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4,01

sur 207 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Attention électro choc....Après le scotchant "Monsieur le commandant" et le génial polar "l'affaire Léon Sadorski" on touche le fond de l'ignominie avec "l'étoile jaune de l'inspecteur Sadorski", un polar historique absolument vomitif et qui ne peut que hanter les nuits de certains. Extrêmement documenté, cette ordure de flic qu'est Sadorski -guère pire que ses collègues et ils sont nombreux- enquête sur un attentat parisien en 1942 quand la loi sur le port de l'étoile jaune donne un mauvais tournant à notre histoire. Tous les blablas télévisés sur le Vél d'hiv ne sont que du pipi de chat à côté des détails de ce roman qu remet bien les idées en place et il faut s'accrocher: c'était peut-être il y a longtemps maintenant...mais le quotidien de la guerre est immonde, tout autant que les idiots qui se croient bien sous tous rapports. L'écriture du début m'a un peu bloquée, j'avais l'impression de lire un étalage de faits historiques mais cela laisse très vite la place au héro qui mérite juste la corde. On peut se féliciter que les lois de l'intérieur aient évolué depuis 70 ans, encore faut-il que les directives soient comprises de tous...je vais passe à quelque chose de beaucoup léger pour digérer ce qui m'a tourmentée pendant 5 jours en me disant que certains l'ont vécu pendant cinq ans, l'horreur indescriptible. Un grand bouquin
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Après l'affaire Léon Sadorski, ce deuxième ouvrage me tendait les bras. Et j'ai reçu une claque!!

Paris sous l'occupation en 1942, est formidablement restitué. L'inspecteur Sadorski est un salaud de la pire espèce; odieux, agressif, opportuniste, pervers, violent et j'en passe, antisémite par nature et policier par vocation, sans scrupules, puisqu'il ne fait «qu'obéir aux ordres!!!!» cette phrase que l'on entendra dans la bouche des tortionnaires de tout poil à la libération. les nazis ont trouvé en lui (et en beaucoup d'autres) le relai parfait de leur politique d'extermination.

Ce livre démontre une fois de plus la responsabilité de la France (l'Etat Français) dans la Shoah.La politique de collaboration a permis à des individus tels que Sadorski de commettre des atrocités sous «couvert» de la loi....

L'auteur a fait un travail d'historien et de mémoire remarquable, c'est très documenté (notamment tout ce qui concerne la rafle du Vél d'Hiv.), la police française sous l'occupation n'en sort pas grandi, une partie de la population non plus...

Ce livre est très «agréable» à lire (malgré le contexte) et superbement écrit. Merci M.Slocombe
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Lundi 8 juin 1942, Sadorski a rendu sa justice. Cela s'est passé il y a une heure et tout est raconté à la fin de "L'affaire Léon Sadorski" dont je conseille de relire le dernier chapitre juste avant de commencer la lecture du deuxième tome,

L'étoile jaune de l'inspecteur Sadorski : l'inspecteur principal adjoint ( IPA ) Léon Sadorski de la 3ème section des Renseignements Généraux à la préfecture de police de Paris ( dans la pratique lui et ses hommes enquêtent sur les étrangers et les Juifs non terroristes) bénéficie de quelques jours de congés, cela signifie accompagner Julie Odwak rendre visite à sa mère. Julie vient de fêter ses 15 ans, elle vit désormais seule, ses parents sont juifs et ont été arrêtés. Sadorski prend aussi le temps d'aller se confesser. Il ne se prive pas de dénoncer anonymement le patron d'un bar-tabac qu'il soupçonne d'écouter la radio anglaise. Il se promène à vélo en banlieue et va pique-niquer avec sa femme Yvette et découvre le cadavre d'une femme.

Abominable Sadorski dans l'horreur du Paris occupé de l'été 1942 ! Depuis le dimanche 7 juin, le port de l'étoile jaune est obligatoire pour les juifs. Toute infraction implique un internement dans les camps de Drancy, Beaune-la-Rolande, Pithiviers, Royallieu près de Compiègne ou à la caserne des Tourelles à Paris ( c'est là qu'est détenue la mère de Julie ). Ces camps ne sont qu'une étape, la note de service de l'occupant est très claire : "fournir cent mille juifs pour le camp d'Auschwitz ... dans l'intérêt de la production d'équipements pour la Waffen SS". Nuit et brouillard.

La Résistance s'organise et réagit par des attentats, comme celui du bar-tabac "Chez Moreau". L'explosion d'une valise bourrée d'explosifs a fait deux morts et plusieurs blessés graves. Les Brigades Spéciales ( BS ) dont le personnel fréquentait les lieux étaient visées. Les Brigades Spéciales de la PJ enquêtent sur les ennemis intérieurs. Parmi les terroristes, plus de 50 pour 100 sont juifs. Alors l'IPA Sadorski, fin connaisseur des milieux juifs et dont la réputation de flic efficace et expérimenté n'est plus à faire, va symboliser le rapprochement entre les RG et les BS. L'enquête s'oriente vers les communistes et leurs membres armés, le détachement Valmy.

