Le froid modifie la trajectoire des poissons

En raison d'une période de verglas qui paralyse tout le pays, le lecteur fait la connaissance des habitants d'un quartier montréalais. Et notamment de Boris Bogdanov, un mathématicien russe qui étudie la trajectoire des poissons dans un aquarium en fonction de la température de l'eau.

Alors qu'au départ, tous ces voisins s'ignoraient royalement, chacun étant concentré sur ses propres soucis, le verglas va rapprocher ces personnes que tout oppose. Et entraîner un mouvement de solidarité entre voisins et même une certaine ouverture d'esprit. Tout comme les poissons de Boris changent leur trajectoire face à une situation exceptionnelle.

Le froid modifie la trajectoire des poissons est un gentil roman d'hiver, comme un conte de Noël où tout est bien qui finit bien. Malheureusement, malgré certains secrets dévoilés, il est un peu trop plat pour être palpitant.

Etant donné que j'avais adoré Mais qu'est-ce que tu fais là, tout seul?, j'avais beaucoup d'attentes vis-à-vis de ce roman-ci. Trop sans doute pour vraiment l'apprécier.
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Un excellent livre qui m'as fait rire. La découverte de la relation entre des voisins québécois pendant un épisode neigeux particulièrement virulent au cours duquel tout le monde se retrouve obligé d'aider ses voisins vas faire changer des mentalités. J'ai ouvert ce livre grâce à son titre inhabituel et je l'ai lu jusqu'à la fin grâce au style de l'écrivain qui a su retranscrire, avec une touche d'humour, l'histoire poignante de voisins isolés. [Je conseille ce livre à partir de 16 ans] à ceux qui veulent s'amuser.

Je me voyais bien partie pour m'ennuyer sévère !! et puis non... , l'histoire de chacun est attachante. On s'intègre bien dans ce quartier; on a du mal à quitter tout se petit monde devenu solidaire. Belle histoire !!

J'ai trouvé ce livre un peu par hasard en me promenant sur le site de ma plateforme numérique. Quoi qu'en définitive, j'ai quand même acheté la version poche... moins chère ^^

Ce livre est un vrai petit bonheur. Une pépite québécoise. C'est l'histoire d'un petit garçon qui voit sa vie chamboulée par la séparation de ses parents. Il prie donc le ciel de l'aider.

Celui-ci va se déchaîner :

« La tempête de verglas de 1998 est l'une des plus grandes catastrophes naturelles dans l'histoire canadienne. Entre le 4 et le 10 janvier 1998, certaines zones de la vallée du Saint-Laurent depuis Kingston jusqu'aux Cantons de l'Est du Québec reçoivent jusqu'à 100 mm de granules de glace et de pluie verglaçante, ce qui représente plus que le double de la précipitation glacée annuelle normale de ces régions. La tempête cause jusqu'à 35 morts et 945 blessures, en plus que d'occasionner le déplacement temporaire de 600 000 personnes. Plusieurs routes sont fermées et des pannes d'électricité majeures se produisent, coupant le courant de presque 1,4 million de clients au Québec et plus de 230 000 dans l'est de l'Ontario. le coût financier total de la tempête est d'environ 5,4 milliards de dollars. » (Source : Encyclopédie canadienne)

Cette catastrophe naturelle (véridique) sert de cadre à l'histoire. Une poignée de voisins vont faire connaissance. Il y a Martin et Anne (les parents du narrateur dont on ignore le nom), Julie et Boris (et les poissons), Simon et Michel (le couple homosexuel) & Alexis et Alex (père et fils).

Rires, émotions, réflexions… et quelques expressions québécoises fort plaisantes !

Je recommande chaudement cette lecture rafraîchissante !

