Piégée

Sonja est une jeune femme élégante qui malheureusement est devenue une mule, car cette pauvre jeune femme n'a pas eu vraiment le choix !
Mais voilà les narcotrafiquants ne sont pas des anges... Et Sonja va vite s'en rendre compte..

Cela fait un moment que j'avais mis ce livre dans mon pense bête. En règle général je ne suis pas amatrice du milieu de la drogue... Mais adorant les polars Islandais j'ai finis par craqué !
Même si ici Lilja Sigurdardóttir ne joue pas sur les paysages. Ni même sur un cadavre...

Malgré cela j'ai passé un moment formidable !
Les protagonistes sont attachants Sonja, Agla, Bragi... Et d'autres juste détestable !
On tremble pour Sonja car on sait pourquoi elle fait ça et on ce met facilement à sa place.
Bragi ce douanier proche de la retraite vit également une chose bien triste.
On ce demande bien comment tout cela va finir...
C'est fluide à souhait, on ne peux s'empêcher de continuer notre lecture. ..

Je vais vite me plonger dans le second de cet univers fascinant que Lilja Sigurdardóttir nous décrit avec tant de précision !

Ce polar islandais fait partie de la sélection des éditions Points qui concoure pour le Prix du Meilleur Polar. Les votes du jury devaient être remis pour le 14 janvier, le suspens commence à monter avant de connaître l'heureux lauréat.

Comme vous devez le savoir maintenant, je suis une très grande fan des auteurs qui viennent du Nord aux noms imprononçables. Il suffit de regarder mes lectures et auteurs préférés sur ma page Babelio (https://www.babelio.com/monprofil.php?id_user=353118) pour s'en rendre compte. Je trouve qu'ils parviennent à distiller une atmosphère toute à fait particulière à leurs polars. J'ai donc apprécié que la sélection des éditions Points en compte au moins un.

Lilja Sigurdardottir est islandaise et nous offre par ce polar noir une vision assez sombre de son île natale, pays que j'aimerais beaucoup visiter pour son côté sauvage et encore préservé. «Piégée » est le premier tome de la trilogie « Reykjavik noir ».

Les chapitres ne font que très rarement plus de 5 pages, ce qui permet d'avancer assez vite dans le récit. Et malgré que ce livre ait été traduit de l'islandais, l'écriture est surprenamment très fluide. Pas de meurtre, ni d'hémoglobine mais j'ai quand même aimé ce livre et je trouve qu'il a vraiment sa place dans cette sélection en lice pour le Prix du Meilleur Polar car il en comprend tous les codes. Même si ce livre peut être lu indépendamment de la suite (le second tome est déjà traduit en langue française), la fin m'a laissé un goût de trop peu en bouche.

Le résumé ne laisse filtrer que peu d'informations quant à la teneur réelle de l'histoire et j'ai été agréablement surprise de ce livre me donnant l‘envie de poursuivre ma route avec cette auteure et de découvrir les deux prochains tomes de cette trilogie pour connaître finalement le fin mot de l'histoire. Mais sera-t-il élu Meilleur Polar??? Nul ne saurait le dire et vous devrez encore patienter un peu ;)
Lien : https://musemaniasbooks.blog..

Un auteur qui annonce que son polar fétiche est ‘Alex' de Pierre Lemaître, est un bon auteur.

Je dirais même plus, une auteure qui se présente ainsi : « Islandaise de naissance et multinationale de par mon éducation, mes thrillers se rapprochent autant du folklore islandais que des telenovelas mexicaines. J'aime voir l'écriture comme si c'était de la cuisine : les cuisiniers heureux font les meilleurs plats ! », est une auteure à suivre.

L'éditeur français place son livre sous la série Thriller et le sélectionne pour le prix du meilleur Polar, tandis que le livre est le tome 1 de la série ‘Reykjavik noir'. Un livre inclassable ? Non un livre de Sigurdardóttir, c'est assez clair comme ça.

Un livre avalé en deux jours – le style est frais, l'histoire plaisante et l'intrigue subtile. L'auteure ne se laisse pas piéger et sait nous mener par le bout du nez. le tout sur fond de crise bancaire en Islande, bien expliquée. Un nouveau phénomène islandais, qui n'a pas besoin d'hémoglobine pour faire monter la sauce.

A découvrir vite – pour ma part, je fonce acheter le tome 2 de la série, même s'il n'est pas encore sorti en poche.

