La Lanterne de Nyx, tome 1

Nous suivons dans ce manga une jeune fille du nom de Miyo.
Miyo a perdu son père il y a peu, elle vit désormais avec sa seule famille qui lui reste : son oncle. Seulement, son restant de famille qui l'accueille, ne lui porte que peu d'attention. Il la dénigre et la persuade qu'elle n'est bonne à rien.
Cependant, Miyo va trouver, par chance, un endroit où elle est accueillit et écoutée. Cet endroit, c'est une étrange boutique d'Antiquité, où le patron est un brin loufoque. En plus, notre héroïne, en ce lieu, va pouvoir apporter une aide précieuse puisqu'elle a la capacité d'entrevoir l'histoire des objets ; celle de leur propriétaire passé, présent et futur.
Depuis la découverte de cette boutique originale, Miyo va de rencontres en surprises.
Une nouvelle vie pleine d'aventures l'attend !

Petit coup de coeur pour ce manga ! Les dessins sont vraiment beaux et l'histoire est super chouette. Il a en plus pour lui, ce petit grain d'originalité. Mais ce n'est pas tout ; les personnages principaux sont aussi intéressants et très attachants.
C'est un avis un peu court, mais j'espère vous avoir transmis mon enthousiasme hihi, bref je vous le recommande chaudement !
Si vous aimez les mangas tranche de vie et les histoires avec un soupçon de magie ou d'extraordinaire, n'oubliez pas : la lanterne de Nyx !

Un très bon manga qui permet de découvrir le monde des importateurs d'art à l'époque des Expositions Universelles. Les personnages attachants se racontent au fil des tomes.

1878. Partout en Europe, le monde est en pleine effervescence, et bien loin de là, à Nagasaki, Miyo va en avoir un aperçu de manière très inattendue. Miyo, petite fille peu sûre d'elle parvient (grâce à un don de médium!) à se faire embaucher dans une boutique tenu par Momo, un homme original et un tantinet excentrique. Cet homme a voyé dans toute l'Europe et ramené plusieurs objets de l'Exposition Universelle. Aux yeux des Japonais qui à l'époque sont raîchement sortis d'une époque féodale et s'ouvre progressivement à l'Occident : tous ces objets, bâtiments, vêtements ont des allures de merveilles très modernes.

Que c'est agréable de retrouver les doux graphismes de Kan Takahama, certes fortement inspirés des bandes dessinés, mais avec une petite touche personnelle en plus. Miyo est un personnage très attachant. Comme la narration le suggère explicitement, elle est effectivement telle Alice découvrant le Pays des merveilles. Il y a bien sûr des intrigues secondaires qui étoffent le récit principal et ajoutent une touche d'intringue qui ne fait que relever l'intérêt du lecteur ! Et le récit est bien rythmé, et surtout, la mise en scène de cette rencontre entre l'Orient et l'Occident à travers des objets est vraiment très intéressante. Je lirai la suite avec intérêt !

Un bijou !

J'ai choisi La lanterne de Nyx pour le Pumpkin Autumn Challenge menu Automne astral catégorie You're just as sane as I am (j'adore cette référence à Luna) car dans le résumé j'avais vu que la petite héroïne a des dons de voyance.

Et en effet Miyo peut, en touchant un objet, en voir ses propriétaires passés et futurs.
Ceci dit ce don est assez anecdotique. C'est grâce à celui-ci qu'elle se fera engagée dans la boutique de l'étrange Momo mais ce don est finalement peu exploité dans le manga.

Car son intérêt réside ailleurs...

Miyo est une jeune orpheline vivant à Nagasaki. Elle est embauchée dans une boutique où le loufoque propriétaire revenant de l'expo universelle vend des articles européens aux Japonais.
Car nous sommes en 1878.
En Europe c'est la Belle Époque. Au Japon c'est l'ouverture au monde.

On découvre, aux côtés de la naïve Miyo, les trésors que son patron a ramené : la première tablette de chocolat, la première édition d'Alice au pays des merveilles, la première machine à coudre, des vêtements et des poupées...
C'est également l'occasion de découvrir que les Européens ont à l'époque une véritable passion pour le japonisme (et que de splendeurs nous découvrons !).

