Timeville

Faut-il souhaiter ou redouter se retrouver à Timeville ?

La famille Cartier va avoir tout le loisir de se poser la question.

David, Anna et leurs enfants Agathe et Tom sont projetés de l'année 2012 aux années 1980.

Coupe de cheveux à la Tina Turner et posters de Blondie sur les murs.

Plus de portable, DVD, GPS.

Seulement 3 chaines de télévision et pas encore de micro-ondes... La vie s'avère compliquée !

D'autant plus que David et Anna sont séparés, les papiers du divorce quasi signés et que ce coup du sort les obligent à cohabiter de nouveau.

Il va donc falloir faire contre mauvaise fortune bon coeur puisqu'il n'y a pas moyen de sortir de cette faille spatio-temporelle.

A l'école, les enfants font figure de maboules avec leur langage bizarre, leurs jeux venus d'ailleurs et leur connaissance de l'avenir.

Chaque membre de la famille Cartier réalise que sa vie ne sera plus jamais la même et va devoir composer avec un étrange personnage qui les observe en secret.

Ce qui paraissait être un cauchemar ne va t'il pas se transformer en seconde chance ?

Fan des années 80 bienvenue à l'époque du Rubik'cub !
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David et Anna sont au bord du divorce. Un soir, avec leurs 2 enfants, ils s'endorment en 2012. le lendemain matin ils se réveillent en 1980.

C'est très rigolo. Si les personnages sont stupéfaits par leur nouvel environnement, la lectrice quadra que je suis s'est régalée : on reparle du Franc, on évoque les modèles de voiture, les publicités, la mode, les artistes de variété…
Cette première phase jubilatoire s'émousse malheureusement assez vite.
L'histoire est relativement insignifiante, les personnages et les situations ne sont pas crédibles.

Néanmoins, je reste sur une impression positive.
C'était une lecture divertissante, idéale pour le métro !

Un roman un peu "clichés" sur les années 80 ! On y retrouve tout : chanteurs, films, objets ... C'est assez long et ennuyeux même si quelques pointes d'humour viennent sauver le tout.

J'’ai passé un moment sympathique mais je pense qu’il aurait mieux valu présenter cette intrigue à l’écran que sur papier !

Comment j'en suis arrivée à cet avis, rendez-vous sur mon blog !

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Une famille qui se retrouve propulsée dans le passé, et plus précisément dans les années 80, c'était prometteur. Je m'attendais à beaucoup rire grâce à ce livre. Mais je dois dire que cela n'a pas été le cas. J'ai souri, mais pas plus. Pourquoi ? Parce que l'auteur n'y va pas assez lourdement... En effet, j'aurais apprécié que les personnages soient plus déboussolés, et que les enfants notamment, qui n'ont jamais vécus jusque là dans les années 80, découvrent certains objets. Au lieu de cela, on a l'impression que tout le monde s'adapte plutôt rapidement. Et cela gâche l'intérêt de ce livre qui aurait pu être franchement plus amusant !

Si je n'ai pas d'information officielle sur l'auteur qui se cache derrière le pseudonyme de Tim Sliders, j'y ai pour ma part retrouvé de nombreuses similitudes, tant sur le style que sur le choix de la thématique, avec Tonino Benacquista (qui est également scénariste, comme par hasard...). La différence notable est l'absence du petit je ne sais pas quoi qui me met toujours un peu mal à l'aise, ce petit mal-être caché au fond que l'on retrouve chez l'auteur de Malavita (quoi que). L'action démarre au quart de tour, plongeant tout de suite le lecteur au coeur de l'action.
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Je salue l'idée originale de l'auteur et son interprétation mais il manque à mon sens quelque chose, un petit rien qui nous empêche d'embarquer dans l'univers de ce livre.

Et bien super décue par ce livre.
Il commence bien, bonne histoire mais ca s enlise tres vite, et ca devient lent et ininteressant.Pourtant je crois qu avec ce sujet y avait un bon bouquin a faire

Cuisinier de renom, David Cartier s'apprête à ouvrir un restaurant à New York. il lui reste pourtant une formalité à accomplir en France, avant de s'embarquer au bras de sa nouvelle conquête : signer les papiers du divorce et officialiser ainsi la fin de sa vie commune avec Anna.

Les événements ne se déroulant pas conformément à ses espérances, David passe la nuit sur le canapé de son domicile français, en compagnie d'une bouteille de whisky... et se réveille le lendemain matin, les idées embrouillées, dans un décor inconnu : une maison affreusement vintage et technologiquement démodée !

Lui-même se reconnait à peine et toute le famille semble avoir subi le même traitement : les voilà plongés dans les années 80, recommençant leur existence à zéro. Pas de restaurant étoilé pour David, ni de poste de chirurgien pour Anna. Quant à Agathe et Tom, leurs enfants, ils découvrent une vie sans internet, ni portables et encore moins de jouets sophistiqués.

Peu à peu, cohabitant tant bien que mal et tentant de regagner leur époque, ils découvrent que leur connaissance du futur est davantage une malédiction qu'un atout et qu'il est dangereux de s'immiscer dans leur passé...

Emballée par l'idée de base de ce roman, je me suis lancée avec joie dans cette lecture, j'y ai découvert une aventure agréable, faite de souvenirs et de clins d'oeil assez sympathiques : le voyage était original, le ton léger, les références plaisantes à retrouver.


Par contre, les personnages me sont restés plutôt étrangers et j'ai à certains moments tiqué sur la chronologie des événements, certains faits ou personnages étant évoqués trop tôt par exemple. Ceci dit, cela ne m'a pas empêchée de passer un bon moment en compagnie de la famille Cartier, une lecture distrayante, sans prise de tête, ni plus, ni moins !
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David et Anna, parents de deux enfants, sont sur le point de divorcer lorsqu'ils se réveillent un beau matin… dans les années 1980, précisément à l'époque où ils se sont rencontrés. Il va bien falloir s'entendre pour réussir à revenir dans le présent… Autant le pitch est sympathique, autant je n'ai pas réussi à prendre de plaisir à cette lecture. Je n'ai accroché ni avec les personnages, ni avec les situations qu'ils vivent. Dommage.
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