Juré pour le prix du meilleur polar Points, j'ai eu la chance de recevoir lors du premier envoi : Reykjavik noir, tome 1 : Piégée de Lilja Sigurdardottir.
Second de la sélection lu, voir carrément dévoré, tellement j'ai été rapide à le lire alors que.. je ne suis pas spécialement amatrice des polars nordiques !
Mais là, quelle bonne surprise :)
Sonja risque sa vie à chaque fois qu'elle voyage car la jeune femme est devenue... passeuse de cocaïne. Elle est contrainte à un jeu dangereux avec de puissants narcotrafiquants.
Malgré sa tenue élégante, son habileté à tromper son mode, le vieux douanier Bragi ne s'y trompe pas, lui. Il est persuadé que la jeune femme est une passeuse, et pas une débutante !
Sonja est piégée de toute part mais elle a plus qu'un tour dans son sac... Qui piégera qui ??
J'ai adorée ce roman, je l'ai hyper bien ficelée. Sonja est hyper attachante, elle est séparée de son mari, voit peu son fils, et est contrainte de passer de la drogue. Ce n'est pas un choix, loin de là ! J'ai frissonné avec elle, espérant de tout coeur qu'elle arriverait à sortir de ce piège.
Le douanier Bragi est très attachant lui aussi, très touchant car il est préoccupé par la santé de son épouse.
Nous avons donc des personnages forts pour une histoire qui tient en haleine de la première à la dernière page.
Les chapitres sont courts, l'écriture puissante, on ne s'ennuie pas une seule seconde et l'ensemble donne un excellent polar.
Je n'ai qu'une envie : lire le tome deux, vivement qu'il sorte en poche !
je mets avec plaisir cinq étoiles.

Je n'ai pas été conquise par ce premier tome de la trilogie Reykjavik noir.
J'ai eu le sentiment que l'histoire a été diluée.

L'histoire s'articule autour de 3 personnages clés :

Sonja, jeune trentenaire, est devenue passeuse de cocaïne pour retrouver une indépendance financière qui lui permettra d'obtenir la garde de son fils.
Prise au piège de narcotraficants, elle prépare son indépendance et sa vengeance.

Bragi, est douanier à l'aéroport de Keflavik et malgré la pression de sa hiérarchie et de ses collègues, refuse de prendre sa retraite : sa femme est gravement malade et il a besoin de son salaire pour envisager de la soigner correctement et de la sortir de la maison de retraite.

Il observe Sonja, officiellement jeune femme d'affaires, faire régulièrement des allers-retours entre la capitale islandaise et le reste de l'Europe, jusqu'au jour où son intuition et son expérience vont le faire douter.

Enfin, Alga, aux prises avec la justice pour être impliquée dans le scandale financier qui a ébranlée l'Islande et bien d'autres pays en 2008.

J'ai trouvé l'intrigue un peu longue. le seul personnage qui m'ait vraiment plu est ce vieux douanier attendrissant.

Je ne sais pas si je lirais les autres tomes.... Mais peut-être que pour avoir une vue d'ensemble et pour que la construction de l'intrigue prenne toute sa saveur, cela est nécessaire...
Wait and see !

Je suis heureuse de tomber enfin sur un polar islandais que j'apprécie vraiment (que je ne lis pas juste parce que je me force à découvrir des auteurs de cette origine, mais bien parce que j'adore réellement l'histoire). L'histoire de Piégée se déroule en Islande, en pleine crise économique de 2010-2011, avec l'effondrement du marché, et au moment même où le monde entier a les yeux posé sur le pays insulaire à cause de son volcan en éruption dont le nuage de cendres a cloué plusieurs avions du monde au sol pendant un certain temps. le fait que le personnage principal soit une jeune femme est certainement pour quelque chose dans ma perception positive du récit. Sonja, mère séparée qui souffre de ne pas avoir la garde de son fils et qui est piégée dans un rôle de passeuse de drogue malgré elle. On est tout de suite empathique envers ce personnage qui essaie tant bien que mal de s'en sortir sans perdre la tête et dans le seul but d'assurer la sécurité de son enfant. En parallèle, on voit également la vie de Bragi, un vieux douanier très observateur que sa réalité rend très attachant aux yeux du lecteur, ainsi que celle d'Agla, une femme d'affaires impliquée dans un scandale financier de plusieurs milliards de couronnes qui n'assume pas son homosexualité ni son amour pour Sonja.
Le roman est très bien écrit: on s'attache d'emblée aux personnages, on comprend la situation de chacun, on veut à tout prix savoir comment se terminera l'histoire pour chacun d'eux. L'écriture est fluide, ça se lit rapidement et les descriptions sont parfaitement équilibrée pour illustrer le récit sans assommer le lecteur d'un surplus de détails inutiles. La fin, à la fois surprenante, libératrice et intrigante, donne envie de lire les autres tomes de la trilogie.

Parfait roman pour aborder la littérature islandaise en douceur!