Chaque chapitre se termine par une page qui nous apprend plein de choses, que ce soit sur le Japon de l'époque (depuis le livre Geisha je suis fascinée par cette période du Japon) ou sur les merveilles européennes.
Qui savait que les premiers Japonais à avoir pu quitter leur pays étaient des acrobates ?
C'est terriblement pédagogique tout en restant ludique avec une histoire solide.
On y trouve même une recette !

Les graphismes sont superbes, plein de détails et très documentés. le trait est d'une grande finesse.
Tout le manga respire l'élégance.

Ce manga est un véritable bijou qui nous transporte quelque part entre orient et occident de la Belle Époque.

J'ai vraiment hâte de découvrir le tome 3 !
Lien : https://demoisellesdechatill..

Miyo trouve un travail dans la boutique de M. Momotoshi. Elle n'a pas pas de talent particulier sauf un. Elle a un don de voyance. Quand elle touche un objet, elle peut connaître son ancien propriétaire et l'avenir de son propriétaire. Miyo va découvrir la boutique et les produits qui y sont à vendre, pour la plupart d'origine occidentale...

Des personnages attachants qui ont un passé mystérieux. Un dessin très européanisé. Un premier tome intéressant.

Un énorme coup de coeur pour ce manga. J'adore le dessin doux mais méticuleux dans les détails. Par ailleurs, le scénario nous permet de découvrir le Japon à l'aube de son occidentalisation et l'auteur nous donne pleins de détails concernant les objets vus à la fin de chaque chapitre. Une petite pépite d'or à mettre dans toute bonne mangathèque !

le résumé de ce manga faisait envie. Je n'ai pas été déçue. On se prend d'affection pour l'héroine et pour les personnages qui gravitent autour d'elle. le contexte développée en filigrane donne de la profondeur au récit. On nous situe l'histoire dans un ensemble plus vaste sans qu'il s'agisse pour autant d'un manga purement historique. l'évolution des personnages est bien mené et on finit le tome 1 en ayant envie de lire la suite.

Un manga qui commence en couleur sur papier glacé... Bon, très vite on passe au noir et blanc mais les dessins restent très soignés même si je n'aime pas la mèche rebelle de Miyo. Le sujet est par ailleurs très intéressant : l'ouverture du Japon, la révolution industrielle, le brassage des cultures... Les personnages sont attachants et le récit réserve des surprises sur leurs liens, l'humour est aussi présent. Tout est traduit, même les textes des illustrations, malheureusement en très petit. Les pages documentaires qui séparent chaque chapitre replacent les inventions dans leur contexte historique mais l'écriture n'est pas très lisible. Premier manga que j'apprécie autant !

Par un retour dans le passé d'une des protagoniste de la page d'ouverture du livre, nous découvrons son enfance, où orpheline elle se trouve placée par sa tante dans un magasin d'objets rares importés de France. La toute jeune fille a le pouvoir d'accéder à l'histoire des propriétaires passés ou à venir, des objets qu'elle touche. Elle est embauché dans cette étrange boutique dont le patron et l'autre employé sont très étranges. Tous deux vont participer à l'éducation et la formation de Miyo.
Ce manga d'apprentissage est plaisant et la maladresse et la timidité de Miyo sont amusant. Les retours dans le temps et les déplacements dans l'espace à travers les objets permettent de dépeindre la France et le Japon du 19e. Les deux hommes qui s'occupent de Miyo sont bienveillants. A découvrir.
La professeuse documentaliste

Par un retour dans le passé d'une des protagoniste de la page d'ouverture du livre, nous découvrons son enfance, où orpheline elle se trouve placée par sa tante dans un magasin d'objets rares importés de France. La toute jeune fille a le pouvoir d'accéder à l'histoire des propriétaires passés ou à venir, des objets qu'elle touche. Elle est embauché dans cette étrange boutique dont le patron et l'autre employé sont très étranges. Tous deux vont participer à l'éducation et la formation de Miyo.
Ce manga d'apprentissage est plaisant et la maladresse et la timidité de Miyo sont amusant. Les retours dans le temps et les déplacements dans l'espace à travers les objets permettent de dépeindre la France et le Japon du 19e. Les deux hommes qui s'occupent de Miyo sont bienveillants. A découvrir.
La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau