bien qu'on ait quelques explications sur les dernières pages, j'ai trouvé que c'était plutôt expéditif et trop facile. J'aurais aimé comprendre plus en détails.

En conclusion, ce n'est pas le meilleur des contes interdits que j'ai lus, mais pas le plus mauvais non plus (impossible de faire pire que La petite sirène, à mes yeux 😭), même si chaque point de vue est personnel et différent. C'est d'ailleurs toute la richesse de cette collection : un conte peut être abhorré chez l'un et adoré chez l'autre !😄

Oufff .... Que dire ... Je ne sais pas trop quoi en pensée première expériences des contes interdits pour ma part je ne m'empêcherai pas d'en lire d'autre mais celui-ci je ne le compterai pas parmi mes préféré. J'ai trouver que l'histoire étaient un peu décousu par bout et ça n'avait pas toujours de sens ... je crois que j'avais une toute autre attente des contes revisiter ....

J'ai eu de la difficulté à en embarquer dans ce livre. Je trouve que le squelette de l'histoire a vraiment un potentiel. L'histoire est bonne mais il y a quelque chose dans la façon de la raconter qui ne me rejoint pas.

J'avais hâte de le terminer. Les tentatives d'évasion du personnage à la fin du livre est la partie qui m'a le plus captivée.