Challenge multi-défis 2017 (48)

L'histoire est racontée par un enfant de onze ans. C'est celle des habitants d'une petite rue de Montréal qui vivent côte à côte sans se connaître, chacun avec ses lubies et ses habitudes. Les parents du jeune héros lui annoncent qu'ils vont se séparer. Ce qui aurait pu être une catastrophe pour lui va être transformé par l'arrivée d'une tempête de verglas qui va inciter les habitants de cette rue à se rapprocher et s'entraider.
Il y a Boris, le mathématicien Russe égocentrique qui ne vit que pour ses poissons, Simon et Michel un couple d'homosexuels qui vit caché, Alex le copain du héros et son père Alexis, la belle Julie, danseuse dans un cabaret, et Martin et Anne les parents du narrateur... Les personnages sont attachants, leurs rencontres amusantes. C'est facile à lire et ça donne du baume au coeur, même si ce n'est pas de la grande littérature. Les expressions Québécoises déconcertent un peu au début, mais pimentent le récit.
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Un petit roman d'à peine 250 pages qui se dévore en une journée. Même si les personnages n'ont rien d'originaux et l'intrigue non plus, j'ai aimé me plonger dans ce récit.

Suite à une tempête de verglas à Montréal, quelques voisins d'un quartier vont s'entraider. Cet épisode va finalement changer leur vie. C'est un petit garçon que nous suivons au début du récit, ses parents lui annoncent leur décision de divorcer. Il refuse catégoriquement cette décision prise sans même lui demander son avis et demande donc au ciel de l'aider. La tempête aura lieu dès le lendemain et aidera beaucoup de personnes avant d'aider le petit garçon.

Le récit alterne les points de vue suivant les chapitres, nous suivons aussi ce que vivent les voisins. J'ai trouvé chaque personnage intéressant à suivre, ils vivent tous un bouleversement dans leur vie quotidienne grâce à cette tempête qui les poussent à se connaître et à être solidaires. On retrouve dans tous ces points de vue beaucoup d'humour et de tendresse.
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Une belle histoire qui nous redonne le sourire! La neige est pour une fois la bienvenue pour rassembler les coeurs.
Un roman qui détend et qui nous pousse à connaitre d'avantage les voisins!

Voilà une histoire qui réchauffe les coeurs.
Pour moi c'est une 2ème lecture. Après plusieurs années d'intervalle, le ressenti est le même: un pur plaisir.
J'aime beaucoup ces tranches de vie.
Hiver 1998, il fait un froid de canard au Canada. Encore plus dans le coeur d'un petit bonhomme de 11 ans (on ne sait pas son nom) qui vient de comprendre que ses parents se séparaient. Il n' a aucune envie d'être le 14ème gamin de sa classe à vivre en alternance. Il demande alors au ciel de l'aider. Et celui-ci va l'aider au delà de toutes ses espérances. Gel, coupure d'électricité... Les voisins qui n'ont pas l'habitude de se parler finissent par se rencontrer et s'entraider. J'ai aimé beaucoup de personnages: le couple simon et Michel, la danseuse Julie et ce sacré chercheur russe à qui l'on doit ce titre énigmatique.
Tout est bien qui finit bien?! Oui. Et ça fait du bien.

bonne idee d'histoire, mais un peu gnangnan a mon gout.

Sans répéter toute la trame de l'histoire, j'ai trouvé ce roman gentillet, mignonon et vaguement chou, quoi.

Pierre Szalowski, crache-moi ce vilain bisounours! Crache, j'ai dit! Tu tiens une chouette idée: une tempête de glace du tonnerre qui peut réunir (ou pas) les habitant d'un quartier. Mais bon sang, pourquoi tu nous dessine des bonshommes avec 4 doigts et un nez rond, comme dans les caricatures de mon neveux de 6 ans? Un couple homo qui se cache, un gamin dont les parents vont divorcer, une strip-teaseuse cynique, un bellâtre étranger vaguement scientifique, un père alcoolique et son gamin, teigneux de la classe... ben voyons, il ne manquait plus qu'une chose, c'est qu'ils se rencontrent, s'entendent comme larrons en foire et changent la face de leur petit monde! Ah, c'est ce qui arrive à la fin du bouquin? Au temps pour moi...

Voilà à quoi me fait penser ce roman: un Marie-Aude Murail, après reconversion pour adulte. Notez que j'aime beaucoup Marie-Aude Murail, mais surtout parce que je l'ai lue à 12 ans. Dans le registre "naïf et plein de bonnes intentions", on est quand même très loin de Pennac ici!

Un gros regret: l'écriture. Je n'ai pas lu le livre en français, et visiblement je rate bien des régionalismes qui m'auraient fait sourire et plus si affinités...
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