Ce deuxième opus avec l'IPA Sadorski comme personnage principal laisse une large place à l'enquête, avec des planques interminables, des filatures à perdre haleine, des études balistiques déterminantes. Il interroge et pour impressionner il brandit et place sa carte professionnelle sous le nez de ses interlocuteurs. Rusé Sadorski, perspicace Sadorski, efficace Sadorski ! Mais il laisse le sale boulot aux autres et du sale boulot il y en a à cette époque.

L'Histoire n'est pas oubliée. Romain Slocombe s'appuie sur ses recherches minutieuses dans les archives de l'époque. Il nous parle cinéma, nous explique comment est organisée Radio-Paris créée par les allemands et nous présente les véhicules électriques de l'époque. Il explore les arcanes du Parti Communiste de l'époque, évoque Jacques Duclos et le Colonel Fabien. Pour le PC finie la Drôle de Guerre, fini le Pacte germano-soviétique, place à l'action et aux règlements de compte. L'auteur nous fait visiter les jardins et l'hospice de Bicêtre. le lecteur croise Dora Bruder si chère à Patrick Modiano. Et puis à l'aube du 16 juillet 1942, l'opération "vent printanier" commence. L'Etat français collabore ouvertement avec les nazis sur la "question juive". René Bousquet, Emile Hennequin donnent les ordres. 7000 policiers et gendarmes obéissent. C'est la Rafle du Vél d'Hiv que Romain Slocombe relate dans plusieurs chapitres à la lecture poignante : une détention sordide avant les camps de la mort. Nuit et brouillard.

Enigmatique Sadorski, une véritable ordure mais il protège Julie et s'efforce de sauver Chana. Avec un tel personnage principal, le récit de Romain Slocombe pourrait lasser voire rebuter. L'auteur réussit à attiser la curiosité, à surprendre et bien sûr à passionner. Un récit écrit avec beaucoup de coeur, de rage et de lucidité pour ne pas oublier qu'à cette époque un régime fasciste légal par un concours de circonstances dirigeait la France.

Lien : http://mille-et-une-feuilles..
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Une lecture éprouvante. C'est assez dérangeant de lire un livre que l'on trouve excellent tout en détestant le sujet et son personnage principal.
Si après le 1er opus, dans lequel Sadorski était déjà un vrai salaud, on pouvait espérer que son "séjour" berlinois provoquerait quelques failles et l'amènerait à se remettre en question,on se rend rapidement compte qu'il n'en est rien dans la suite de ses "aventures". Bien au contraire.
Encore plus tout (antisémite,profiteur,cynique, violent...), encore plus décomplexé face à son rôle et à la collaboration nous suivons son quotidien lors de l'été 42 et notamment les tristes journées du 16 et 17 juillet avec la rafle du Vel d'Hiv.
Noir, très noir. On regarde la bête immonde droit dans les yeux.
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Où l'on retrouve l'IPA Sadorski, qui donne de plus en plus envie de vomir (si cela était encore possible après l'Affaire Sadorski) au fur et à mesure que la furie et la folie se déchaînent contre les Juifs et contre les communistes. On assiste à toute l'horreur de la rafle du Vel' d'Hiv' et aux premiers départs massifs de femmes et d'enfants vers les camps de concentration et la mort assurée.
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C'est le deuxième volume consacré à cet odieux personnage de Léon Sadorsky.

Il enquête sur un attentat survenu dans un café situé en face du Palais de justice à Paris.

Parallèlement à ses activités de flic au service de l'occupant, il tente d'assouvir son désir en "s'occupant" de la petite Julie, adolescente juive âgée de quinze ans dont Sadorsky a fait arrêter la mère...

Il offre l'image d'un bon mari, mais n'hésite pas à profiter de la situation pour obtenir des faveurs de femmes traquées...et pour les racketter.

Au-delà de l'intrigue, à travers ce personnage nauséeux, Romain Slocombe nous propose un grand reportage sur les "moeurs" de la police dans le Paris occupé.

