Le pavillon des cancéreux est le deuxième livre de
Soljenitsyne que je lis, et, encore une fois, je ne suis pas subjugué.
Probablement, je n'ai pas réussi à capter le ou les messages que l'auteur voulait faire passer.
Voulait-il parler de la maladie et des différents comportements des malades et des soignants vis-à-vis du cancer ?
Voulait-il critiquer le régime et son organisation bureaucratique ?
Voulait-il rapporter son expérience personnelle dans ce type d'hôpital ?
J'ai détecté un peu de tout ça. Cependant, j'ai trouvé cette oeuvre trop nébuleuse. S'étirant sur sept cents pages, j'ai peiné.
Une chose est certaine, je ne tenterai pas de lire à nouveau des romans de cet auteur.