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Acheté en poche sur reco librairie l'A-C. Roman à système. La construction et "l'habileté" priment sur la psychologie (chaque chapitre -> 1 mari 1 portrait peint de l'héroïne, chronologie chamboulée). Je n'entre pas dedans. Pas de style et traduction médiocre. Juliet le perso central me laisse froide. Aucune sympathie ni tendresse pour elle. Du coup ses maris et ce qui s'ensuit m'indiffèrent itou. Je lâche p 143 (sur 450). Je remets en jeu/vente sur PM.
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Ce roman, c'est une histoire de femmes et d'art. C'est une femme qui décide de prendre sa vie en main malgré les autres, malgré ses parents, ses enfants et sa communauté. C'est l'histoire d'une femme qui décide d'exister, de vivre enfin, sans plus se soucier des convenances. C'est un livre fort sur la libération de cette femme, qui nous montre tout le chemin parcouru au fil des décennies. A découvrir !

Juliet Montague est une aguna. Dans sa communauté juive, elle n'est plus grand chose depuis que son mari les a quitté, elle et ses enfants. Comme seul le mari peut décider de divorcer, elle est coincée : elle ne peut pas se remarier, elle n'est pas divorcée, elle n'est pas veuve. Si tous ses voisins admirent son courage, elle est déshonorée et suscite messes basses et commérages. A la fin des années 50, le jour de ses 30 ans, sa vie prend un tournant différent. Alors qu'elle se promène dans Londres avant de faire l'acquisition d'un frigidaire – cadeau d'anniversaire éminemment utile – elle rencontre un artiste, Charlie, à qui elle va commander un portrait. Parce qu'elle a un don : elle sait, à la vue d'un tableau, si il aura du succès, s'il dégage quelque chose. Sa passion se réveille, et sa carrière s'envole : grâce à Charlie et ses amis peintres, elle ouvra une galerie d'art, et s'émancipe peu à peu de ses parents et de sa communauté, sans pour autant les renier.

Un roman tout à fait fascinant qui nous offre plusieurs histoires. D'abord celle de Juliet qui petit à petit, sans renversement de situation soudain, va prendre sa vie en main, et décider que le départ de son mari peut être un tremplin vers une vie qu'elle n'avait imaginé, loin de l'entreprise de lunettes familiale. C'est aussi l'histoire de ses enfants, Frieda et Léonard, qui cherchent leur place dans ce nouveau monde en construction d'après guerre, entre des grands-parents conservateurs qui appliquent les lois juives avec respect et leur mère, qui choisit une autre voie, plus fantasque, et ce loin d'un père qu'ils ont à peine connu. C'est également une immersion dans les traditions juives, les fêtes, les lieux de culte, les spécialités culinaires. L'histoire, aussi, de ce mari d'origine hongroise, Georges Montague, pris dans la guerre et qui a l'outrecuidance de voler le portrait de Juliet, peint quand elle était enfant. C'est l'histoire d'un monde qui change, c'est une partie de l'histoire du féminisme, de cette femme qui décide de se construire seule, de vivre de sa passion, malgré les obstacles dus à son sexe. Et pour finir, c'est une histoire de l'art des années 60, de cette figuration qui n'est plus à la mode, d'artistes qui se cherchent dans de nouveaux courants, de cet air de liberté qui les touche.

Juliet est un personnage complexe, qui adore voir comment les autres la voient. C'est pourquoi elle se constitue au fil des ans et des décennies une vraie collection de portraits d'elle-même. Est-ce pour compenser celui voler par son mari ? Est-ce parce qu'elle essaie de se reconstruire et porte plus d'importance qu'elle ne le pense au regard des autres ? Ou est-ce pour compenser la « galerie des maris disparus » qui paraît dans les journaux yiddish pour retrouver ces maris qui ont fui leur foyer, et dans lesquels la photo de George a figuré ? En tout cas, l'auteur utilise les portraits pour construire son roman : chaque chapitre correspond à un tableau, chacun de ces derniers est classé par ordre chronologique. Les mentions appartiennent à un catalogue d'exposition, et la clé du mystère nous est donnée en fin de roman, mais je ne vous en dévoilerai pas plus !

C'est un roman dense, aux personnages puissants, difficiles à oublier. Chacun d'entre eux marque l'histoire de Juliet, et leurs différences font de ce livre un roman où on ne s'ennuie jamais. de la banlieue londonienne à la Californie, de la galerie londonienne à la campagne anglaise, des diners du vendredi familiaux aux happenings et vernissages, on vit les aventures de Juliet avec entrain, on suit ses nouvelles idylles romantiques avec enthousiasme.

