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Tiens donc, v'là ti pas une ancienne connaissance que nous avions croisé dans le tome 2 "L'affaire Lady Alistair" : la jeune Cécily qui avait été enlevée et droguée (y'a plus d'jeunesse) ! le monde est petit, non ?

L'auteur, pour nous mettre directement dans le bain, a décidé de nous entraîner dans un lieu d'aisance... et elle fait bien puisqu'elle a l'ambition de nous faire découvrir le Londres tel qu'il était, avec ses bons et ses mauvais côtés. Là, je vous rassure de suite, l'auteur ne sombrera pas dans la scatologie. Quoi ? Ah, vous auriez aimé des détails... Pas de chance.

Aux latrines, la demoiselle Cecily (et pas Cécilia) n'a pas l'air dans son assiette... Non pas qu'elle souffre de diarrhée aiguë, mais juste parce qu'elle est escortée par deux vieilles biques mal baisées, aux manières fort rêches (normal, jamais baisées, donc, elles sont fort sèches).

De plus, la jeune fille est engoncée dans une toilette qui entrave le moindre de ses mouvements. A si elle avait connu les jean's ! Plus simple d'aller au petit coin en jean's que lorsque qu'on est empêtrée dans des jupons, des sous-jupons, des corsets, des machins et des trucs qui rendent l'opération de vidange aussi complexe que si on devait extirper une idée lumineuse du cerveau de Nabilla et Bush Jr.

C'est son jour de chance puisqu'Enola est elle aussi dans les toilettes (les miracles de la narration) et notre pauvre coincée lui communiquera un message de détresse original...

Un peu à la manière de Louis de Funès dans "La folie des grandeurs", quand il était déguisé en vieille rombière et qu'il agitait son éventail devant Blaise (Yves Montand) qui ne l'avait pas reconnu ou celle d'Alice Sapritch (même film, scène du stip), l'allusion sexuelle en moins, évidemment !

Le cerveau un peu embrumé, Enola mettra quelques heures avant de comprendre le message caché de la pauvre fille qui ne pouvait même pas aller faire pipi toute seule.

Dans quel guêpier Cécily Alistair s'est-elle donc encore fourrée, bien malgré elle ? Aurait-elle enfilé une guêpière devant ses gardiennes eunuques ?

Pourquoi sa mère, lady Theodora, ne répond-t-elle à aucun message et ne reçoit-elle aucune visite ? Chez les gens de la Haute, c'est "shocking".

Que cache cette famille (un ogre, une sorcière ?) qui, pour bien se faire voir de la bonne société, n'hésiterait pas à compromettre la naïveté de Cecily, qui est jeune fille abîmée moralement car elle souffre de troubles de la personnalité ?

Vous le saurez en lisant le tome 4 des aventures d'Enola Holmes !

Dans cette série, c'est place aux femmes (contrairement aux histoires de Conan Doyle). La petite soeur fictive de Sherlock en profitera pour nous décrire l'injuste condition de notre sexe "faible".

Enola est une jeune fille rebelle (héritage de sa suffragiste de maman) : elle s'est enfuie pour éviter de se retrouver enfermée dans une école pour "jeunes filles de bonne famille" par son frère Mycroft parce qu'elle n'en a rien à foutre d'apprendre "les arts domestiques dans l'attente de son prochain mariage". Et puis quoi encore ?

Loin d'être une pique-assiette, elle a monté son cabinet spécialisé en recherches, se camoufle sous des déguisements et se joue même de ses propres frères, passant sous leur nez sans qu'ils ne la reconnaissent ! Humour garantit.

Enola se trouvera aussi face à Sherlock et on sent bien qu'elle a envie de se rapprocher de lui, de tisser des liens affectifs avec le frangin, mais la confiance est une denrée rare chez les Holmes ! Pourtant Sherlock est amusé par le tour de force de sa petite soeur et de la colère qu'elle suscite chez l'aîné, Mycroft.

Ce quatrième tome se lit d'une traite ! Chapeau bas aussi, parce qu'au fil des tomes, le style d'écriture ne se délétère pas et ne sombre pas vers le pis en pis (Gruz, je viens de la placer). Mieux, je bois du petit-lait en lisant Enola.

J'ai déjà fait l'éloge de ses nombreuses qualités et je le répète, cette série est une lecture agréable, sans prise de tête et conseillée pour ceux qui voudraient découvrir Sherlock Holmes autrement que par les récits de son père littéraire.

Convient aussi pour les amateurs de gentilles intrigues policières - qui ne casseront pas trois roues au chariot d'un cul-de-jatte - avec un fond de vérité Historique ou pour ceux qui, après avoir lu des tas de romans noirs, voudraient se refaire une santé.