Pour ce second opus, c'est encore du grand Slocombe !!!
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Second volet consacré, par Romain Slocombe, à  l'inspecteur Sadorski. Sinistre personnage, policier zélé, affecté aux Renseignements Généraux dans Paris occupé. 
Ouvertement antisémites,  farouchement anticommuniste,  et, accessoirement,....obsédé sexuel.
Chargé, par sa hiérarchie, d'enquêter sur un attentat commis dans un bistrot où se réunissent ses collègues,  et sur l'assassinat d'une jeune femme dont il a découvert lui-même le cadavre, Sadorski, sous la plume de l'auteur, nous livre une vision criante de vérité sur l'un des épisodes les plus sombres de notre histoire.
Slocombe nous jette à la face cette vérité historique que beaucoup feignent d'ignorer encore de nos jours. Il évoque,  ici, la vie des Juifs sous l'occupation , obligés de porter l'étoile jaune,  persécutés , surveillés, contrôlés,  arrêtés  arbitrairement, les terribles journées de la rafle du Vel' d'Hiv, sous l'oeil d'une population souvent complice par adhésion aux idées nazies,  par intérêt,  par peur, par lâcheté même, rarement révolté. Une complicité que l'on retrouve dans la police sous couvert, comme le dit l'inspecteur lui-même, du "bien faire son métier"...Chez les politiques bien évidemment avec le gouvernement de Vichy, chez les journalistes, toujours prompts à alimenter la propagande. On vit ces heures sombres le ventre noué.
Derrière ce portrait d'un policier aux ordres, chez qui on pense parfois déceler une once d'humanité,  Romain Slocombe nous pousse à réfléchir. Il est trop tard pour faire le procès de ces gens-là, certains furent jugés en leur temps. Mais le lecteur, qui au fil des pages croise tous ces personnages (qui, pour la plupart et y compris ce policier, ont réellement existé) doit se poser des questions :
- Comment une partie de la population en est-elle venue à haïr des hommes, des femmes et des enfants avec qui elle vivait en parfaite harmonie jusqu'à l'arrivée de l'envahisseur ?
 - Et moi, qu'aurai-je fait à leur place ? Ce flic qui est finalement un salaud à nos yeux, à notre regard d'aujourd'hui, l'était-il plus que tous ces gens qui fermaient les yeux et se bouchaient les oreilles ?
Après avoir lu L'affaire Sadorski, jamais je ne pensais lire la suite. Cet ignoble individu me hantait. Et puis j'ai rencontré l'écrivain,  un entretien riche et instructif, sur son travail, ses recherches,  ses motivations. Si le devoir de mémoire doit passer par le roman, je vous le dis, amis lecteurs, L'étoile jaune de l'inspecteur Sadorski en est une parfaite illustration.
Tout au long de ma lecture de L'affaire Sadorski,  j'ai eu des envies de tuer ce personnage, dans les premières pages de L'étoile jaune de l'inspecteur Sadorski,  cette obsession est revenue, mais au fil de ma lecture, mon regard a changé, non pas que j'éprouve une quelconque empathie pour lui, mais parce que, par son écriture,  Romain Slocombe m'a plongé dans la Grande histoire et m'a fait comprendre que son flic n'est qu'un pion sur l'échiquier.
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Le premier opus en compagnie de Léon Sadorski m'avait déjà fait froid dans le dos et aussi beaucoup réfléchir. Nous le retrouvons dans ce nouveau tome plus virulent et remonté que jamais. Romain Slocombe nous propulse une nouvelle fois en plein coeur de l'occupation allemande à Paris durant la Seconde Guerre mondiale. Il nous introduit dans les coulisses de la collaboration et de la traque des indésirables selon l'idéologie nazie. Léon Sadorski est un personnage plus qu'ambigu à la psychologie brouillée. Les descriptions des différentes scènes de tortures auxquelles nous assistons ainsi que de la rafle du Vél' d'Hiv sont impressionnantes et difficilement tenables. La violence et l'acharnement sont inouïs. Ce roman est percutant et saisissant.
Lien : https://danslemanoirauxlivre..
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Une immersion dans la sombre période de l'Occupation dont on ne sort pas indemne.

Je remercie NetGalley ainsi que les Éditions Robert Laffont, Collection La Bête Noire pour m'avoir envoyé ce Service Presse qui m'a permis de découvrir l'inspecteur Léon Sadorski.

Ce livre a été un choc. C'est une chose de savoir ce qui s'est passé sous l'Occupation, c'en est une autre de le vivre de l'intérieur. L'inspecteur Léon Sadorski est un personnage tout à fait détestable : pétainiste, antisémite, raciste, pervers et j'en passe. Mais il est capable d'actes de générosité intéressée et il est terriblement humain ce qui le rend malgré tout fascinant.

L'histoire de « L'étoile jaune de l'inspecteur Sadorski » se déroule en 1942 au moment où le port de l'étoile jaune devient une obligation pour tous les Juifs âgés de 6 ans et plus et à l'époque de la rafle du Vél d'Hiv. L'inspecteur poursuit deux enquêtes : l'une concernant l'attentat du 29 mai 1942 perpétré dans un bistrot et qui a causé deux morts et quelques blessés ; l'autre celle de la découverte du corps d'une femme exécutée dans la forêt de Notre-Dame. Quand Léon Sadorski est sur une piste, il est pire qu'un pitbull et il ne lâche pas l'affaire. Tout lui est bon pour la faire progresser, mensonges, menaces, chantage, violences… de plus, les 16 et 17 juillet 1942, il va participer à la rafle du Vél d'Hiv.

Romain Slocombe nous plonge dans la vie quotidienne sous l'Occupation et nous fait découvrir à quel point les Français sont coupables de collaboration. Les Allemands sont loin d'être responsables de toutes les victimes. C'est la police et la gendarmerie française qui ont organisé la rafle du Vél d'Hiv, certes sur la demande des nazis, mais ce sont eux qui ont procédé aux arrestations sans tenir compte de l'âge des enfants, des mères enceintes, de l'état des malades et des blessés, ce sont eux qui ont décidé de déporter tous les enfants, eux qui frappaient et torturaient dans les locaux des brigades. Les témoignages sont accablants et ne laissent place à aucun doute.

Le personnage de Léon Sadorski est troublant. C'est un anti-héros par excellence. Il est vraiment une ordure qui n'hésite jamais à jouer la comédie, se faisant passer pour un résistant auprès de jeunes femmes qu'il a envie de mettre dans son lit. Par un subtil mélange de chantage et de menaces, il n'a aucun scrupule à forcer une jeune femme juive à coucher avec lui. Il “adore” sa femme mais cela ne l'empêche pas de la tromper sans vergogne. Malheur à ceux et celles qui parlent trop devant lui, trompés par sa bonhomie factice ou ses déguisements. Il n'a aucun scrupule à dénoncer ceux qu'il soupçonne d'accointances avec les communistes ou les résistants. Il est passé maître dans l'envoi de lettres anonymes. Par contre, j'ai vraiment apprécié les rares moments où empêtré dans ses mensonges, Sadorski s'est retrouvé à faire une bonne action malgré lui.

La propagande antisémite est à vomir et l'arrestation des milliers de Juifs, les mauvais traitements qu'on leur fait subir, leur internement à Drancy, Les Tourelles, au Vél d'Hiv m'ont révulsée. J'ai eu plusieurs fois l'envie d'arrêter ma lecture et de ne pas la reprendre mais j'avais le sentiment qu'au nom de la vérité, je devais continuer.

L'écriture de l'auteur est captivante et c'est saisissant. J'ai vraiment eu l'impression d'être de retour des années en arrière et de me retrouver en 1942. Romain Slocombe a fait un important travail de recherche, il n'hésite pas à retranscrire des circulaires de l'époque, à citer des personnages historiques, ce qui contribue à rendre encore plus réaliste son récit.

Un polar historique très très noir, des personnages d'époque haïssables, une lecture dure et sans compromis mais totalement addictive.
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C'est une nouvelle plongée dans l'histoire de la France en 1942 que nous propose Romain Slocombe dans son dernier ouvrage « l'étoile jaune l'inspecteur Sadorski ». Il serait facile de porter un jugement sur le comportement de ce personnage flic avant tout, un personnage pathétiquement humain ( et non pas humaniste), dans une période troublée de notre histoire. Facile en effet avec le recul des années de considérer et de réduire ce personnage au rôle de salaud primitif, Vichiste avant tout, pas complétement pro-allemand mais presque, anticommuniste, antijuifs, raciste…. le cliché serait trop simple.
Ce que nous offre Romain Slocombe, en plus d'un roman noir d'une très grande qualité, c'est une plongée au coeur de notre histoire qui soulève des questions sur notre société actuelle et peut-être que l'intérêt de ce livre, outre sa richesse historique en faisant participer les personnages à la tristement célèbre « rafle du Vel'd'hiv » ou l'opération « Nachts und Nebel » , les personnages savamment construits, une plongée dans le quotidien de nos grands-parents ou arrière-grands-parents, l'intérêt de ce livre donc est peut-être de nous amener à nous poser une seule question : « et moi, qu'aurais-je pu choisir dans ces circonstances ».
Une question qui est aujourd'hui d'actualité, alors que dans beaucoup de pays voisins et dans la nôtre, certains extrémismes sont de plus en plus ancrés dans notre société, qu'il s'agisse d'extrémisme de droite ou de gauche, car dans un cas comme dans l'autre si on ne fait pas d'omelette sans casser les oeufs, rien n'est jamais tout blanc ou tout noir.
En conclusion, « l'étoile jaune l'inspecteur Sadorski » démontre une fois de plus, si besoin en était, que Romain Slocombe et l'une de nos plumes les plus talentueuses.
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