Le secret de Chanda

« le secret de Chanda » est un livre magnifique écrit par Allan Stratton et paru en France en 2006. Chanda, une jeune fille africaine âgée de 16 ans, nous raconte son histoire bercée de secrets et bouleversé par la mort de ses proches : sa soeur Sara, ses beaux pères et sa mère. Elle endosse un rôle d'adulte alors qu'elle n'est encore qu'une enfant. Elle doit abandonner ses études pour s'occuper de ses frères et soeurs et va héberger sa meilleure amie Esther atteinte du sida contracté en se prostituant pour des raisons financières. Dans ce livre, Chanda voit sa famille mourir du sida sans rien pourvoir faire et sans rien pouvoir dire. Car le sida est une maladie tabou, on la cache, on la dissimule sous des mensonges (la mère de Chanda va essayer de retourner dans son village natal pour mourir sans que sa famille n'ait pas à subir le regard de mépris et de dégoût des autres…). Malgré cela Chanda va vouloir briser ses diktats et va ramener sa mère chez elle pour qu'elle meurt en paix. C'est également à ce moment là que sa voisine Mme Tafa va enfin prendre son parti et va la défendre devant leurs voisins. La citation « Ne pleure pas devant eux, Chanda m'a murmuré calmement, maman, ne leur fait jamais ce plaisir » résume assez bien ce livre. On se rend compte, au fil de notre lecture, que les êtres humains se jugent entre eux sans connaître le vécu de l'autre ni les épreuves qui font leur quotidien. le thème de ce roman est magnifique, l'auteur a réussi à expliquer la maladie et ses conséquences. Ce livre est un message d'espoir et de révolte. Pour ma part, ce livre est à lire absolument.

Je viens de terminer ce roman qui m'a beaucoup marquée (surtout la deuxième partie).
C'est l'histoire de Chanda et de sa famille, d'abord petite fille puis qui grandit et déménage, après la mort de son père et son frère dans une explosion à la mine d'abord, puis en fonction des beaux-pères que rencontre sa mère.
Le récit et le secret dont il est question débute alors que le dernier-né, la petite Sara, vient de mourir et c'est Chanda, âgée de 16 ans, bonne élève au lycée, qui s'occupe des démarches pour l'enterrement. On découvre sa volonté, la force de son caractère et son envie d'épauler et de soutenir sa mère dans les épreuves qu'elle affronte alors que son compagnon actuel, Jonah, n'est qu'un ivrogne sur qui elle ne peut compter. Il y a aussi Madame Tafa, la voisine, qui sous couvert d'aider les autres parce qu'elle en a les moyens, véhicule ragots et rumeurs tout en distillant ses conseils partout dans le quartier. Et puis il y a Esther, la meilleure amie de Chanda qui a arrêté le lycée pour gagner de l'argent en posant pour les touristes, depuis que ses parents sont morts du sida, mot synonyme de malédiction taboue dans la ville.
C'est un roman qui expose les conditions de vie particulièrement dures dans cette région d'Afrique et les préjugés et conséquences liées au virus du sida. Mais c'est aussi l'histoire d'une adolescente qui rêve de poursuivre ses études mais se retrouve en charge de sa famille. C'est une histoire d'amitié qui surmonte les préjugés et fait face courageusement à la rumeur.
A lire !!! (à partir de 14 ans)

Ce livre fait également partie de la série de livre que j'ai emprunté au CDI du lycée. Cela faisait un bon moment que je voulu lire le Secret de Chanda, et lorsque je l'ai vu, à porté de mes mains, je l'ai emprunté dès que j'ai pu. Bien avant que je le lise, je savais que ce roman était à lire, il y a tellement peu de livre abordant le thème du sida, malgré tout, ce sujet reste tabou. C'est pour ça qu'avant de commencer la critique du livre en lui même, je préfère vous dire qu'il est vraiment à lire, au moins pour en savoir un peu plus sur la situation de millions (milliards ?) de gens, obligé de se cacher. Pour avoir en connaissance qu'il y a bien des choses pour quoi nous devrions nous battre, et que ceci est important et ne devrais pas être laissé dans l'ombre, que c'est un combat pour lequel nous devrions nous battre.

Bref, l'écriture est fluide, agréable, un peu comme pour Mes deux Allemagne, simple à comprendre mais absolument pas enfantine. Les horreurs sont présentent dès le départ, impossible d'y échapper, dès le premières lignes, il s'agit du décès d'une enfant, que dis-je, d'un bébé. Tout de suite, nos sommes installé dans un univers hostile, où des choses terribles se produisent. le personnage central, qui est aussi le narrateur (omniscient), s'appelle Chanda, facile à s'identifier à elle, du fait que tous ses sentiments et tout ce qui se passe et s'est passé dans sa vie est bien expliquer, d'autant plus qu'elle a mon âge (seize ans).

Bref, l'histoire est très triste, et aussi très horrible, c'est vrai. Beaucoup de problèmes qu'il y a en Afrique, l'ignorance, la honte, les traditions parfois inhumaines (il faut savoir passé au dessus de nos préjugés ethnocentristes, je l'ai bien compris, mais certain comportements vis-à-vis de tradition représentent parfois un réel danger), sont sans gêne abordés. Les personnages sont attachants, même Mme Tafa pour laquelle on éprouve souvent une sorte de répulsion, et quelqu'un d'attachant et d'agréable. Les enfants (le petit frère et la petite soeur de Chanda) sont touchants, et des hommes qu'à eu la mère de Chanda dans sa vie, seul le père de cette dernière représente un personnage agréable. Je ne vais pas faire l'énumération de tous les personnages, mais je me dois quand même de parler d'Esther, la meilleure amie, car il s'agit non seulement d'une critique contre l'ignorance qui autour la maladie du sida, mais aussi (au moins un peu), contre la prostitution.

Il s'agit donc d'un livre que je conseillerai à tout le monde de lire, car il est vraiment très beau et très intéressant !

ma chronique : http://romanian-wind.skyrock.com/3196531161-Les-gens-qui-te-demandent-comment-tu-vas-ne-sont-pas-tes-amis-Ce-sont.html

« le secret de Chanda » est un livre écrit par Allan Stratton et paru en France en 2006. La narratrice prénommée Chanda est âgée de seize ans et pourtant elle pense et agit comme une adulte. Chanda vit en Afrique avec sa famille. Elle nous raconte sa vie difficile. le livre aborde des sujets divers et variés sur la vie, tels que la prostitution, l'amitié, l'amour, la vie, la mort, les études, les sacrifices, les rumeurs et surtout le sida qui est le sujet principal du livre.

Du haut de ses seize ans, Chanda seule s'occupe des funérailles de sa petite soeur. Elle choisi seule le cercueil et tout ce qui s'en suit. Elle apprendra que la cause de la mort de sa défunte soeur est le sida. Elle aide beaucoup sa maman pour s'occuper de son demi-frère et de sa demi-soeur ainsi que de la maison. Elle s'occupe d'un beau père alcoolique et infidèle qui délaisse complètement sa famille. Elle s'occupe de ses études où elle excelle mais qu'elle mettra de coté car sa mère attrape le sida. Elle s'occupe de son ami, Esther, une prostitué qui elle non plus n'a pas été gâtée par la vie. Esther aussi attrape le sida lors d'une agression sexuelle. Bref, cette jeune fille âgée de seulement seize ans s'occupe de tout.
Chanda va casser les codes et va parler du sida alors que cette maladie est tabou là où elle vit en Afrique.
Chanda est une jeune fille forte, responsable et qui n'a pas froid aux yeux.

Ce livre est bouleversant malgré une fin qui pourrait être presque qualifié de happy-end. C'est un livre à lire. Ce livre est une vraie leçon de vie.

C'est un livre magnifique! je le conseille a tous, il est facile a lire! C'est un livre bouleversant qui parle de la maladie, de l'amitié, de la joie, de la mort. C'est une vraie leçon de vie!!!

Dans un petit village d'Afrique, rumeurs et ragots se répandent très vite. Les gens meurent de tuberculose, de cancer, de pneumonie officiellement, mais en réalité, ils meurent d'une maladie "trop effrayante pour en prononcer le nom". Autour du sida règne un grand silence : on le cache derrière des mensonges. Toutes ces personnes atteintes meurent dans la solitude, en secret pour ne pas déranger les autres.
Chanda, une jeune lycéenne de 16 ans, bonne élève, vit avec sa mère et son beau-père. Mais un drame arrive : Sara sa petite soeur meurt à un an et demi. Son beau-père devient ivrogne, elle ne peut plus compter sur lui et sa mère est bouleversée. Elle doit s'occuper toute seule des funérailles.
Depuis l'enterrement, Chanda voit son entourage attraper cette maladie sans rien pouvoir faire et sans rien pouvoir dire. Sara, sa petit soeur, et Jonah, son beau-père, sont tous les deux morts du sida. Esther, sa meilleure amie, attrape la maladie suite à une aggression sexuelle. Et lorsque l'état de sa mère s'aggrave suite au virus, Chanda abandonne peu à peu ses études pour pouvoir s'occuper de sa mère.
Malgré le regard méprisant des voisins, Chanda ne l'abandonne pas : elle n'a aucune honte à ce qu'elle ait cette maladie.
C'est également à ce moment que Mme TAFA, la voisine qui, sous prétexte d'aider les autres, parce qu'elle en a les moyens, raconte beaucoup de ragots et de rumeurs sur la maladie, finit par prendre son parti et va la défendre devant les voisins.

le Secret de Chanda, a été écrit en 2004 par Allan STRATTON, un romancier anglais du XXIème siècle. Il a été récompensé de plus de 21 Prix. Ce livre a été adapté au cinéma par Olivier SCHMITZ en 2010. Allan STRATTON a également écrit un roman plus récent : Les Chiens en 2015.

Une histoire fictive mais pourtant traitant d'une thématique principale des plus réelles : le sida.
Le Secret de Chanda est un univers assez hostile qui aborde différents sujets de la vie réelle.
Tout d'abord, le jugement des êtres humains entre eux sans même se connaitre : connaitre le vécu de l'autre, son passé et les épreuves auxquelles ils font face au quotidien. Cette méchanceté montre que les êtres humains peuvent être cruels entre eux et peu solidaires.
Heureusement qu'il existe la famille. En effet, Chanda rêve de poursuivre ses études mais elle doit d'occuper de sa famille et de sa mère malade du sida alors elle les abandonne.
Dans le roman, le sida est synonyme de malédiction. L'ignorance et le honte qui règne autour de la maladie souligne les conditions de vie particulières notamment dans cette région d'Afrique où les rumeurs, les préjugés et les conséquences liées au virus fusent sans limites.
Malgré ces cruautés, Chanda fait preuve de beaucoup de courage et de force face à toutes ces responsabilités.
L'histoire est assez triste, bouleversante et émouvante. Elle nous fait prendre conscience des difficultés de la vie quotidienne mais aussi d'être rejeté par tout le monde sous prétexte d'être soit disant victime d'une malédiction.
Le rythme, la structure du texte ainsi que les choix des caractères rendent la lecture agréable, fluide et facile à comprendre sans être pour autant enfantine.

Ce livre est une réelle leçon de vie : il nous sensibilise au problème du sida et nous fait comprendre qu'il n'y a pas de honte à avoir le virus et qu'il faut en parler pour pouvoir être soigné. Il faut casser le silence né de la peur du sida.

Ce sont deux livres assez facile à lire, qui parlent d'un sujet assez important : le sida (1er tome) et les enfants soldats (2ème tome). C'est l'histoire de Chanda, elle a la chance d'aller à l'école et de vivre +- correctement mais un jour sa petite soeur va mourir et sa mère va tomber très malade. Chanda va devoir s'occuper de sa famille et supporter les regards des autres.

C'est un livres très émouvant qui apprends beaucoup de chose sur la difficulté de vivre avec la maladie."
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Quelque part dans un pays d'Afrique, Chanda une jeune fille de seize ans rêve de s'en sortir et de faire des études. Elle continue à croire à un avenir meilleur en dépit de tout ce que sa famille a déjà endurer : le deuil, la pauvreté, la maladie, les bassesses des hommes, la haine, les coups du sort. Chanda rêve, même si elle voit bien que le monde qui l'entoure ne va pas bien. Sa meilleure amie Esther qui se retrouve quasi à la rue et traitée comme une pestiférée car ses parents sont morts honteusement, sa mère qui trime et dépérit de chagrin, la peur qui plane, celle de la honte, celle de la maladie innommable, « le SIDA » qui fait des malades des doubles victimes : condamnés à une mort certaine et parias au sein de leur propre famille, de leur communauté, obligés de mourir dans la solitude. En secret, pour ne pas heurter, déranger.

Oui , Chanda rêve en dépit des coups du sort. Car il y a une constante dans la vie de Chanda : la mort. Celle de son père et ses frères, celle de son beau-père, de sa soeur et d'autres encore à venir. Mais elle, ce qu'elle nous conte ici, c'est un message de vie, un combat, un message qui rappelle à ceux qui l'ont oublié que vivre c'est marcher la tête haute quoi qu'il arrive, aller de l'avant et combattre. Et surtout aimer. Des fois, il est bon d'attendre un peu avant de faire la critique d'un livre. Si le roman ne n'avait pas plus marqué que ça en le lisant, une semaine après je dois dire qu'il est encore très présent dans ma mémoire. Il me reste des images, des flashs, des impressions. C'est un récit remunant où l'air de rien on en vous épargne pas grand-chose : la mort, les viols, la prostitution. Tous les maux de l'Afrique. Alors on digère. Et après on réfléchit. On peut retrouver Chanda et sa famille dans un second roman : les guerres de Chanda qui traite cette fois-ci des enfants soldats.

Une histoire difficile car ce qui arrive à Chanda est tellement dur, terrible. On rentre vraiment dans l'univers de l'Afrique avec ses coutumes, ses contradictions, ses contraintes. Vraiment bien mais pas avant 14/15 ans.

Je ne peux pas trop en dire beaucoup de ce livre. Car je ne l'ai pas finis il était tellement ennuyeux on n'aborde pas le sujet on tourne autours du pot.