Un beau roman bien écrit, extrêmement riche, à découvrir de toute urgence !
Lien : https://breveslitteraires.wo..
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Il est des livres qui sont une certitude. Pas le moindre doute quand on le sort d'une étagère, mais plutôt la conviction profonde que c'est le bon livre, à ce moment précis.

C'est exactement ce qui s'est passé pour ce roman de Natasha Solomon. Quelques jours d'intense fatigue, de lecture laborieuse autour d'un obscur roman que j'avais tiré de mon étagère, la crainte de la pénibilité du suivant alors que je regardais les titres de ma PAL, et puis le regard attiré vers la tranche de ce roman, alors qu'il était pourtant caché derrière les autres. J'ai pourtant essayé d'en feuilleter un autre, censé être plus léger, une romance moderne, grisante, j'en étais convaincue, mais non. C'était le moment de "La Galerie des maris disparus", alors j'ai écouté cette petite voix qui se faisait insistante...

Ce roman a comblé toutes mes espérances. Voire plus encore. Il faut toujours écouter nos petites voix.

Juliet a tout pour être heureuse : des parents aimants, un quartier soudé qui vit au rythme des préceptes du judaïsme, un mari qu'on lui envie, et qu'elle aime, même s'il a la fâcheuse tendance à s'adonner au jeu (mais comme elle se dit, au moins il ne boit pas), et deux enfants merveilleux. Elle a vraiment tout pour être heureuse, jusqu'à ce jour qui, pourtant, commençait comme tous les autres jours... Son mari disparaît, emportant avec lui le seul objet de valeur qu'elle possède: un tableau qu'un artiste avait peint d'elle alors qu'elle n'était qu'enfant.

Commence pour elle la disgrâce, elle est une "aguna", femme abandonnée mais qui ne peut divorcer, seul les hommes ont ce privilège. Et elle doit subvenir à ses besoins et à ceux de ses enfants, retourner travailler dans l'entreprise bien trop grise de son père. Elle qui voit les couleurs comme personne, qui a le don de déceler l'art, le vrai, doit se cantonner à un monde qui n'oscillerait qu'entre le blanc et le noir. Mais si finalement, l'abandon de son mari était une véritable libération ? Si elle pouvait commencer à vivre ? Elle se décide à franchir le pas et entame une vie de portraits et de rencontres, une vie d'amour et d'art, une vie de liberté...

J'ai adoré tourner les pages de ce romans au gré des portraits de Juliet qui vont jalonner sa vie. La construction de ce récit est très intéressante et originale. Chaque chapitre se construit autour d'un de ses portraits, et à travers ce puzzle qui n'est qu'une multitude de fragments de qui elle est, se reconstitue sa vie.

Femme forte, femme courage qui, au-delà de la traîtrise et de l'abandon, doit faire face au rejet de l'émancipation d'une culture qui vit ancrée dans un certain passéisme. Femme qui cherche à s'assumer mais en restant fidèle à ce qu'elle est, sans tomber dans une frénésie trop facile d'excès qui m'aurait sans doute empêchée de m'attacher à elle, Juliet avance, s'affirme, aime et nous fait l'aimer pour ce qu'elle est, parce que son monde est fait de couleurs, parce qu'elle ne veut qu'une chose, vivre...


Une belle réflexion sur le judaïsme, sur la place des femmes, de l'amour et de l'art. Un vrai moment de bonheur...
Lien : http://lelivrevie.blogspot.f..
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Les nombreuses références à la culture juive sont un peu passées à côté de moi sans grand impact. Ou c'est moi qui suit passée à côté, c'est selon. N'étant pas juive, et n'y connaissant pas grand-chose à la base, il y a beaucoup d'éléments qui ne m'ont pas interpellée alors qu'ils l'auraient dû. Ce n'est pas particulièrement gênant, mais cela a certainement joué un grand rôle dans le manque d'enthousiasme que j'ai éprouvé durant cette lecture.