En Islande, l'année de la grave crise financière et de l'éruption du volcan. Sonja est une jeune femme divorcée, son mari à la garde de son fils Thomas, mais ses problèmes financiers et sa relation homosexuelle avec Agla l'ayant pénalisée lors de la séparation, elle espère pour voir récupérer ce fils qui est tout pour elle.
Pourtant, Sonja est « piégée », elle est devenue l'un de ces passeurs de cocaïne, et fait de nombreux aller-retour depuis Londres ou Copenhague vers Reykjavik. C'est une professionnelle du trafic, les différentes astuces pour échanger les bagages ou éviter les fouilles n'ont plus de secret pour elle.
Mais elle veut se détacher de ce piège et retrouver une vie normale avec son fils. C'est compter sans Adam, son ex-mari, sans Bragi, le douanier averti et expérimenté et dont la femme très malade nécessite des soins importants, enfin sans Agla et ses histoires de trafic financier qui pourraient lui porter à nouveau.
L'intrigue est bien menée et entraine le lecteur qui vibre avec Sonja, espère le pire ou le meilleur pour elle. Les multiples niveaux d'intrigue laissent présager une suite intéressante puisque nous sommes devant une trilogie annoncée sur fond de crise financière en Islande et de trafic en tous genres, du coup on ferme ce tome et on attend impatiemment la suite !
Un bon polar porté par la traduction de Jean-Christophe Salaün, spécialiste de l'islandais, que j'avais découvert grâce à un épisode des carnets de l'édition de lecteurs.com

Lien : https://domiclire.wordpress...

Forcée de faire la mule pour importer de la cocaïne en Islande, Sonja doit déjouer les douanes, tenir tête aux malfrats qui l'ont piégé et maintenir sa couverture de femme d'affaire tout en s'occupant de son fils; tout un programme. L'autrice nous entraine dans la vie mouvementée de son héroïne en dosant bien ses divers aspects, en maintenant un suspense de situation en situation et en introduisant par la bande deux éléments perturbateurs: une amante troublée et un douanier très astucieux.

Les trucs de passeurs de drogue sont bien documentés et semblent plausibles. Mais ce qui m'a le plus frappé c'est la sensibilité de l'autrice aux réalités de mère et de lesbienne de Sonja. Au-delà des problèmes auxquels elle est confrontée, voici une femme déterminée, animée par des convictions fortes. Sur un fond de crise financière en Islande, voici un roman rondement mené, présenté sous un angle inhabituel, qui ne se perd pas en digression tout en prenant le temps de bien explorer ses personnages. Une réussite qui donne envie de suivre cette auteure.

Polar islandais aux belles critiques mouais bof
Je ne suis pas emballée
Pourtant suis fan de Indridason et Jonasson
Ici pas de flic bourru , 2 femmes et 1 douanier
A lui seul Bragi le vieux douanier malin vaut le détour
Une histoire sympathique mais rien d'exceptionnel
Pas de suspens ou si peu
Les magouilles financières m'ont ennuyée
Il manque quelque chose de captivant dans cette histoire , de prenant
Déçue mais je vais lire la suite pour voir s'il y a une amélioration ou si définitivement je passe à côté de cette auteure

Premier tome d'une trilogie islandaise.
On y croise une statue de Jón Sigurdsson, historien et homme politique du XIXe siècle, chef de file du mouvement pacifiste pour l'indépendance de l'Islande, alors rattachée au royaume du Danemark.
On boit du jägermeister (maître chasseur en allemand), liqueur allemande à base de plantes médicinales, les 56 herbes qui entrent dans sa composition sont tenues secrètes.
On est à Akranes, municipalité de 6 592 habitants située sur la côte ouest, ancien village de pêcheurs, une quarantaine de kilomètres au nord ouest de Reykjavik. L'ouverture d'un tunnel a permis l'implantation d'un grand nombre d'industries et permis la croissance économique de la ville.
On est dans les années 2010, 2011, la folie boursière a déjà fait des ravages, on recherche les coupables ou ceux qui n'ont pas d'autres choix que de porter la responsabilité de la crise, à tort ou à raison, le volcan crachouille ses fumées et l'Islande devient un titre de nos journeaux télévisés.
Pendant ce temps là, des couples essaient de se séparer, d'autres de se former. Des hommes, des femmes de tous âges et de tous milieux et un petit pion, objet de convoitise.
C'est très bien écrit, très addictif, on est pressé de découvrir la suite.
Les bémols :
Question littérature, des chapitres très courts, trop courts ? Qui se rapprochent plus d'un découpage de plans de film que d'une oeuvre littéraire mais qui offrent une respiration à l'action !
Question timing, combien de temps va t il falloir attendre le tome 2 .... la traduction c'est pour quand ?