AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,85

sur 59 notes
5
3 avis
4
7 avis
3
1 avis
2
1 avis
1
1 avis
Il est de ces titres dont on attend beaucoup parler mais qui font justement un peu peur à cause de cela, Une vie dans les marges en est l'exemple parfait pour moi. Oeuvre biographique de Yoshihiro Tatsumi, elle revient sur les débuts de sa carrière de mangaka et la vie au Japon dans l'après-guerre, des sujets intéressants mais que j'avais peur de voir traités de manière trop dramatiques et misérabilistes. Grossière erreur de ma part !

Pour faire court, Yoshihiro Tatsumi est un mangaka né à Osaka en 1935 qui fut l'un des pionniers du style gekiga, un style de manga mature en opposition, ou réaction c'est selon, à celui plus enfantin de Tezuka, le roi du manga alors.

------------------

Dans Une vie dans les marges, oeuvre de commande de son éditeur, il revient sur ses jeunes années et ses débuts avec une grande honnêteté et sans dramaturgie. J'avais un peu peur avant de commencer de tomber sur quelque chose de très technique et un peu abscon, ce n'est absolument pas le cas et cela, on le doit aussi bien à l'éditeur japonais qu'à l'éditeur français. En effet, les éditions Cornélius proposent ici un objet très haut de gamme. Pour accompagner le lecteur, dès la première page, il offre une préface de Mitsuhiro Asakawa, éditeur de Tatsumi et historien du gekiga, qui permet de contextualiser cette oeuvre. Puis tout au long de la lecture, le texte est accompagné de notes explicatives et de biographies des auteurs cités que l'on peut trouver en fin de volume. D'habitude, j'ai du mal avec ce procédé mais ici, nous n'avons pas une surabondance d'informations qui alourdirait le texte et on peut en plus y accéder facilement grâce aux doubles signets accrochés au volume lors de sa fabrication. C'est vraiment le luxe !

Le livre, lui, se présente comme un bon gros pavé, que j'ai dû lire en plusieurs fois tant il était conséquent, mais un bon gros pavé de grande qualité, que l'on pourra conserver longtemps. Je n'ai jamais vu une jaquette avec un papier au épais, la reliure en dur est top, j'ai beaucoup aimé retrouver des signets et un tranche fils. le papier est d'une belle blancheur et épaisseur sur lequel les noirs ressortent à merveille. C'est du très très bel ouvrage, qui justifie amplement son prix un peu élevé (plus de 30€ le tome ici).

------------------

Une vie dans les marges est donc un titre que tout amateur de manga désireux d'en savoir plus sur l'histoire de ce médium devrait lire. C'est une vraie mine d'or pour en apprendre plus sur l'histoire du manga dans les années 50-60, savoir quelle forme avait ces lectures juste après la guerre, qui en étaient les acteurs, comment on les réalisait, etc. C'est très différent par rapport à aujourd'hui, alors c'est d'autant plus riches en informations pour le lecteur peu informé comme moi. En plus, on apprend tout ça en lisant en quelques sortes les mémoires de l'un de ces acteurs, ce qui rend la source encore plus fiable.

J'ai beaucoup aimé découvrir d'abord la vie du jeune Hiroshi (nom que l'auteur se donne ici) et de son frère aîné Okimasa juste au sortir de la guerre, alors qu'ils avaient une dizaine d'années. Nous découvrons leur quotidien simple dans la ville d'Osaka, ville où s'est fait connaître Tezuka pendant ses études. Ce sont des garçons d'une famille banale, dont le père vend des produits de première nécessité tel un colporteur, pendant que leur mère s'occupe de la maison. Leur quotidien ne fait pas rêver et pourtant les deux frères très vite se passionnent pour la BD ou plutôt le manga.

A leur côté, nous assistons à la passion naissante des jeunes japonais pour ce média et ses acteurs, et nous voyons comment cette fièvre s'est emparée de tout un peuple, leur donnant à eux aussi une vraie soif créatrice. Mais ce n'est pas un parcours tranquille et nous allons suivre les très très nombreux pas nécessaires pour arriver là où ils arriveront l'un et l'autre. C'est fascinant, de voir comment à partir de petits dessins sur carte postale, puis planche à 4 cases, récits un peu plus long correspondant à nos chapitres de 20-30 pages et enfin récits autonomes mais encore sous forme de oneshot, leur parcours fut long et parsemé de difficultés mais aussi de belles rencontres. On les voit grandir et mûrir à nos côtés, passant par tout plein de stades et d'étapes.

En parallèle, l'auteur nous brosse l'histoire de ce Japon d'après-guerre occupé par les Américains. On découvre la culture occidentale qu'ils y ont apporté et le mélange avec les arts japonais toujours bien présents. L'auteur insiste beaucoup sur certaines grandes dates et certains grands événements, souvent autour du sport et de la culture, notamment du cinéma, média qu'il affectionne énormément depuis toujours et qui sera une vraie source d'inspiration pour lui, quand il voudra donner une autre tournure à ses récits, ce que nous découvrirons probablement plus dans le second tome.

------------------

Le titre est long à lire. Il fourmille de détails, d'anecdotes, de pensées sur la création d'une histoire sous forme de manga mais aussi de récits du quotidien dans une famille japonaise banale. Ce n'est pas un livre que j'ai réussi à lire d'une traite. J'ai préféré lire quelques chapitres, me reposer, laisser maturer et y revenir ensuite pour lire encore quelques autres, un peu par période de sa vie.

Alors qu'il y parle beaucoup de la narration dans les mangas de l'époque et du rôle majeur de Tezuka, j'ai trouvé que dans cette biographie l'auteur était bien timide, proposant quelque chose très classique, pas désagréable à lire, mais très lisse et formaté, sans la moindre folie. Ce n'est pas un titre qui se veut innovant, ni qui cherche à nous surprendre pas des compositions de folie, nous restons avec des cases toutes sages, pouvant ainsi plaire au plus grand public possible, habitué ou non aux manga. Il souhaite avant tout raconter son parcours et ça s'arrête là.

Pour autant, j'ai aimé retrouver à plusieurs reprise les documents d'archive ou copies de ceux-ci glissés dans les pages, cela enrichissait encore plus le texte que je lisais et surtout cela m'a vraiment donné envie d'en apprendre encore plus sur toute cette période fourmillante où l'industrie du manga était encore bien artisanale par rapport à celle qu'on connait actuellement.

Le dessin est également un autre petit bémol. Bien que maîtrisé, il est plutôt banal et sans réel attrait. J'ai beaucoup de mal avec les longs visages des personnages, leur nez patate et leurs yeux globuleux, mais heureusement l'ensemble est très expressif et clairement ce n'est pas pour le dessin qu'on lit ce type d'ouvrage.

------------------

En conclusion, j'ai vraiment beaucoup aimé lire ce premier tome d'Une vie dans les marges, non pour l'oeuvre graphique, mais pour l'oeuvre historique qu'il est. C'est un travail documenté, raconté par l'un des acteurs phares de cette époque, alors que le manga tel qu'on le connait en est encore à ses frémissements. C'est simple et pourtant passionnant, ça fourmille d'informations et l'éditeur français nous accompagne à merveille dans cette découverte. Il ne me tarde qu'une chose, c'est de lire le tome 2, qui devrait plus s'ancrer sur la naissance du gekiga, style de manga que l'auteur va contribuer à créer et populariser.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Commenter  J’apprécie          70
Non je ne suis pas devenue une fan de mangas.
Je ne connaissais pas non plus l'auteur, Yoshihiro Tatsumi, l'un des plus grands mangakas encore vivants, l'inventeur du gegika dans les années 50 (des mangas dramatiques, plus pour adultes, par opposition à ceux, plus comiques, qui étaient jusqu'alors surtout destinés à un public jeune).
D'ailleurs, je suis comme vous, je me mélange allègrement les noms des dessinateurs japonais et je n'arrive jamais à les retenir.
Pas de chance pour moi, Tatsumi en a côtoyé plus d'un !