L'histoire est intéressante, l'héroïne aussi, mais la construction, du moins dans la première partie, est franchement confuse et le cheminement pas toujours équilibré. L'auteur passe parfois beaucoup trop de temps sur un moment particulier dans la vie de Juliet et pas assez sur d'autres. À certains endroits, j'avais envie que ça avance plus vite (quel est l'intérêt de cette scène ?), à d'autres, au contraire, j'aurais bien voulu rester et creuser un peu plus longtemps.
Lien : http://leslecturesdecat.cana..
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excellent !
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Dans un style agréable, Natasha SOLOMONS raconte l'histoire de JULIET qui, au hasard de sa modeste vie de mère de famille, choisit,comme cadeau d'anniversaire, de s'offrir son propre portrait par un peintre inconnu au lieu de s'acheter un frigidaire…
Elle n'a aucun talent artistique mais s'aperçoit qu'elle a le don de le détecter chez les autres….
Son mari disparait sans laisser d'adresse…et JULIET va créer une galerie de peinture ….
Ce très bon livre,profondément humain, est rempli d'émotions…
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Récit du parcours d'une femme juive, Juliet, qui, abandonnée par son mari, va s'émanciper tout en s'adonnant à sa passion pour la peinture, faisant fi des conventions sociales et religieuses. Très beau livre à l'écriture fluide et poétique qui donne à voir et à lire, au fil des portraits réalisés pour Juliet et dont elle est le sujet, l'évolution d'une femme qui conquerra la liberté d'être soi sous toutes ses facettes...
Lien : http://la-decouverte-de-soi...
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Juliet Greene a grandi au sein d'une communauté juive très conservatrice. Son père, propriétaire d'un magasin d'optique, a toujours rêvé d'avoir un fils à qui léguer son commerce et très tôt, Juliet est donc persuadée d'être une source de déception pour lui. Un sentiment d'autant plus tenace que la jeune femme est par ailleurs la seule de sa famille à n'avoir jamais eu besoin de lunettes. Dans la famille Greene qui a bâti sa réussite professionnelle sur la vente de verres correcteurs et qui considère les troubles de la vue comme une bénédiction, la vision parfaite de Juliet est perçue comme une exception regrettable.

Adulte et mariée, Juliet s'est toujours conformée du mieux qu'elle le pouvait aux attentes de sa communauté. Mais après la disparition aussi soudaine qu'inexplicable de son mari, George, la jeune femme se retrouve affublée du statut peu enviable de aguna. Car selon la Loi juive, la procédure du divorce repose sur le consentement mutuel et obéit à des règles strictes selon lesquelles l'époux doit matériellement, en personne, ” donner le guet “ (le libellé de divorce) à sa femme qui doit accepter de le recevoir. Ainsi, dans le cas où l'époux ne peut pas donner l'acte de séparation (en cas de disparition par exemple), la femme ne peut être déclarée divorcée. Considérée comme encore mariée, il lui est alors impossible d'envisager de contracter une nouvelle union. Dès lors, toute relation avec un autre homme est considérée comme adultère et les enfants issus d'une telle union illégitimes.

Juliet se retrouve donc livrée à elle-même du jour au lendemain, seule avec ses deux enfants à charge. Et alors que toute sa famille tente de se convaincre que cette disparition ne peut être que temporaire, elle est la seule à appréhender les évènements avec lucidité. Alors qu'elle tente de mener l'existence que l'on attend d'une femme de sa condition, Juliet va donner à sa vie un tournant inattendu le jour de son trentième anniversaire. Après avoir longtemps économisé pour acheter un réfrigérateur, la jeune femme va, dans un accès d'audace, renoncer à cet achat afin de s'offrir un portrait d'elle réalisé par un jeune artiste croisé par hasard. Un choix qui, bien qu'anodin en apparence, va pourtant faire basculer la vie de cette mère de famille rangée. Car ce portrait à son effigie va être le premier d'une longue série que Juliet complètera toute sa vie, au fil de ses rencontres avec de nombreux artistes. Grâce à son oeil avisé, elle va progressivement intégrer le milieu artistique et s'imposer comme une dénicheuse de nouveaux talents, jusqu'à monter sa propre galerie.

Au fil de ce catalogue de portraits dans lequel chaque tableau nous dévoile une facette de l'héroïne, Natasha Solomons retrace des fragments de la vie de Juliet. de son enfance aux dernières années de sa vie, en passant par sa rencontre avec George, l'auteure retrace, à travers les multiples rencontres artistiques de Juliet et les portraits qui en naîtront, la vie incroyable et la trajectoire hors du commun d'une femme enchaînée à son statut marital et en perpétuelle quête d'identité.

De la construction même du récit, aussi astucieusement pensée que habilement menée, aux éléments en apparence secondaires de l'intrigue, rien ne semble avoir été pensé au hasard par l'auteure. Dans ce récit aux allures de conte initiatique, Natasha Solomons s'attache à donner un sens au moindre détail. Ainsi, lorsque George disparaît, il emporte avec lui l'objet le plus cher aux yeux de Juliet, un portrait d'elle peint par un client de son père lorsqu'elle était encore enfant. Au-delà de l'aspect matériel, le vol de ce tableau illustre bien comment, à travers son acte, George va priver Juliet d'une part de son identité. Car en disparaissant de la sorte sans accorder le divorce à son épouse, il la condamne à vivre enchaînée à son statut marital, sans possibilité de se reconstruire. Son obsession à se faire portraitiser par tous les artistes qu'elle rencontre devient dès lors révélatrice de sa quête d'identité désespérée.

De la même manière, le fait que Juliet soit l'unique membre de sa famille à ne pas avoir besoin de lunettes, outre le fait de témoigner de sa singularité, démontre également qu'elle est la seule, au sein de cette communauté très conservatrice, à ne pas voir le monde avec des oeillères. Les lunettes sont d'ailleurs un accessoire récurrent tout au long du récit dont l'auteure use afin de symboliser le regard critique porté par la société et le jugement permanent auquel chacun est soumis. Ainsi, lors de l'exposition que Juliet organise, « les critiques se distinguaient par leurs lunettes à monture noire» et le médecin qu'elle consulte quelques temps plus tard pour obtenir la pilule (alors réservée aux femmes mariées) portait quant à lui des « lunettes demi-lune ». Natasha Solomons pare ainsi, avec beaucoup d'intelligence et de subtilité, son récit d'autant de détails symboliques et pertinents afin d'appuyer son propos et de donner davantage de profondeur et de sens à son intrigue.

Pourtant, le soin permanent apporté aux symboles ainsi que la richesse du texte en connotations n'ont malheureusement pas suffit à me faire oublier un style minimaliste, avec des tournures de phrases peu recherchées et une écriture manquant de fluidité. Il m'aura ainsi fallu près de soixante-dix pages pour pleinement m'immerger dans l'histoire et m'accoutumer à ce style que j'ai personnellement trouvé peu engageant. Car si j'ai été totalement séduite par la teneur du message véhiculé et l'architecture du récit, j'ai en revanche eu beaucoup de difficultés à éprouver de l'empathie pour les personnages, peu séduite par l'écriture de Natasha Solomons, que j'ai trouvée dépourvue de charme et de raffinement.

Malgré cet écueil, « La galerie des maris disparus » n'en reste pas moins un roman de grande qualité, à la fois original et d'une grande intelligence, qui nous entraîne dans l'effervescence du milieu artistique londonien du début des années 60, à la rencontre d'une femme qui, tiraillée entre sa communauté trop conservatrice et un milieu artistique décomplexé, peine à trouver sa place.

Natasha Solomons nous livre ainsi le portrait d'une femme à la fois en quête d'identité, de liberté, d'amour et de réponses à ses questions. Condamnée à vivre enchaînée à un mari qui l'a abandonnée et réduite au statut de aguna par sa communauté, Juliet devra faire preuve de courage et d'audace pour briser ses chaînes, s'affranchir de l'opinion publique afin de conquérir sa liberté, et exister autrement qu'à travers son statut de femme mariée.
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Les thèmes de ce roman avaient tout pour me plaire, cette femme qui n'est pas maître de son destin à cause de la religion, le conflit entre les enfants, la mère et les grands-parents concernant cette relation à la religion, ces pages autour de la peinture, tout cela aurait pu faire un roman réussi mais je ne trouve pas qu'il le soit. Il est rare que j'ai cette impression mais j'ai trouvé que ce roman n'avait pas d'âme, les personnages m'ont semblé bien creux et j'ai détesté la relation que Juliet établit avec ses enfants, je dois même dire que certaines phrases m'ont choquée, comme celle où elle dit que dès la naissance de son fils, elle sentît qu'il serait toujours son ami (contrairement à sa fille). C'est donc elle par cette pensée qui met sa fille à l'écart. Je n'ai donc pas aimé Juliet (et qu'est-ce que c'est que cette idée d'appeler un personnage Juliet Montague si l'histoire n'a rien à voir avec Roméo et Juliette ?) et même les pages sur l'art m'ont semblé creuses. On ne peut pas traiter de l'art sans un minimum de subtilité. Et puis il y a des phrases que j'ai trouvée maladroites et que j'ai dû relire plusieurs fois pour les comprendre. J'espère que le manoir de Tyneford que je vais vite commencer ne me laissera pas la même impression.

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En 1958, Juliet est une jeune femme qui vient tout juste d'être quittée par son mari, George, avec deux jeunes enfants, Frieda et Léonard. Ses parents, M. et Mrs Greene, Juifs originaires de Pologne, observent strictement les règles de leur communauté. La situation de Juliet ne peut pas être pire, puisqu'elle n'est pas veuve et qu'elle ne peut pas divorcer, son George étant parti sans laisser de trace. Elle est dans une sorte de no man's land très inconfortable, qui la fait regarder de travers par les autres.
Plus gênant encore, Juliet a une personnalité un peu fantasque, elle prend des libertés qui chagrinent sa mère, ne va pas à la synagogue toutes les semaines et ne respecte pas les us et coutumes de leur petite communauté. On chuchote dans son dos. Lorsque le roman démarre, Juliet a économisé sou par sou pour l'achat d'un réfrigérateur. Il suffit d'un peintre croisé sur sa route et l'argent disparaît dans la commande d'un portrait d'elle. Cet acte impulsif va changer toute l'orientation de sa vie.
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