Convient aussi pour les holmésiens de tous poils qui voudraient changer de lecture et trouver un peu de fraîcheur.

Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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Vous connaissez tous le fameux détective Sherlock Holmes? Peut-être aussi son frère, Mycroft? Eh bien, désormais, voici la petite soeur, Enola Holmes!
J'avais depuis longtemps entendu parler de cette série et l'autre jour, tandis que je furetais dans les rayons de ma collègue documentaliste, j'ai eu envie de découvrir ce personnage. J'ai donc, au hasard, saisi l'un des volumes.
Il s'agit du 4ème: "Le secret de l'éventail". Ne pas avoir lu les trois premiers tomes n'a pas été handicapant. On comprend vite de quoi il en retourne, ainsi que la situation d'Enola: depuis la disparition de sa mère, la jeune demoiselle a quitté le domicile et endosse différents costumes afin de pouvoir vivre seule, libre, et surtout assouvir sa passion: enquêter sur les disparitions...ce qui n'est pas du goût de ses frères, qui veulent absolument lui faire retrouver une vie sage et rangée de demoiselle digne de ce nom!
Des mystères? Il y en a un, évidemment, dans ce tome: Lady Cecily Alistair disparaît devant les yeux d'Enola, juste après lui avoir glissé dans la main un mystérieux éventail rose...
Si l'intrigue policière demeure simple, elle n'en est pas moins très plaisante. le personnage d'Enola y est pour beaucoup: c'est elle qui raconte l'histoire, et comme elle n'est pas dénuée d'humour, le récit est parsemé de moments cocasses et de réparties cinglantes.
La présence de ses frères crée quelque chose d'assez original car nous n'avons pas l'habitude de les voir relégués au second plan!
En bref, une série savoureuse adaptée à tous dès 12 ans: l'âge préconisé par l'édition me semble justifié.
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Un livre tout aussi plaisant à la lecture, l'ouvrage était bien présenté et j'ai particulièrement aimé le touché de ce bouquin. Il m'a mise tout de suite à l'aise et je me suis très vite fait emporté par l'écriture bien maitrisé de Nancy Springer. Elle arrive à transformé de simples mots en étincelles de bonheur et de gaieté qui nous enivrent dès les premières phrases. Un vrai petit trésor regorgeant de merveilles, je l'ai adoré ! Il était aussi magnifique que les précédents tomes.
Enola ne cessera jamais de m'impressionner, elle grandit de plus en plus en maturité et sait constamment comment se sortir des situations les plus embarrassantes. Bref, chapeau à notre jeune enquêtrice en herbe !
On retrouve dans ce tome un personnage qui figurait déjà parmi le second tome des enquêtes d'Enola Holmes. Je trouve que c'est une bonne idée, cela nous familiarise plus avec l'histoire.

Enola à put reprendre ces affaires, dans son cabinet de recherche toutes disparitions. C'est donc avec un certain étonnement qu'elle retrouve Lady Cecily Alistair dans les toilettes publiques maltraitée par deux vielles mégères. Entrainé par celles-ci elle ne laisse derrière elle qu'un éventail rose. Enola va donc se plonger à la recherche de cette ancienne connaissance en ne manquant pas de se retrouver face à son frère, Sherlock qui, lui aussi, est à sa recherche. Enola va malgré tout, faire tout son possible pour retrouver Cecily et percer les mystères de cet étrange entrevue.
Une série fantastique, je n'ai rien à redire mis à part : il faut les lire !
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Enola Holmes, la soeur du grand Sherlock, a repris ses activités au bureau des disparitions du Dr Ragostin mais elle ne peut pas dire que les affaires qu'on lui propose soient palpitantes. Mais tout change, le jour où elle reconnaît la jeune Cecily Alistair qui semble à nouveau dans les ennuis. Alors qu'elles se trouvent dans les premières toilettes publiques de Londres, elle voit Cecily se faire malmener par deux horribles mégères aristocrates qui font tout pour entraver sa liberté. Quand Cecily remarque Enola, son regard lui envoie des signaux de détresse et avec un éventail, elle lui communique sa peur. Mais rapidement, ses deux chaperons mettent fin au manège et la font quitter les lieux. A sa grande surprise, Enola s'aperçoit que Lady Cecily lui a laissé son éventail rose. A partir de là, elle n'aura évidemment plus de cesse que de découvrir ce qui se trame.

J'ai bien fait d'espacer un peu la lecture des tomes car j'ai retrouvé avec un réel bonheur la petite soeur de Sherlock Holmes dans cette enquête bien ficelée qui la réunit à une ancienne connaissance. Je ne sais pas si c'est le temps passé ou si ce tome était vraiment meilleur, mais il m'a semblé plus abouti et différent des volumes précédents. Bien sûr, l'enquête est assez mince même si elle se révèle des plus surprenantes. Mais un des plus grands intérêts réside dans l'évolution d'Enola, qui devient plus mature. Au fur et à mesure des épisodes, on voit la jeune fille devenir une femme, loin de l'aide d'une mère. Roman d'apprentissage, cette série montre une enfant grandir par ses propres moyens dans une ville hostile. Et même si Enola se débrouille bien et fait face aux dangers qui la guettent, la présence de sa mère lui manque. Et cela se ressent beaucoup. La disparition de cette dernière reste un mystère et Enola commence à se faire à l'idée qu'elle doit apprendre à vivre sans sa maman. Un autre thème qui est exploité dans ce tome est la relation d'Enola avec son frère Sherlock. Elle se développe d'une manière inattendue et amicale. Mais si le grand détective comprend le besoin d'indépendance et les qualités intellectuelles de sa jeune soeur, il n'est pas encore prêt à accepter qu'une jeune fille se compromette de la sorte.

Cette aventure souligne aussi la difficulté à être une femme à cette époque et surtout, une femme différente de ce que la société attend. Un thème qui m'est cher.
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Nancy Springer tisse des liens avec un précédent opus dans ce quatrième tome. En effet, nous retrouvons l'héroïne de la disparition de lady Alistair, encadrée par deux duègnes. Sa situation est malheureusement simple : déshonorée par son enlèvement, gauchère contrariée, Cecily n'est pas mariable, et son père s'est chargé de lui trouver un mari qui veuille bien d'elle, moyennant finance. Sa mère, lady Theodora est partie à la campagne avec sa vaste progéniture, elle tente d'empêcher ce mariage arrangé, ce qui est loin d'être facile dans cette société où le père avait toute puissance sur sa femme et sur sa progéniture.
Fort heureusement, Enola a pris confiance en elle lors de cette enquête. Elle s'aventure de nuit dans des quartiers éloignés, de son port d'attache, l'East End. Elle approfondit sa connaissance d'un monde de misère, qu'elle tente de soulager avec ses propres moyens.
L'éventail est un roman de contraste. D'un côté, les aristocrates sont très occupés à protéger leurs biens, à organiser des bals excentriques, dans le but de percer enfin dans le monde. de l'autre côté, les très pauvres trouvent dans le meilleur (ou le pire) des cas refuge dans les orphelinats, aux règles stricts. Avec encore plus de chance, elles seront embauchées comme bonnes dans une des splendides demeures… des aristocrates rencontrés ci-dessus.
Mycroft et Sherlock ont désormais des avis divergents sur l'avenir de leur petite soeur. Qui l'emportera ?
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Il s'agit du quatrième opus des aventures d'Enola Holmes, qui n'est autre que la jeune soeur de Sherlock Holmes ! Agée de seulement quatorze ans, elle décide, à la disparition de sa mère dans le premier tome, de voler de ses propres ailes afin d'échapper à une existence conformiste toute tracée. D'ailleurs ENOLA est l'anagramme de ALONE, c'est donc seule qu'elle ouvre un cabinet, celui du « Docteur Ragostin, spécialiste en recherches – Toutes disparitions...

Dans le secret de l'éventail, Enola vient à nouveau en aide à Cecily Alistair, une jeune lady rencontrée dans le volume précédent. Cette dernière semble en mauvaise posture, prisonnière de deux harpies en attendant son prochain mariage. Or, elle ne laisse à Enola pour tout indice qu'un éventail rose festonné de plumes, dernière fanfreluche à la mode des réceptions victoriennes...

J'aime beaucoup cette série qui permet une immersion dans la société victorienne, de son raffinement comme de sa cruauté. Si je ne suis pas passionnée outre mesure par l'intrigue – notamment parce qu'en fervente admiratrice de son frère aîné Sherlock, je conçois difficilement qu'elle puisse lui glisser entre les doigts ! -, je me délecte en tout cas de cette promenade dans l'Angleterre du XIXème. Et de fait, on s'y croirait vraiment et on frissonne avec l'héroïne lorsqu'elle traverse de nuit des quartiers défavorisés déguisée en chiffonnière. A l'inverse, on découvre toutes les petits subtilités de la vie mondaine : recettes d'époque pour se faire un masque capillaire, le thé tout en rose, les derniers atours à la mode, le langage secret de l'éventail...
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Toujours aussi prenant.
Je regrette un peu de les avoir lus dans le désordre, mais ce n'est pas très grave, et je me régale vraiment dans cette série.
Entre l'énigme, la personnalité d'Enola, les rencontres avec ses frères, tout est intéressant, et surtout la vie dans le Londres de la fin du 19e siècle.
De plus, les intrigues se recoupent, on croise ici des personnages rencontrés à d'autres occasions.
Et j'y ai découvert les scytales, dont j'ignorais tout (y compris l'existence et le nom !!)
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Enola se cache toujours de ces deux frères, sous le nom d'Ivy Meshle, au coeur du quartier de l'East End de Londres. Son « emploi » en tant que secrétaire du Dr Ragostin lui procure beaucoup de plaisir, surtout lorsqu'il s'agit d'enquêter.
Cela fait maintenant 10 mois qu'elle se trouve à Londres et son expérience du terrain en fait une excellente enquêtrice grâce à divers personnages qu'elle s'est créée. Dans ce tome 4 on retrouve lady Cecily Alistair (connue dans le tome 2) complètement désespérée et gardée par deux mégères qui ne sont autres que ces tantes, enrubannée dans une robe qui lui entrave les jambes (pour l'empêcher de courir ?), lorsqu'elle reconnaît Enola un espoir renaît et arrive, malgré la surveillance rapprochée des deux femmes, à laisser un éventail rose qui permettra peut être à Enola de lui venir en aide.

Parallèlement à cette affaire, puisqu'à ses yeux s'en est bien une, Enola recherche toujours une marque d'affection de sa mère, disparue il y a presque 1 an.

De tome en tome, le caractère d'Enola évolue, sa maturité et sa débrouillardise se développent pour en faire une détective qui pourrait largement concurrencer son frère Sherlock, lequel est constamment sur son chemin. On retrouve cette époque troublée par une misère grandissante, les descriptions de quartiers riches et pauvres en donnent une image bien réelle de la société londonienne notamment l'infériorité des femmes.
Un autre point se développe et qui attise encore plus la curiosité du lecteur : la complicité qui se créée entre le frère, Sherlock, et Enola ; même si celle-ci continue de fuir pour ne pas entrer dans un pensionnat de jeunes filles où veut la mettre son autre frère Mycroft.

On salue le courage de cette jeune fille qui mène ses enquêtes tambour battant, c'est une série qu'il faut découvrir, les personnages se font de plus en plus profond. Un vrai régal !

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En attaquant ce quatrième tome, j'étais toute contente de retrouver un personnage d'une précédente enquête : la Lady Alistair du tome 2. Cette intéressante jeune fille qu'Enola retrouvait brillamment disparaissait un peu trop vite à mon goût. Las ! Aussitôt retrouvée, aussitôt reperdue ! Enola se lance à nouveau à sa recherche mais, cette fois, c'est la famille même de la jeune fille qui semble s'ingénier à la cacher en attendant d'accomplir un horrible projet !

Cette fois, Enola n'est pas seule sur le coup. Un autre détective est sur la piste de Cecily Alistair : Sherlock Holmes lui-même. Tout en menant une véritable enquête contre-la-montre, Enola doit également éviter que ses frères ne réussissent à lui mettre la main dessus pour la ramener dans le droit chemin !

Pour cette fois, j'ai abandonné (temporairement) la version audio pour la version papier. La version poche n'est peut-être pas la plus folichonne. Je trouve que ces romans gagneraient à être servis par des objets-livres un peu plus originaux et esthétiquement soignés même si celui-ci est peut-être celui qui a la plus jolie couverture.

C'est encore une enquête menée tambour battant, mélangeant mystère, action et humour. Ce tome est peut-être moins marquant que les autres. Il peut paraître un peu réchauffé, moins "politique" dans son propos et faisant peu avancer la situation d'Enola. C'est cependant toujours un vrai plaisir à lire. Pour dire, je préférais passer mes soirées en compagnie d'Enola plutôt que regarder un film.
Je n'ai pourtant plus l'âge préconisé. La série est conseillée à partir de 12 ans et, effectivement, le vocabulaire, en particulier, me paraît parfois trop soutenu pour des lecteurs plus jeunes. Par contre, des lecteurs bien plus âgés peuvent trouver beaucoup de plaisir dans cette lecture. J'en suis la preuve !
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Dans ce quatrième tome, Enola retrouve Cecily Alistair, jeune fille qu'elle avait déjà recherchée dans le second.
Encadrée par deux parangons de vertu, Cecily lui fait comprendre par code de l'éventail qu'elle a de nouveau des soucis.
Disparue de nouveau de chez elle, Lady Alistair également absente, lady Cecily ne lui laisse comme indice un simple éventail en papier rose. Simple? A première vue mais il pourrait receler des indices pour découvrir le nouveau lieu de détention de la jeune fille. Enola ne perd pas une minute pour partir à sa recherche avec un concurrent à ses talons. Sherlock sera enfin très présent dans cette enquête auprès de sa jeune soeur.
Un tome où les liens entre la fratrie sont le plus mis en avant, Sherlock étant plus proche dans cette enquête menée de concert.
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