Peu importe, je me suis jetée corps et âme dans la lecture du premier volume de cette autobiographie, qui en compte deux.
Hiroshi Tatsumi retrace sa vie et son oeuvre sur une quinzaine d'années (Yoshihiro est un pseudonyme, si j'ai bien compris) à partir de ses 14, 15 ans, tout en ponctuant les pages de faits historiques et faits de société du Japon d'après-guerre, en pleine mutation.


Mettons tout de suite les choses au point : je n'aime pas particulièrement les dessins de Hiroshi/Yoshihiro Tatsumi, qui me font ni chauds ni froids.
Ce n'est donc pas pour cela que je vais vous recommander cette lecture.

Non, ce qui m'a carrément passionnée, c'est le récit en lui-même, la fresque historique, la naissance de la bande-dessinée japonaise moderne (le fameux gegika).
Oui, là, je me suis dit qu'enfin, je commençais à comprendre un peu quelque-chose aux mangas !
Du moins, j'avais le sentiment que j'étais en train d'acquérir certaines bases.

suite de la critique sur mon blog, merci

Lien : http://linecesurinternet.blo..
Commenter  J’apprécie          50
J'ai commencé le premier tome à la fin du Week-end à 1000, histoire de terminer plus rapidement que prévu mon challenge.

Et en effet, lire un roman graphique, cela va beaucoup plus vite!
J'avais entendu parler de ce roman graphique dans une vidéo d'une Booktubeuse. En le voyant sur les étagères de la médiathèque, j'ai décidé d'en profiter et de l'emprunter.

Cela a été le dernier ouvrage de Yoshihiro Tatsumi, il a travaillé dessus pendant 11 ans! C'est donc une autobiographie, centrée sur les premières années en tant que mangaka, de 1945 à 1960.

Mais qui est Yoshihiro Tatsumi?
C'est un mangaka (à comprendre : auteur de manga) très célèbre au Japon, qui a été connu pour être précurseur du style Gekiga (« dessins dramatiques », en fait des mangas pour adulte, plus violent, plus sombre que les mangas de cette époque).

On voit donc toute l'évolution du manga et du Japon en parallèle. En 1945, le Japon sort de la deuxième guerre mondiale vaincu et les mangas sont toujours très courts et forcément comique.

Yoshihiro Tatsumi va essayer de trouver un moyen de faire évoluer le manga, de lui faire raconter une véritable histoire et non plus des blagues. Il devra faire face aux problèmes financiers, à la maladie de son frère, aux éditeurs, aux autres auteurs…

J'ai trouvé ce roman graphique curieux. Je ne suis pas particulièrement fan des dessins, mais c'était assez intéressant d'en apprendre plus sur cette période. J'aime bien lire des mangas de temps à autre, je suis d'ailleurs 3/4 séries, mais je ne m'étais jamais plongée dans l'histoire de ce genre. Et franchement, cela valait la peine, j'ai appris plein de choses!

J'ai eu plus de mal avec le tome 2. J'ai trouvé rapidement que cela tournait en rond…c'était toujours la même chose, il voulait faire des mangas longs, il en faisait des courts, il tournait en rond, voulait trouver une nouvelle sorte de manga…
Le pauvre, c'est sa vie, ce n'est pas sa faute, mais j'en ai eu un peu assez au bout d'un moment. J'aurais préféré en apprendre plus sur toute sa vie, qu'uniquement sur cette partie-là.

Une lecture tout de même agréable et instructive, que je recommande! A voir si vous le trouver en bibliothèque, afin d'être sûr de votre choix!
Lien : https://writeifyouplease.wor..
Commenter  J’apprécie          40
Yoshihiro Tatsumi est l'un des mangaka les plus reconnu du Japon. Né en 1935 à Osaka, il s'intéresse très jeune à la bande dessinée du fait surtout qu'il habite dans le même ville que le grand, le "dieu", Osamu TEZUKA. Il trouvera inspiration et conseil auprès de ce maître du manga. Après la Seconde Guerre mondiale et la défaite japonaise, le manga est en plein essor. Ce sont alors d'aventures fantastiques dont raffolent les adolescents où les magazines populaires servent à la fois d'exutoire, en mettant en scène des héros combatifs, et d'échappatoire pour la jeune génération issue de la guerre.

L'enfance a laissé des traces indélébiles chez Tatsumi de part une relation difficile avec un frère jaloux et gravement malade, et aussi des difficultés financières de la famille. Tatsumi, n'en reste pas moins un gamin surdoué, il publie son premier manga à 14 ans. Il se passionne à dessiner des histoires courtes dans un premier temps. Il suis le mouvement. La demande existe, c'est l'ébullition dans les milieux éditoriaux nippons. Tantôt rêveur, tantôt bosseur Tatsu, comme le prénomme ses amis, va porter sa réflexion sur une évolution du manga. La métamorphose de l'Etat du Japon évoluera très vite comme le désir de Tatsu de créer, d'inventerer et de ne pas rester dans les marges...
Commenter  J’apprécie          40
Un ouvrage magnifique qui retrace en images toute la vie d'un grand dessinateur japonais Yoshihiro Tatsumi précurseur de la génération des artistes manga dans la 2ème moitié du 20ème siècle, dans l'histoire contemporaine et qui traverse des événements dramatiques fondateurs du Japon actuel. Un grand moment d'émotion dans une perspective de l'humilité (concerne les 2 volumes bien évidemment ).
Commenter  J’apprécie          30
Une vie dans les marges est un récit autobiographique qui revient sur la carrière de Yoshihiro Tatsumi et sur la naissance du genre Gegika. L'auteur aura travaillé près de douze ans sur cet ultime chef-d'oeuvre édité par les Éditions Cornélius en deux tomes de plus de quatre-cents pages chacun.

En brossant le portrait d'Hiroshi Katsumi, qui n'est autre que l'auteur lui-même, Yoshihiro Tatsumi lève le voile sur sa vie familiale et sur son évolution en tant qu'artiste. de parents qui ont du mal à joindre les deux bouts à ce frère aîné malade et jaloux, en passant par un certain Osamu Tezuka, le lecteur découvre les éléments fondateurs de la carrière de ce mangaka de renom.

Situé à Osaka, au début des années 1950, le récit dresse également le portrait d'un Japon d'après guerre, en pleine reconstruction et se remettant péniblement des conséquences la seconde guerre mondiale sous la tutelle des américains. Cette page d'Histoire est accompagnée d'une véritable révolution du marché du manga, que l'auteur invite à découvrir de l'intérieur. de son admiration pour Osamu Tezuka en passant par le gain de quelques concours de dessin qui permettent à la famille de sortir quelque peu la tête hors de l'eau, le lecteur découvre un genre qui part à la recherche de récits plus longs et plus sérieux et assiste à la naissance du Gegika.

Mais ce qui fait toute la saveur et la force de cette rétrospective est le ton nostalgique qui se dégage de cette oeuvre. le regard de cet homme âgé, soixante ans après les faits, sur l'une des périodes les plus novatrices qu'ont connu le manga et le Japon, est empli de sagesse et de justesse. Allez, viens t'asseoir ici petit, que papy te raconte la révolution qu'a vécu le manga dans un Japon en ruines… tout débute au milieu du siècle dernier, papy n'était qu'un adolescent, son frère était très malade et sa famille n'avait pas un radis. le papy en question n'est autre que Yoshihiro Tatsumi et le récit de sa vie est passionnant. Un véritable chef-d'oeuvre !

Si ce premier tome est d'une grande richesse culturelle et historique, le trait limpide et la mise en scène forcément cinématographique de Yohihiro Tatsumi, rendent l'ensemble extrêmement lisible.

Récompensé par le Grand prix du prix culturel Osamu Tezuka en 2009, par un Will Eisner Award en 2010 et par le Prix regards sur le monde au Festival d'Angoulême en 2012, cette petite perle servira également de base à un film d'animation réalisé par Eric Khoo.

Une oeuvre incontournable !
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
Commenter  J’apprécie          30
Voici un manga de très grande valeur qui vient de paraître chez Cornélius. Il s'agit du premier volume d'une grande chronique autobiographique de Yoshihiro Tatsumi, auteur japonais qui débuta dans l'Après-guerre, au moment où le Japon dut se reconstruire, repartir à zéro, effacer les traces d'un passé douloureux et croire en un avenir prometteur et radieux. Il fait partie également des pionniers du manga, lorsque ce genre n'était pas encore la poule aux oeufs d'or lu par des milliers de Japonais et suscitant même, à partir des années 1980, un engouement populaire mondial, particulièrement en France.
Ce manga est donc riche d'enseignements pour ceux qui s'intéressent de près à l'histoire du Japon, et pour ceux qui se passionnent pour ce genre.
Bien que son dessin soit moins poétique que celui de Tezuka ou Mizuki, Tatsumi excelle dans la construction narrative du quotidien de ce jeune homme passionné, souvent envahi par le doute, mais réussissant à tracer son chemin par sa témérité. La relation tumultueuse avec le plus proche de ses frères est magnifique, chargée de jalousie et de rivalité, elle donne lieu, malgré tout, à des scènes d'une fraternité émouvante et belle.
Ce manga deviendra peut-être une référence…
Commenter  J’apprécie          30
« Une vie dans les marges » relate le chemin parcouru par l'auteur et son frère pour devenir mangakas. On assiste dans ce premier volume à la naissance de leurs « vocations » respectives dès leur enfance dans les années difficiles d'après-guerre, dans des conditions de vie précaires, à une époque où les Japonais doivent se reconstruire et tout reconstruire. Cette autobiographie est l'occasion pour nous de découvrir le Japon des années 50 à travers de brèves évocations d'événements d'actualité ou historiques. En suivant les trajectoires des deux frères et l'évolution de leur relation tourmentée par la maladie d'un des deux, par le succès de l'un (et pas de l'autre !), par la jalousie, on assiste au renouvellement de l'univers du manga dans la droite lignée du maître, Osamu TEZUKA, qui d'ailleurs est mis en scène dans cette histoire.

Il s'agit donc bien d'un manga, mais c'est aussi un témoignage autobiographique sur une époque charnière de l'histoire de ce genre, qui depuis n'a cessé de se développer.

Ceux qui se disent spécialistes du manga ou qui en tout cas prétendent s'y connaître ne peuvent rater cet ouvrage-là.


Lien : http://lewebpedagogique.com/..
Commenter  J’apprécie          20
Un graphisme très épuré mais où il y a de quantités de choses à percevoir dans chaque planche : illustration concrète de l'histoire. Très riche.
Commenter  J’apprécie          20
Fruit d'un travail de dix ans, le récit autobiographique de Yoshihiro Tastsumi retrace la naissance du manga moderne dans le Japon de l'après-guerre. C'est un récit de vie émouvant et sincère, un voyage dans la culture japonaise et plus particulièrement dans le milieu de l'édition. 600 pages à lire lentement.
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (145) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Tintin

Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

Tintin
Milou
Le Capitaine Haddock
Le Professeur Tournesol
Dupond et Dupont
Le Général Alcazar
L'émir Ben Kalish Ezab
La Castafiore
Oliveira da Figueira
Séraphin Lampion
Le docteur Müller
Nestor
Rastapopoulos
Le colonel Sponsz
Tchang

15 questions
5239 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd franco-belge , bande dessinée , bd jeunesse , bd belge , bande dessinée aventure , aventure jeunesse , tintinophile , ligne claire , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *}